Mon compte
    Citizen Kane
    Note moyenne
    4,3
    13938 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Citizen Kane ?

    496 critiques spectateurs

    5
    234 critiques
    4
    133 critiques
    3
    55 critiques
    2
    46 critiques
    1
    18 critiques
    0
    10 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Couscous
    Couscous

    37 abonnés 434 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 mai 2016
    Un incroyable film pour l'époque grâce à ces nombreuses astuces et autres nouveautés. Plongé dans cette Amérique noir, rempli par l'infâme capitalisme et anti-socialisme. Quelques faiblesses dans le scénario mais honnêtement, quel film.
    RGciné1895
    RGciné1895

    17 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 décembre 2012
    Tout simplement un chef d’œuvre ! J'ai adoré la fin :)
    alf38000
    alf38000

    16 abonnés 142 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2024
    Difficile d’imaginer qu’à seulement 26 ans, Orson Welles réalise son premier film et en même temps donne au monde une œuvre aussi magistrale qu’intemporelle en mettant en scène la vie de Charles Foster Kane, magnat de la presse, vie inspirée du personnage bien réel celui-ci de l’homme d’affaires William Randolh Hearst, qui suite à la sortie du film vouera une haine farouche à Welles (haine en partie due à l’utilisation du terme "rosebud", qui faisait directement référence à une zone particulière du corps de sa maîtresse). Milliardaire excentrique, tantôt tyrannique, tantôt magnifique, cultivant l’incorruptibilité jusqu’à l’obsession qui causera sa chute...grandeur et décadence.
    Avec Citizen Kane, le cinéaste bouleverse les codes en vigueur et s’il ne l’invente pas, promeut pour le moins une nouvelle façon de filmer, de longs plans séquences (dont s’inspirera le maître du suspense, Alfred Hitchcock quelques années plus tard), des clairs-obscurs lumineux directement inspirés de l’expressionnisme allemand, l’utilisation des caméras en plongée et contre-plongée (technique qu’il réutilisera notamment dans le film "le procès"), la séquence d’ouverture type documentaire, le découpage des séquences chronologiques agrémentées de flash-back...
    En fait, on pourrait continuer longtemps à énumérer toutes les techniques utilisées par Welles et qui feront des émules durant les décennies suivantes, de Mankiewicz à Scorsese, Coppola ou encore Kubrick.
    Avec le temps, la vie de ce géant (au sens propre comme au sens figuré), réalisateur de génie et admirateur inconditionnel de Shakespeare, de Raimu et de Napoléon entre autres, finira par se confondre avec celle du personnage de son œuvre phare...
    Rosebud...
    Renaud81
    Renaud81

    26 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2021
    A trop entendre parler de "chef d’œuvre", de "meilleur film de tous les temps", forcément, les attentes sont grandes, et il est facile d'être déçu. Alors certes, le film est innovant pour l'époque, que ce soit sur le fond ou sur la forme...l'interprétation est convaincante, Orson Welles notamment est crédible dans le rôle-titre. La réalisation est très soignée, l'utilisation de plusieurs points de vue et de flashbacks est bien vue... A côté de ça, le scénario n'évite pas quelques longueurs, et malheureusement la fin (révélation finale) est trop vite expédiée, alors que tout le film est basé sur cette question initiale "qu'est-ce que "Rosebud" ?"...Au final, de mon point de vue, c'est un film intéressant et réussi, mais beaucoup d'autres de la même époque ou plus anciens m'ont plus surpris / captivé que ce "meilleur film de tous les temps"...
    ferdinand75
    ferdinand75

