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Votre avis sur Citizen Kane ?
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Un film qui nous montre que les dernières pensées d'un homme riches et puissants reviennent aux source des choses les plus simples.
Ce film est une vraie révolution pour l'époque et il est extraordinaire de voir la modernité des plans utilisés par Welles. Il réinvente littéralement le cinéma avec une technique de cadrage qui pourrait encore faire pâlir les réalisateurs d'aujourd'hui.
Cependant le film a un peu vieilli quand même au niveau du jeu de acteurs car les femmes sont très agaçantes à toujours parler en criant avec une voix suraigüe et la plupart des acteurs n'arrête pas de parler fort presque tout le long du film ce qui devient lourd au bout d'un moment.
Cependant le film a un peu vieilli quand même au niveau du jeu de acteurs car les femmes sont très agaçantes à toujours parler en criant avec une voix suraigüe et la plupart des acteurs n'arrête pas de parler fort presque tout le long du film ce qui devient lourd au bout d'un moment.
Quelles conséquences cela aurait si l'argent éduquait un enfant à la place des parents? Le thème du pouvoir sur les autres par l'argent et sa vacuité a été souvent visité par Welles, mais c'est son premier film qui y parvient le mieux. Charles Foster Kane voit grand, il a été éduqué dans cette optique par les banques. Le journaliste puis la politique assouviront sa passion pour la manipulation des foules. Mais l'échec guette, impitoyable. On parle presque toujours de la technique (plans séquences, profondeur de champ...) et de la narration (enquête en flash backs, non-linéarité des flash backs et certains épisodes revisités plusieurs fois sous une optique différente), mais la thématique et le rythme du film en font aujourd'hui plus que jamais un film passionnant et merveilleusement ludique, riche et accessible. L'interprétation d'Orson est comme toujours sensationnelle, et quelques séquences révèlent une compréhension de l'humain assez profonde, je pense à celle où il finit par accepter que sa deuxième femme arrête sa carrière de chanteuse, alors qu'il voulait qu'elle persévère en ignorant les critiques. De façon générale, ce portrait est finalement assez touchant bien que pas vraiment élogieux. La solitude (renforcée dans l'immense Xanadu) de Kane est une souffrance qui lui est tombée dessus alors qu'il était enfant, cet épisode en apparence insignifiant mais qui a bouleversé sa vie. Ce n'est pas une punition pour son arrogance. Welles montre ici que l'argent ne guide pas seulement la vie des pauvres, mais aussi celle des riches qui ne peuvent en faire abstraction. Le film, qui n'exclut a priori aucun public, doit aussi son culte au fait qu'Orson débutait dans le cinéma à 25 ans avec ce film. Impressionnant de maîtrise de bout en bout.
En entamant ce film, j’ai pensé que cela allait encore être un film en noir et blanc où j’allait m’enquiquiner du début jusqu’à la fi ; cela n’était que pour dire que j’avait vu soit disant le meilleur film de tout les temps. Mais ce film est tout simplement M.Y.T.H.Y.Q.U.E!
On prend une leçon de mise en scène et d'effet visuel tout le long du film. On peut qu'admirer le talent d'Orsen Welles.
Film culte à voir de tout urgence si ce n'est pas déjà fait !
On prend une leçon de mise en scène et d'effet visuel tout le long du film. On peut qu'admirer le talent d'Orsen Welles.
Film culte à voir de tout urgence si ce n'est pas déjà fait !
Sacré à de multiples reprises meilleur film de l'histoire du cinéma, "Citizen Kane" marque une révolution dans le 7ème art grâce à l'usage de nombreux procédés nouveaux que ce soit sur le plan technique ou scénaristique.
Parfaitement réalisé par Orson Welles, seulement âgé de 24 ans à l'époque, dans lequel il trouve d'ailleurs sa place en tant qu'acteur principal, "Citizen Kane" traite de manière original de la vie d'un des grands de ce monde nommé Charles Foster Kane. S'armant d'une narration omniprésente et omnipotente tout en se munissant de flashbacks de qualité, Orson Welles montre par la suite une mise en scène propre et visionnaire proche de celle que l'on retrouve encore dans la plupart des thrillers actuels.
