Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Alain Bergala
Film brûlant, ravageur, dans lequel chaque plan prouve par la cruauté la puissance d'anarchie explosive du cinéma quand il est dans de bonnes mains.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Huis clos étouffant dominé par une femme perverse qui, avec sa longue chevelure ébène, préfigure ces fantômes asiatiques popularisés par "Ring", "La Servante" (...) préfigure aussi le "Théorème" de Pasolini et les premiers films de Polanski.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Critikat.com
par Clément Graminiès
La mise en scène tirée au cordeau ne laisse aucun répit jusqu'au final, totalement déconcertant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Gérard Delorme
Au-delà de son contexte historique, le film conserve une force intemporelle qui justifie à la fois sa réputation et la restauration dont il a été l'objet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Nicolas Thys
Malgré quelques longueurs, Kim Ki-Young a réussi l'un des films les plus torturés. La tourmente qui règne au sein de la famille et l'explosion des pulsions ont rarement été mises en scène avec autant de force.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Excessif
par Romain Le Vern
La meilleure nouvelle de l'été pourrait bien être la ressortie de ce classique du cinéma coréen (...). Rarissime, ce joyau a été restauré et sa découverte peut inciter à découvrir la filmographie d'un cinéaste méconnu qui a payé sa prise de risque et osait un mélange des genres très surprenant et audacieux pour l'époque.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Le génie de Kim Ki-young consiste à faire calmement résonner toutes les cordes de sa mise en scène dans un mouvement rigoureux et sec, sans la moindre frime.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Eric Dahan
(...) Puis [Le réalisateur] a découvert Fritz Lang et Josef von Sternberg, ce qui explique que la mise en scène de "La Servante" soit aussi élégante et complexe que cinglante d'humour macabre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Baigné par une musique jazz et un noir et blanc dignes des films noirs américains des années 1950, "La Servante" est un film ahurissant qui n'épargne personne (et surtout pas les enfants).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Ecran Fantastique
par Sébastien Socias
Le malheur - ou le Mal heurtant les êtres - est un leitmotiv de cette "Servante", qui, davantage qu'un pur film d'horreur, se rangerait plus volontiers dans la catégorie des films inclassables, puisque éminemment complexe et dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce n'est pas toujours très subtil, mais au moins ça ne laisse pas de glace comme son remake chic et grinçant. Un beau festival d'hystérie féminine. Étrange et sarcastique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Martin
"La Servante" est à l'Asie ce que "Psychose" est à l'Occident : la pierre fondatrice du cinéma d'épouvante. Au-delà de sa valeur historique, le film arrive aujourd'hui trop tard : De Palma, Argento et Lumet sont passés par là.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
Film brûlant, ravageur, dans lequel chaque plan prouve par la cruauté la puissance d'anarchie explosive du cinéma quand il est dans de bonnes mains.
Charlie Hebdo
Huis clos étouffant dominé par une femme perverse qui, avec sa longue chevelure ébène, préfigure ces fantômes asiatiques popularisés par "Ring", "La Servante" (...) préfigure aussi le "Théorème" de Pasolini et les premiers films de Polanski.
Critikat.com
La mise en scène tirée au cordeau ne laisse aucun répit jusqu'au final, totalement déconcertant.
Première
Au-delà de son contexte historique, le film conserve une force intemporelle qui justifie à la fois sa réputation et la restauration dont il a été l'objet.
Ecran Large
Malgré quelques longueurs, Kim Ki-Young a réussi l'un des films les plus torturés. La tourmente qui règne au sein de la famille et l'explosion des pulsions ont rarement été mises en scène avec autant de force.
Excessif
La meilleure nouvelle de l'été pourrait bien être la ressortie de ce classique du cinéma coréen (...). Rarissime, ce joyau a été restauré et sa découverte peut inciter à découvrir la filmographie d'un cinéaste méconnu qui a payé sa prise de risque et osait un mélange des genres très surprenant et audacieux pour l'époque.
Les Inrockuptibles
Le génie de Kim Ki-young consiste à faire calmement résonner toutes les cordes de sa mise en scène dans un mouvement rigoureux et sec, sans la moindre frime.
Libération
(...) Puis [Le réalisateur] a découvert Fritz Lang et Josef von Sternberg, ce qui explique que la mise en scène de "La Servante" soit aussi élégante et complexe que cinglante d'humour macabre.
TéléCinéObs
Baigné par une musique jazz et un noir et blanc dignes des films noirs américains des années 1950, "La Servante" est un film ahurissant qui n'épargne personne (et surtout pas les enfants).
L'Ecran Fantastique
Le malheur - ou le Mal heurtant les êtres - est un leitmotiv de cette "Servante", qui, davantage qu'un pur film d'horreur, se rangerait plus volontiers dans la catégorie des films inclassables, puisque éminemment complexe et dérangeant.
L'Humanité
Ce n'est pas toujours très subtil, mais au moins ça ne laisse pas de glace comme son remake chic et grinçant. Un beau festival d'hystérie féminine. Étrange et sarcastique.
Les Fiches du Cinéma
"La Servante" est à l'Asie ce que "Psychose" est à l'Occident : la pierre fondatrice du cinéma d'épouvante. Au-delà de sa valeur historique, le film arrive aujourd'hui trop tard : De Palma, Argento et Lumet sont passés par là.