    551 abonnés 3 872 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 septembre 2015
    Un film incroyable, exceptionnel qui aujourd’hui encore, en 2015, a gardé toute sa fraîcheur, toute sa créativité. C’est un film « révolutionnaire » déjà à son époque, par sa forme, qui lui fait alterné les moments classiques de cinéma, du photo montage, du publi- reportage, des effets spéciaux,, l’usage de dessins , de toiles de fonds peintes ,( kromaki avant l’heure) de copiés/collés, et des optiques à la focale incroyable, ,.. Le scénario est solide et s’enchaine sur un rythme infernal, comme une valse époustouflante .De l’enfance du héros, de son environnement jusqu’à sa réussite dans le milieu de la presse, et son accès au statut de « Tycoon », puis sa folie mégalomaniaque. L’utilisation du personnage de Hearst, comme modèle, est très astucieuse. Quand on visite le vrai château de Hearst a San Simeon , en Californie , comme je l’ai fait cette année 2015, on comprend le génie de Wells, qui n’a rien exagéré, qui tournant ce film en 1940, arrive à anticiper le destin de Hearst qui ne mourra qu’en 1951 .. Il cerne le personnage et décrit bien tous ses forces et faiblesses. Et son final misérable annonce bien les difficultés qu’il devrait subir sur la fin de sa vie . C’est pour cela que Hearst mettra toute son énergie à empêcher la sortie commerciale du film car il montre bien le génie créatif, l’ opportunisme, l’ entrepreneur culotté, mais aussi le côté sombre , sa double vie ( il vivra avec sa maîtresse sans jamais divorcer de son épouse, une femme influente de la société WAPS de la côte est), la corruption, son rapport trouble avec la politique , candidat malheureux à des élections à plusieurs reprises ( y compris une présidentielle) ,et même , on sait maintenant que Hearst aura des « complaisances » avec l’ Allemagne Nazi, et était probablement du voyage du congrès Nuremberg en 1934 . Wells a un instinct formidable dans les choix et le traitement qu’il fait du personnage. Il se révèle lui même comme un magnifique acteur, avec une jubilation hors norme à être devant la caméra, comment un enfant qui fait joujou, presque naturellement . La scène du ballet des danseuses de revue est énorme, expressionniste, endiablée, presque vulgaire, avec le sourire narquois de Wells en plan de coupe. Toutes les scènes du château sont superbes (l’extravagance du château est réelle, il est bien comme cela et même « pire », encore plus loufoque). Le fameux travelling final est énorme, un des plus beaux plans de l’histoire du cinéma, peut-être le plus beau , un plan démoniaque qui fait l’inventaire de tous les biens de Kane, pour finir par un gros plan sur la luge de sa jeunesse , la Rosebud, qui est jeté et mise au feu . De toutes ses richesses, ce souvenir de son enfance est ce qui restait de plus précieux. Pour son premier film Welles a tout donné, a été au bout de lui même, avec une liberté de ton ,et une frénésie totale, tourné avec une équipe réduite, venant du théâtre, près à le suive dans ses délires .
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    269 abonnés 1 640 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 septembre 2023
    Enquête sur la vie intime d'un personnage public et réflexion sur les limites de ce type d'investigation biographique, puzzle forcément incomplet. Portrait d'un opportuniste mégalomane, tyran égoïste, monstre d'orgueil, et réflexion sur la vanité des ambitions humaines, sur un vide et une solitude indépassables. Évocation cynique d'un rêve américain capitaliste, d'une quête de pouvoir politique qui passe par une mainmise sur les médias (toujours fortement d'actualité), et réflexion pleine d'ironie amère sur une certaine forme de corruption et de décadence. Réflexion via le fameux "Rosebud", mot mystérieux symbole d'une nostalgie de l'enfance, d'un souvenir d'innocence, d'un paradis perdu, d'un "essentiel" relégué à l'anecdotique et voué à l'oubli. Le scénario de Citizen Kane est un formidable jeu de construction et de démolition, une brillante entreprise de démystification, une petite pépite de conclusion nihiliste. Un scénario qui reprend quelques éléments de l'enfance d'Orson Welles (l'histoire du tuteur) et qui, surtout, étonnamment, donne la tonalité de ce que sera la suite de la carrière et de la vie du cinéaste (démesure et insuccès, difficultés relationnelles...).
    Voilà pour le fond. Mais ce que l'on retient souvent davantage de ce premier long-métrage (quel essai !), toujours cité dans les classements des meilleurs films de l'histoire du cinéma, c'est son aspect formel extraordinaire. Narrativement : un jeu avec la chronologie (flash-back) et les points de vue. Visuellement : une réalisation d'une inventivité et d'une virtuosité constantes (utilisation renversante des plongées et contre-plongées, exploration novatrice de la profondeur de champ, nouvelle dynamique du cadre et de l'angle, saisissant jeu expressionniste d'ombre et de lumière...). Il faut également évoquer les décors de Xanadu, l'immense propriété de Kane, vue de l'extérieur et de l'intérieur, et notamment la conception géniale du salon, temple du vide avec cheminée géante. Sans oublier le montage (signé Robert Wise), particulièrement enlevé et cohérent avec l'énergie du personnage principal. Sans oublier non plus l'interprétation générale, la puissance d'Orson Welles en tête, bien accompagnée par les prestations des membres de la troupe de théâtre qu'il avait créée en 1937 (Mercury Theatre).
    Toute cette grammaire de cinéma est d'une richesse folle. Elle a jailli du bouillonnement créatif d'un jeune homme de 25 ans, le "wonder boy" américain de la fin des années 1930 et du début des années 1940, adulé pour ses créations théâtrales et ses interventions radiophoniques, ses éditos dans la presse, ses conférences... Petit génie multiple. Pour Citizen Kane, il a joui d'une rémunération et d'une liberté jamais vues alors. Ce sera moins le cas par la suite car le film, malgré un accueil critique globalement très bon aux États-Unis, n'eut pas de succès commercial. Et fut très attaqué par William Hearst, magnat des médias, qui se reconnut dans le personnage de Kane. En Europe, Citizen Kane ne fut montré qu’après la guerre et fut quasi unanimement salué. Voici ce qu'écrivait François Truffaut : "Un hymne à la jeunesse et une méditation sur l'âge, un essai sur la vanité de toute aspiration humaine et en même temps un poème sur la déchéance, et derrière tout cela une réflexion sur la solitude des hommes hors du commun." Un avis que ne partageait manifestement pas Jean-Paul Sartre : "Nous sommes constamment débordés par ces images trop ridées, grimaçantes à force d'être travaillées. Comme un roman dont le style se pousserait toujours au premier plan et dont on oublierait à chaque instant les personnages. [...] Tout est analysé, disséqué, présenté dans l'ordre intellectuel, dans un faux désordre qui est seulement la subordination de l'ordre des événements à celui des causes. [...] Tout est mort [...] les inventions techniques ne sont pas faites pour rendre la vie."
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    156 abonnés 1 196 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 juillet 2020
    Tout simplement le films le plus acclamé de tous les temps. Malheureusement pour moi je n'ai pas les connaissances nécessaires pour juger de sa modernité avant-gardiste et de son impact sur le cinéma. Je jugerai donc le film au plaisir qu'il m'a procuré et j'ai effectivement passé un bon moment devant cette histoire étonnamment rythmée, propulsée par la performance dantesque de Welles en rôle titre. Le travail sur les clairs-obscurs et jeux d'ombres sur les visages a une classe indéniable. J'ai trouvé le final réussi mais pas forcément là où on l'attendait : spoiler: certes la révélation de Rosebud est habile mais c'est plutôt le commentaire du journaliste qui me restera : "Anyway, it wouldn't have explained anything... I don't think any word can explain a man's life". Ceci étant dit j'avoue n'avoir toujours pas bien compris qui était cet homme ni l'intérêt de lui consacrer un film. Quand à la morale, elle était peut-être révolutionnaire en 1941 mais aujourd'hui "l'argent n'achète pas le bonheur" parait bien éculé.

