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    Citizen Kane
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    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    69 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2011
    Saisissant, plein de suspense, sûrement révolutionnaire pour l'époque, il a, on le comprend, inspiré de nombreux cinéastes depuis sa sortie. C'est comme une page d'histoire sur laquelle on ne peut plus dire grand chose, si ce n'est qu'il est un passage obligé pour tout cinéphile qui se respecte.
    yayo
    yayo

    62 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mars 2011
    Le meilleur film de tous les temps WTF!? Et bien en fait si! L'histoire de ce magnat de la presse m'a passionné du début à la fin. Un film qui a marqué son époque par sa mise en scène innovante et qui aujourd'hui encore mais tout le monde d'accord: c'est un chef d'oeuvre!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 mars 2011
    Révolution pour le cinéma avec l'arrivée de Citizen Kane d'Orson Welles. Maitrise complète de la part du réalisateur des plans, des montages, de la narration et des flashbacks. Rosebud.
    twingolot
    twingolot

    23 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 mars 2011
    Il est aujourd'hui coutume de cracher sur Citizen Kane, le soi-disant meilleur film de tous les temps comme on a pu le lire ci et là (les américains continuent à y voir un tournant cinématographique majeur ; Wells leur a bien fait croire à l'invasion extra-terrestre à la radio après tout...). Du point de vue européen, c'est parfaitement compréhensible pour qui s'intéresse un tant soit peu pour l’oeuvre de Murnau, Lang ou encore Eisenstein. Car Wells s'accapare toutes les richesses du 7e art pour les dénaturer complètement… tel Charly Kane en fin de compte (l'ambigüité de la présence de Wells dans le rôle-titre prenant tout son sens). Voilà qui annonce en fait tout un pan de son cinéma, Wells se lançant déjà à l'assaut de Shakespeare avec ce personnage d'usurpateur voulant contrôler le monde. Wells se permet donc de piller tout et n'importe-quoi, pour ne parvenir à aucun résultat. "Rosebud", la grande question du film, qui s'avère n'avoir d'importance que si l'on souhaite lui en donner. La clé de l'énigme sera certes dévoilée au spectateur (rare plan le rendant omniscient), mais ce ne sera que pour la jeter au feu aussitôt. Pas de quoi crier victoire devant la résolution.
    Alors, "Citizen Kane" n'est-il qu'une contrefaçon à jeter au feu également ? Le pire c’est que ça irait dans la logique du film. S'il est sans doute surévalué chez les ricains, notre rancune envers le pillage de notre sacro-saint cinéma n’est pas non plus sans nous aveugler nous-même devant le culot et la réussite du film. Un tour de force sur la scène de l'industrie ciné, qu'on le veuille ou non.
    Cohle.
    Cohle.

    52 abonnés 1 012 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mars 2011
    Citizen Kane, l'immanquable d'Orson Welles, centré sur la recomposition de l'histoire du personnage de Charles Foster Kane, le film débute par une scène mystérieuse scellant la mort de celui-ci, à la suite de cela et de ses derniers mots, un journaliste commence une investigation sur la vie du personnage. C'est ainsi, qu'au moyen de flashbacks, nous apprenons à connaitre et comprendre la psychologie du personnage, de ses bonnes motivations jusqu'à sa perte, et son désarroi. Et même si, le pouvoir, l'argent, monte au crane de n'importe quel homme, il faut croire, que Charles Foster Kane, ne sera finalement resté qu'un nostalgique des prairies enneigés qu'il a pu côtoyer durant son enfance. Bref, une œuvre assez longue par moment mais tout de même tellement brillante; il ne faut passer à coté.
    annastarnomberon
    annastarnomberon