Personnages travaillés et crédibles joués par une troupe de théâtre étonnement efficace, "Citizen Kane" nous offre de nombreuses scènes exceptionnelles. Bien que les talents de Dorothy Comingore ainsi que de Joseph Cotten soient très appréciables, c'est indéniablement Orson Welles qui crève l'écran de son charisme légendaire. Inspiré, profond et très présent en permettant également la réflexion du spectateur à travers son personnage, Orson Welles remplit toutes ses obligations en tant qu'acteur au moins aussi bien que celles qu'il dépassa largement en tant que réalisateur et scénariste.
Effectivement, c'est par un script d'une créativité rare que la star américaine débute l'aventure qui marquera l'histoire de son empreinte. Ingénieux, solide en y apportant une petite dose de suspens à la Hitchcock, "Citizen Kane" est le théâtre de multiples interactions qui aboutissent au final à la réponse à l'unique question importante : "Pourquoi bouton de rose ?".
En quelques mots, il est bien peu de chose que de dire que "Citizen Kane" est une des grandes figures du cinéma. Regorgeant d'innovation qui sert aujourd’hui encore de source d'inspiration à bon nombre de réalisateurs, ce chef-d’œuvre signé de la main d'un jeune génie s'inscrit dans l'histoire du 7ème art tout comme dans la culture américaine du XXème siècle.
Parfaitement réalisé par Orson Welles, seulement âgé de 24 ans à l'époque, dans lequel il trouve d'ailleurs sa place en tant qu'acteur principal, "Citizen Kane" traite de manière original de la vie d'un des grands de ce monde nommé Charles Foster Kane. S'armant d'une narration omniprésente et omnipotente tout en se munissant de flashbacks de qualité, Orson Welles montre par la suite une mise en scène propre et visionnaire proche de celle que l'on retrouve encore dans la plupart des thrillers actuels.
Personnages travaillés et crédibles joués par une troupe de théâtre étonnement efficace, "Citizen Kane" nous offre de nombreuses scènes exceptionnelles. Bien que les talents de Dorothy Comingore ainsi que de Joseph Cotten soient très appréciables, c'est indéniablement Orson Welles qui crève l'écran de son charisme légendaire. Inspiré, profond et très présent en permettant également la réflexion du spectateur à travers son personnage, Orson Welles remplit toutes ses obligations en tant qu'acteur au moins aussi bien que celles qu'il dépassa largement en tant que réalisateur et scénariste.
Effectivement, c'est par un script d'une créativité rare que la star américaine débute l'aventure qui marquera l'histoire de son empreinte. Ingénieux, solide en y apportant une petite dose de suspens à la Hitchcock, "Citizen Kane" est le théâtre de multiples interactions qui aboutissent au final à la réponse à l'unique question importante : "Pourquoi bouton de rose ?".
En quelques mots, il est bien peu de chose que de dire que "Citizen Kane" est une des grandes figures du cinéma. Regorgeant d'innovation qui sert aujourd’hui encore de source d'inspiration à bon nombre de réalisateurs, ce chef-d’œuvre signé de la main d'un jeune génie s'inscrit dans l'histoire du 7ème art tout comme dans la culture américaine du XXème siècle.
Puissant. Magistral. Un Classique.
Impressionnant techniquement, le film souffre de sa réputation l'élevant au rang de mythe. Certes d'une qualité quasi irréprochable, le film d'Orson Welles ne doit pas éclipser d'autres chefs d'œuvres de même stature.
Je suis vraiment très curieux de savoir comment on jugerait ce film aujourd'hui s'il n'était pas autant adulé, en tête de tous les classements "élitistes" jusqu'à aujourd'hui.