    [Edit] Après quelques recherches il semblerait que Citizen Kane ait davantage marqué l'histoire pour ses innovations techniques musicales et narratives que pour sa qualité intrinsèque : travellings démesurés, décors plafonnés, plongées/contre-plongées, utilisation d'optiques à forte profondeur de champ et création du film-enquête via la désarticulation volontaire de la chronologie de l’histoire constitués de flash black.
    vive-le-cine123654789
    vive-le-cine123654789

    95 abonnés 621 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2013
    Un classique des classiques. Parfois considéré comme le meilleur film américain de tous les temps, je dois admettre que ce film est foncièrement à part. Si pour ma part, il n'est pas le meilleur film que j'ai vu (il en est même très très loin), il nous réserve de très nombreuses surprises. Tout d'abord sur sa trame narrative qui est tout simplement géniale, excellente. On découvre peu à peu la vie de ce personnage extraordinaire au travers des yeux de ceux qui l'ont connu. Ce qui en donne un portrait incomplet, mais dont on se chargera de combler les trous qui restent, comme un puzzle dont il manque des pièces. Un homme extraordinaire, mais un homme comme les autres, avec ses caprices, sa volonté, ses problèmes. Un homme qui peut tout avoir et qui en veut toujours plus, courant après quelque chose sans but précis. Un homme triste donc, pour lequel on se surprend à prendre en pitié. Une histoire vraiment bien menée du début à la fin. A cela s'ajoute un casting qui, sans être sensationnel, réussi à nous paraître crédible et efficace. Orson Wells survole le tout, à la fois charismatique, imposant, mais aussi fragile. Alors après, il est vrai qu'on a affaire à un film qui a déjà plus de soixante-dix ans. Mais cela n'enlève rien au plaisir des yeux : oui, les effets spéciaux ont vieillis et oui on voit les fonds en toiles peintes des décors (qui pour le reste, sont vraiment très chouettes) ; mais tout cela reste très efficace et suffisamment crédible pour qu'on y croit. C'est aussi un des premiers films à instaurer la musique de film comme vecteur de l'histoire, et si on note un début timide avec des sonorités qui nous brisent parfois les oreilles (beaucoup de percussions anarchiques), on en retient cependant quelques morceaux vraiment chouettes, annonciateurs d'un des éléments primordiaux des films d'aujourd'hui. Mais c'est sur la mise en scène que ce film est un véritable bijou, avec l'utilisation de nombreux plans géniaux, une utilisation totale de l'espace des décors. La caméra garde des mouvement très simples, mais à partir de ces bases, on a droit à de superbes séquences, où chaque plan a une signification particulière. Bref, un classique des classiques qu'il faut avoir vu non pas parce qu'il est super-trop-méga-génial, mais parce que son statut de film culte est largement mérité. Un grand film du cinéma américain !
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    115 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 avril 2020
    Je comprends le sens du film, je comprends la signification de "Rosebud". Le message est donc relativement subtil, les plans sont recherchés. Mais je ne trouve pas dans ce film le chef-d'oeuvre décrit par l'univers entier et qui eclipserait à lui seul 120 ans de cinéma. La longueur du film m'a également gêné; O.Welles aurait pu atteindre le même objectif dans un film de 90 minutes.
    T-Tiff
    T-Tiff