    136 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 janvier 2012
    Comment parler dignement de Citizen Kane lorsque l'on n'a pas de connaissances techniques du vocabulaire à employer en termes de critiques cinématographiques ? Tenter un commentaire et se risquer à passer à côté de ce qui fait de ce film, selon les esthètes critiques, le plus grand de tous les temps ? S'abstenir de le commenter et sous-entendre que seuls les grands initiés du cinéma ont droit à avoir du (des) goût(s) ? Au risque donc d'en dire quelque chose de superficiel car je suis loin d'être une puriste, j'ai envie de parler de Citizen Kane. Cela doit faire un an que je me disais qu'il fallait que je le voie, mais le bond du côté de « ceux qui savent », de ceux qui ont vu ce cultissime du 7ème art, a été long à venir, comme s'il m'eut été nécessaire d'attendre « le bon moment » pour le regarder. Sur le fond, sur la forme, le film est incroyablement ingénieux et inventif. L'enchainement des flashbacks est parfaitement maitrisé, et à aucun moment n'est confus. L'investigation est donc menée avec une grande fluidité, et ce mode de narration où l'on passe d'un point de vue à l'autre nous suspend à l'intrigue. Tout comme ce journaliste (que l'on ne voit d'ailleurs jamais frontalement, comme si son personnage n'était là que pour nous aider à nous-même faire notre propre investigation), nous voulons savoir ce qui se cache derrière la dernière parole du milliardaire. Les images sont splendides, et le parcours de la caméra est d'une beauté rare -probablement encore plus compte tenu l'époque-. Cette virtuosité de la caméra est particulièrement frappante à chaque passage où l'on arrive chez Susan Alexander Kane : ce trajet que l'image fait, depuis l'enseigne lumineuse du cabaret jusqu'à la vue, par dessus la verrière, de la femme affalée sur une table, est un des plus beaux qu'il m'ait été donné de voir. Il me rappelle d'ailleurs la scène d'Il était une fois dans l'Ouest où l'on découvre, à partir de la vue de Claudia Cardinale descendant du train, et après un trajet passant par dessus le toit de la gare, le village en construction. Et que dire du fond ? Citizen Kane c'est l'histoire d'un homme à qui on a imposé une fortune, et qui à partir de cette condition de naissance, a décidé que tout le reste de sa vie serait le fruit de son choix, et celui de personne d'autre. C'est l'histoire, vue sous l'angle de plusieurs de ses proches, d'un homme calculateur qui n'a rien laissé au hasard pour faire de sa vie ce qu'il voulait en faire. Mais la fin, qui est d'ailleurs extrêmement poignante et émouvante, nous révèle que c'est aussi l'histoire d'un homme qui aurait voulu une famille, de l'amour, et qui a passé son existence à combler ce manque. C'est l'histoire d'un homme qui, à partir de ce traineau, de ses 8 ans, a dû se forger une carapace dont il ne s'est jamais défaite et qu'il a emportée avec lui tout comme les flammes ont emporté la planche en bois. Ce dénouement n'est pas si inattendu, mais la manière dont il est amené, tout en subtilité et en poésie, est profondément magnifique. De mon point de vue de spectateur lambda, Citizen Kane est de ces films qui se terminent par une belle boucle, un de ces films qui prend toute son ampleur juste avant que ne sonne le générique de fin, un film accompli en somme.
    lepfoulet
    lepfoulet

    21 abonnés 172 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 février 2011
    Un film très lent mais néanmoins très beau mais pour que j'apprécierai probablement bien plus dans quelques années.
    Santu2b
    Santu2b

    251 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2011
    Lorsqu'il réalise en 1941 "Citizen Kane", Orson Welles a vingt-six ans ! Le film narre l'histoire d'un personnage énigmatique, qui déçu par le monde, décidera de s'en construire un pour lui seul. On ne saurait énumérer en ces quelques lignes le génie technique insufflé à cette époque par le cinéaste. Parmi ces nombreuses innovations, on peut relever celles-ci : profondeurs de champ, plongées/contre-plongées, découpage excellent (notamment par le biais des flashbacks), travail époustouflant sur la lumière, utilisation intelligente de la voix-off. Sans oublier bien évidemment le charisme viril du réalisateur lui-même dans le rôle de l'interprète principal. Cependant, malgré cet étalage de prouesses cinématographiques, est-on véritablement et totalement à l'abri de l'ennui ? Pas certain. Mais je ne voudrais pas être davantage sévère ; chacun se fera son opinion. Toutefois, "Citizen Kane" fait partie de ces classiques incontestables que tout cinéphile qui se respecte se doit de voir impérativement. Après tout, il s'agit du plus grand film de tous les temps ! Ou pas...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 30 janvier 2011
    Considéré par l'American Institut of Film comme le meilleur, le plus grand film de tout les temps, Citizen Kane est aussi une partie intégrante du patrimoine mondiale de l'humanité, classé par l'UNESCO. Une oeuvre d'une intelligence et d'un sens visionnaire exeptionnelle. Une histoire captivante mais qui sombre de même que la psychologie du personnage Kane. La réflexion se retrouve malgré elle, à pataugée dans une lenteur assez incompréhensible pour accompagner une intrigue minuscieusement tissée. Cette lenteur est étrange et ne trouve pas sa place dans un film ou la modernité ne demande qu'a s'émerveiller. Citizen Kane n' a pour cela aucunes excuses, l'année d'après était réaliser Casablanca de Micheal Curtiz, film aussi puissant que moderne dans sa conception. Orson Welles nous livre donc une décevante mais respectable fresque sur le 4ème pouvoir qu'est la puissance médiatique et journalistique. La thèse Citizen Kane est bien entendue l'une des plus fascinante de l'histoire du cinéma, mais le cinéma c'est avant tout donner du rythme au réel, et lui donner une certaine sensibilité, ici c'est un documentaire, tout simplement exceptionnel.
    Cinemartrem18
    Cinemartrem18