"Citizen Kane" possède bien évidemment de nombeux éléments novateurs, précurseurs et passionnants. Mais à côté de cela, un grand sentiment d'ennui et beaucoup de médiocrité. Commençons néanmoins par le bon, et donc par la mise en scène plus qu'intéressante. Orson Welles fait ses débuts de réalisateur en décidant de briser de nombreuses règles et en créant de nouvelles techniques. Son influence sur le cinéma moderne est quasi incontestable. Je pense surtout à cet élément nouveau qu'est la profondeur de champ, offrant des espaces jusqu'alors inconcevables. Un plan peut alors être regardé à plusieurs niveaux, enrichissement très important pour le cinéma. Voyons par exemple le fait que les plafonds apparaissent dans le cadre, pouvant symboliser par exemple l'enfermement d'un personnage. A ce niveau-là je pense qu'on peut nommer la mise en scène "révolutionnaire". Autre énorme avancée : l'importance du montage, offrant quelques images mémorables. J'ai apprécié aussi le travail sur la lumière, les images et plans marquants de par leur originalité (miroirs,...). Mais le gros problème du film, c'est que cette mise en scène est au service d'un scénario que j'ai envie de qualifier d'insignifiant ! L'éclatement du récit en flash-backs est un procédé lourdingue, les personnages s'avèrent plutôt creux derrière le personnage central de Kane. Je ne vois pas l'intérêt de construire un tel labyrinthe pour arriver à un final décevant. Quelques jolis symboles certes, mais un peu stéréotypés. Pas de quoi crier au chef d'oeuvre en tout cas ! Signalons quand même qu'Orson Welles est habité par son personnage (sans doute un peu autobiographique), même si les autres acteurs sont dans l'impossibilité de sauver leurs personnages creux. "Citizen Cane", long-métrage intéressant et novateur mais vachement surestimé !!
"Citizen Kane" possède bien évidemment de nombeux éléments novateurs, précurseurs et passionnants. Mais à côté de cela, un grand sentiment d'ennui et beaucoup de médiocrité. Commençons néanmoins par le bon, et donc par la mise en scène plus qu'intéressante. Orson Welles fait ses débuts de réalisateur en décidant de briser de nombreuses règles et en créant de nouvelles techniques. Son influence sur le cinéma moderne est quasi incontestable. Je pense surtout à cet élément nouveau qu'est la profondeur de champ, offrant des espaces jusqu'alors inconcevables. Un plan peut alors être regardé à plusieurs niveaux, enrichissement très important pour le cinéma. Voyons par exemple le fait que les plafonds apparaissent dans le cadre, pouvant symboliser par exemple l'enfermement d'un personnage. A ce niveau-là je pense qu'on peut nommer la mise en scène "révolutionnaire". Autre énorme avancée : l'importance du montage, offrant quelques images mémorables. J'ai apprécié aussi le travail sur la lumière, les images et plans marquants de par leur originalité (miroirs,...). Mais le gros problème du film, c'est que cette mise en scène est au service d'un scénario que j'ai envie de qualifier d'insignifiant ! L'éclatement du récit en flash-backs est un procédé lourdingue, les personnages s'avèrent plutôt creux derrière le personnage central de Kane. Je ne vois pas l'intérêt de construire un tel labyrinthe pour arriver à un final décevant. Quelques jolis symboles certes, mais un peu stéréotypés. Pas de quoi crier au chef d'oeuvre en tout cas ! Signalons quand même qu'Orson Welles est habité par son personnage (sans doute un peu autobiographique), même si les autres acteurs sont dans l'impossibilité de sauver leurs personnages creux. "Citizen Cane", long-métrage intéressant et novateur mais vachement surestimé !!
Un film prenant et inoubliable, avec un message très fort et une idéalisation des hommes d'affaires riches.
Un film qui n'a pas prit une ride, tout simplement excellent et d'une force extraordinaire.
Un film qui n'a pas prit une ride, tout simplement excellent et d'une force extraordinaire.