    26 abonnés 131 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 janvier 2011
    Meilleur film de tous les temps selon l'AFI, j'avoue que la fin est magnifique mais le tout ne vaut tout de même pas Le Parrain et Casablanca, classés 2 et 3 respectivement...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 janvier 2011
    Le premier film hyper-célèbre d'Orson Welles, qu'on peut, oui, qualifier de génial, et qui dénonce la folie mégalomane d'un magnat de la presse américain (et par là la mégalomanie du rêve américain), Charles Forster Kane, qu'il interprète lui-même. Ce film, pour reprendre un mot de l'autre (que Welles a lu, naturellement), est l'histoire d'une erreur, ou pour paraphraser l'autre autre (que Welles a peut-être lu, mais forcément pas à l'époque de Citizen), une fiction à effets de vérité. L'erreur, bien sûr, c'est la scène de départ, la mort du magnat dans son château grandiose, mi-fiction mi-réel lui aussi, mort qu'aucun personnage ne voit, que la seule caméra capte, en même temps que le mot enneigé qui accompagne cette mort : "Rosebud", dont la signification sera l'objet de tout le film. Ironie de Welles qui construit donc toute son oeuvre sur une erreur : personne ne devrait retenir ce mot, puisque personne ne l'entend (l'infirmière vient réellement après), et pourtant, c'est le mot que tout le monde prononce, au sujet duquel l'enquête journalistique commence. Première forme d'aristocratie chez Welles, dont on peut se demander jusqu'où il a pu se comparer à Kane : il se moque du spectateur qui n'aura pas su voir l'erreur, et ce à l'intérieur même du film (cette masse anonyme, partout relayée sans critique, médiatisée, impersonnelle, ce "on" que Welles reconstitue dans la bande-annonce et après). Quant à l'histoire, elle signale l'originalité du film : comme enquête (l'autre disait généalogie...), le film se trame comme une avancée à plusieurs chutes, à plusieurs descentes dans le passé ; chronologie brisée, linéarité coupée, discontinuité ou plutôt même discontinuités, entraînées par les nombreux témoignages, les multiples perspectives. Citizen Kane est non seulement une réflexion sur l'unité et le multiple, mais en plus sur l'histoire (journalistique, mais quand même).
    Le film se déroule donc sur plusieurs plans (disons deux, pour aller plus vite) : d'une part l'enquête suit son cours, progresse tant qu'elle peut selon les témoignages des proches de Kane, et se termine ou s'achève sur un échec cuisant (en même temps, elle est partie d'une erreur...). D'autre part, et presque en "sens inverse", Welles travaille à la reconstitution (chronologique, mais discontinue), de la vie et de l'ascension de Kane, d'enfant arraché à ses parents par un riche précepteur à jeune directeur de journalisme, puis à riche des riches, en évoquant aussi tous les échecs (surtout relationnels ou interhumains, c'est-à-dire amitié avec Leland, amour avec un double échec conjugal, Emily et Susan : Welles utilise ici le cliché "heureux en commerce pauvre en amour", un peu niais, mais enfin). Et entre ces deux plans, enquête et vie, il n'y a pas superposition (bien que Welles se soucie en détail de la transposition de l'un à l'autre : une perspective ou un témoignage ne va pas au-delà de ce qu'il est supposé être, de la limite qu'il n'est pas supposé franchir ; par exemple le témoignage de Susan s'arrête au pas de la porte lors de la séparation finale, perspective que va reprendre et continuer le témoignage du majordome, pour finir la scène de rupture), mais décalage, transgression : Citizen Kane dépasse l'enquête développée à l'intérieur de Citizen Kane, Pour le coup, ça c'est brillant. Le franchissement, la transgression, c'est ce qui est rappelé deux fois par l'écriteau aux portes de Xanadu, le château dantesque, et c'est aussi ce que fait Welles avec tout le cinéma d'avant-lui.
    D'une manière générale, la réalisation est magnifique, (révolutionnaire pour l'époque selon les moyens utilisés, dit-on), avec c'est vrai tout un mélange de procédés qui accompagnent le bouillonnement de Kane ou sa détresse, les plongées ou contre-plongées, les plans-séquence, l'utilisation de peintures, de trompes-l'oeil... La musique est bien réglée, montée sur l'image, collée à la vitesse que Welles veut donner aux scènes, avec des montées progressives, des thèmes enlevés quand il le faut... Et surtout, un jeu sur la lumière absolument fou, et notamment un jeu de clair-obscur absolument effrayant (des personnages dans l'ombre, des obscurités traversées par une percée solitaire, certains plans, comme celui où Kane signe sa profession de foi, sont splendides sur ce point). La réa - et ça, c'est un assez bon révélateur - est tellement bonne que tous les personnages retiennent l'oeil en plus d'être crédibles : leurs défauts ne les décrédibilisent pas, tout est soigné, mesuré. Du coup, aucune fausse note dans le jeu des acteurs, même les plus sots ou les plus laids.
    Juste un mot enfin sur la révélation finale, qui psychanalyse complètement le personnage, le réinscrit dans les lois de son enfance censurée, le freudéise. Le trou noir de Citizen Kane, c'est peut-être aussi le trou noir de Welles : Freud, ou la mère, ou les deux.