Citizen Kane, un chef d'oeuvre, mieux encore ; une vrai leçon de cinéma. Encore aujourd'hui, ce film nous démontre le talent gigantesque et particulier qu'avait Orson Welles à nous offrir ici un cinéma des plus modernes et ambitieux que le septième art à rarement connu. "ROSEBUD"
Welles avait 25 ans lorsqu'il a tourné cette épopée sortie pendant la dernière guerre mondiale aux Etats-Unis. Comme beaucoup, j'ai du mal à accrocher à cette mégalomanie kitch, ce goût prononcé pour les châteaux, la voix off du début qui braille la situation comme un mauvais camelot (fatigant, ne pouvait-il l'énoncer calmement ?). Idem pour les manoeuvres du chef opérateur obsédé de suggérer le gigantisme. Ces effets-là aujourd'hui sont lourdingues : toutefois, je salue la maîtrise de la caméra, très virtuose pour l'époque, et il y a de l'idée ! Bien aimé les notes romantiques, ce fameux "Rosebud" qui humanise l'ensemble... Quelques scènes familières franchement hilarantes se démarquent du chaos... Quoi qu'en disent les détracteurs, que ce film ait beaucoup compté à cette période de notre Histoire se comprend ! Drôle d'impact aujourd'hui que ce portrait d'un gamin jeté dans les affaires par Môman... "A la poussière tu retourneras". Que les grands argentiers de 2008 - tous confondus - en prennent de la graine !
Citizen Kane est vraiment spectaculaire en ce qui concerne les placements de caméra, les fondus et effets visuels. Malheureusement, l'histoire repose sur la vie d'une milliardaire assez ennuyeuse... La 1ère heure est très très longue à suivre, alors que l'on commence à s'intéresser au film dès la deuxième. Les toutes dernières minutes sont, par contre, très intenses! Ca reste tout de même un classique...
C'est toujours difficile d'écrire une critique sur un vieux film, déjà parce que nos codes ne sont pas les mêmes, aussi parce que dès lors qu'on s'attaque à un monument, très difficile de pas raconter des âneries. Simplement donc je dirai que j'ai fortement apprécié ce film; que sa réputation de meilleur film de tout les temps le dessert, car même si je n'en pense pas de même, il faut à mon sens se détacher des lauriers.
Car quand j'ai regardé Sueurs Froides, j'en attendais énormément, si bien que ca s'est finit en effet soufflé au fromage, cela gonfle et cela se ratatine. Je ne voulais pas placer trop d'espoir dans le film d'Orson Welles, et je dirai que j'ai eu la chance de voir La Dame de Shangaï avant Citizen Kane, qui m'avait un peu déçu, si bien que je ne m'attendais pas à quelque chose d'extraordinaire.
Sans entrer donc dans une analyse poussé du sens du film, d'autres l'ont fait et d'autres le feront mieux que moi; ce film m'a simplement plu déjà pour sa mise en scène dynamique et résolument moderne, avec de superbes plans, des jeux de caméras assez géniaux, une utilisation savante d'images subliminales etc. De même qu'un "Casablanca" par exemple, je n'ai pas eu ce recul presque imposé par les vieux film, qui nous pousse à être constamment dans l'analyse : je suis complètement rentré dans le film, je ne me suis jamais ennuyé, et j'en ai oublié mon sérieux.
Non! Citizen Kane n'est pas un divertissement pour autant, l'Oscar du meilleur scénario 1942 n'est pas volé. Nous avons une histoire parfaitement construite, l'utilisation des flash back est très bien mise en place. Ce "Rosebud" nous tient en haleine jusqu'au bout. Mais surtout, je crois que ce qui m'a le plus plu c'est l'humour, le ton décalé de l'oeuvre. Et si je n'aime pas parler des acteurs - le vrai travail reste la réalisation -, je peux sans complexes parler du jeu d'Orson Welles, puisqu'il est acteur - réalisateur. Il est simplement génial, drôle et charismatique. Drôle, viril et intelligent, la recette pour mettre Rita Hayworth dans son lit - je comprend. Une nouvelle fois, l'humour est moderne, et surtout sans prétention, sans aller évidemment dans la beauferie. C'est ici, a mon sens, que j'ai trouvé la force du film.