    Et bien sûr, toutes les critiques sur le Tching's cine :
    http://tchingscine.over-blog.com/
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 226 abonnés 7 515 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 décembre 2010
    Avec son premier film, Orson Welles ne passe pas inaperçu puisque son film est désigné comme étant l'un des meilleurs films au monde et le meilleur film américain de tous les temps par l'American Film Institute.
    A seulement 25 ans, le réalisateur prend des risques en décidant de casser la narration basic des films de l'époque en ayant recourt au flash-back essentiellement sur le début du film qui nous retrace durant 10 minutes (!!) la vie du magnat de la presse Charles Foster Kane. Mais Citizen Kane (1940) ne sera qu'une succession de prouesses et d'avancées techniques en la matière, où la narration omniprésente s'en retrouve entrecoupée par les innombrables plongées/contre-plongées prodigieuses, les profondeurs de champs de toutes beautés et les SFX (en transparence ou sur toiles peintes) remarquables. Une oeuvre révolutionnaires pour l'époque où l'innovation est le maître mot, c'est ce qui nous frappe le plus ici et d'autant plus lorsque l'on restitue le film dans son époque, le début des années 40 !
    Le scénario de Herman J. Mankiewicz est impressionnant, tant au niveau de la richesse que des personnages, Orson Welles devant et derrière la caméra en impose (comme à chaque fois lorsqu'il interprète un rôle central). Une réalisation qui a réellement bouleversé l'Histoire du cinéma, un chef d'oeuvre qui le révolutionna !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 décembre 2010
    J'avoue avoir regardé ce film avec des a-priori (ça va être lent, chia**, mal joué et tourné, mais bon, tout le monde dit que c'est un classique, alors je me force). Et bien au final, point du tout! C'était un petit bijou, avec du suspens, du rire, des personnages profonds (pas comme de nos jours).
    Ce scénario est devenu tellement classique, les prises de vue aussi, que je comprend que ce film fasse partie du panthéon du cinéma. Non vraiment, je ne me suis pas ennuyé du tout!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 décembre 2010
    Un bon film selon moi, ça fait une drôle de sensation de le regarder à notre époque, beaucoup de mes amis me l'avaient conseillé, et j'avais aussi remarqué qu'il était classé premier dans les 100 meilleurs films américains (classement de l'American Film Institute AFI).
    C'est ce qui m'a poussé à enfin le voir, je n'ai pas été déçu par l'histoire mais plutôt par le rythme qui reste assez lent et sans rebondissements. Cependant l'histoire bien concocté et le personnage principal très énigmatique nous intrigue jusqu'à la fin pour révéler une chute plus que surprenante.
    Un film à voir bien entendu, mais reste tout de même très soporifique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 février 2012
    Citizen Kane le fameux film, dont tout le monde connaît le nom mais ne sait pas de quoi il parle. J'ai enfin franchi le pas, et j'ai regardé ce mythe, cette immense film du 7ème art, qui est apparemment désigné comme le meilleur au monde. Et je dois dire que si ce n'est pas mon film préféré, ni le meilleur pour moi il fait parti des films vraiment exceptionnels à voir, qui apporte leur pierre à l'édifice du 7ème art. Tout d'abord Orson Welles est un réalisateur et un acteur brillantissime et tout le film est sublimé par sa mise en scène aisni que son jeu d'acteur. Ensuite, force est de reconnaître que pour un film aussi vieux il ne fait pas trop dépassé par rapport à son époque, et je pense qu'à l'époque il devait être sacrément visionnaire.
    L'histoire repose sur la dernière phrase qu'a prononcé Charles Foster Kane sur son lit de mort, "Rosebund" et un déctective décide de trouver de quoi il s'agit. On va donc suivre ses pérignations tout le long et ainsi on va en apprendre plus sur la vie de se riche milliardaire qui était avant tout égoïste, seul, en recherche d'affection perpétuelle et qui va au final avoir une vie très spéciale. Tout est parfaitement maîtrisé les dialogues s'enchaînent, les flashbacks sont très clairs et on est jamais perdu.
    Un très (très) grand film, avec un final grandiose!
    Un chef d'oeuvre du cinéma!
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