Simplement donc, pour éviter toute analyse longue, je pense que Citizen Kane est tout a fait agréable à regarder, tout en évitant la carte du divertissement, et voila pourquoi il serait une erreur d'être rebuté par quelconque préjugé, y compris celui de son statut de film n'°1.
Car quand j'ai regardé Sueurs Froides, j'en attendais énormément, si bien que ca s'est finit en effet soufflé au fromage, cela gonfle et cela se ratatine. Je ne voulais pas placer trop d'espoir dans le film d'Orson Welles, et je dirai que j'ai eu la chance de voir La Dame de Shangaï avant Citizen Kane, qui m'avait un peu déçu, si bien que je ne m'attendais pas à quelque chose d'extraordinaire.
Sans entrer donc dans une analyse poussé du sens du film, d'autres l'ont fait et d'autres le feront mieux que moi; ce film m'a simplement plu déjà pour sa mise en scène dynamique et résolument moderne, avec de superbes plans, des jeux de caméras assez géniaux, une utilisation savante d'images subliminales etc. De même qu'un "Casablanca" par exemple, je n'ai pas eu ce recul presque imposé par les vieux film, qui nous pousse à être constamment dans l'analyse : je suis complètement rentré dans le film, je ne me suis jamais ennuyé, et j'en ai oublié mon sérieux.
Non! Citizen Kane n'est pas un divertissement pour autant, l'Oscar du meilleur scénario 1942 n'est pas volé. Nous avons une histoire parfaitement construite, l'utilisation des flash back est très bien mise en place. Ce "Rosebud" nous tient en haleine jusqu'au bout. Mais surtout, je crois que ce qui m'a le plus plu c'est l'humour, le ton décalé de l'oeuvre. Et si je n'aime pas parler des acteurs - le vrai travail reste la réalisation -, je peux sans complexes parler du jeu d'Orson Welles, puisqu'il est acteur - réalisateur. Il est simplement génial, drôle et charismatique. Drôle, viril et intelligent, la recette pour mettre Rita Hayworth dans son lit - je comprend. Une nouvelle fois, l'humour est moderne, et surtout sans prétention, sans aller évidemment dans la beauferie. C'est ici, a mon sens, que j'ai trouvé la force du film.
Simplement donc, pour éviter toute analyse longue, je pense que Citizen Kane est tout a fait agréable à regarder, tout en évitant la carte du divertissement, et voila pourquoi il serait une erreur d'être rebuté par quelconque préjugé, y compris celui de son statut de film n'°1.
Un classique du cinéma. Orson Welles est un acteur/réalisateur de génie qui apporte au cinéma une vraie dimension philosophique. Dans ce film devenu culte il nous montre, sous les traits d'un milliardaire mégalomane, les défauts de l'âme humaine comme l'égoïsme, la cupidité et la démesure. Incontournable!
Julien D
Parmi toutes les qualités de ce film-phare des années 40, les plus cités sont ses effets de mise en scène innovants, tels que l’utilisation des profondeurs de champs et des jeux de lumière impressionnants, ou sa dénonciation controversée du pouvoir des médias, mais c’est sans doute sa construction narrative basée sur une série de flash-backs qui a le plus révolutionné l’art cinématographique. Le film du jeune Orson Welles, alors âgé d’à peine 25 ans, grâce à l’excellent scénario signé par Herman J. Mankiewicz (frère du futur réalisateur de Cléopâtre), et son talent pour mettre en images son intrigue ainsi le colossal palais de Xanadu, a amplement mérité sa réputation et son attribution par certains du statut de «Meilleur film de tous les temps».
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