    95 abonnés 1 186 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2020
    "Citizen Kane" fait partie de la très courte liste des films ayant le plus marqués l'histoire du Septième Art. En 1941, Orson Welles produit et réalise son premier film, dans lequel il tient également le rôle principal, celui de Charles Foster Kane, un mégalomane et magnat de la presse. A la mort du personnage, celui prononce comme derniers mots « Rosebud », dont un reporter cherche à percer le secret en rencontrant les personnes qui ont marqué la vie du milliardaire. Ainsi le film est construit par flash-backs successifs, ce qui était déjà assez innovant pour l'époque. Car "Citizen Kane" était bien un film révolutionnaire pour l'époque, avec une caméra particulièrement mobile, des plans en contre-plongée largement appuyés, des enchaînements d'une scène à l'autre en fondu. En outre, ajoutons une utilisation de la lumière très minutieuse, des décors magnifiques et une musique formidablement composée. Le film, qui aura bientôt quatre-vingts années, fait preuve d'une modernité incroyable. Alors nous regretterons que le scénario ne permette pas un meilleur de développement du protagoniste, et qu'il y ait un peu trop d'ellipses entre les différents flash-backs. L'introduction est, quant à elle, un peu longue. Il ne fait aucun doute que "Citizen Kane" mérite de trôner parmi les plus grands films de l'histoire, à titre personnel nous ne pouvons le mettre au rang de chef-d'œuvre. Un film qu'il reste très agréable à regarder malgré son âge avancé.
    Vrakar
    Vrakar

    41 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2015
    Orson Welles était en avance sur son temps. Rien que les flashbacks, dont l'inévitable Quentin Tarantino est devenu un spécialiste, étaient une idée de génie dans un cinéma d'époque très formaté. Toutes ses mises en scène ont le droit à des plans novateurs. Evidemment, les limites techniques des 40's se voient parfois (la vue sur le toit en plongée, des confettis en guise de neige). Le rythme ne souffre que de très peu de longueurs. Sans un scénario complexe et ingénieux, ce "Citizen Kane" n'aurait probablement pas eu autant de succès. Rarement des films sont devenus cultes avec un scénario faiblard. On notera aussi un gros travail sur la lumière et les contrastes. La scène avec une lumière blafarde tombant sur un bureau (aux environs des 18 mns) a inspiré de nombreux réalisateurs, dont Ridley Scott pour son "Blade Runner". La bande son vieillotte resplendit de jeunesse. Les acteurs sont remarquables et parfaitement dirigés par son acteur principal/réalisateur/scénariste/producteur (rien que ça). "Citizen Kane" est un film culte dont bien des réalisateurs actuels devraient s'inspirer plutôt que de faire du blockbuster basé sur les effets spéciaux mais dénué de scénario et d'âme.
    Serpiko77
    Serpiko77

    58 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 septembre 2015
    Souvent considéré par les spécialistes comme un des tout meilleurs film de l'histoire du cinéma, je dois reconnaître que "Citizen Kane" m'a particulièrement déçu. L'histoire est plutôt banal (certes elle ne l'était probablement pas à l'époque) et je n'ai pas accroché ni à l'intrigue ni aux personnages qui m'ont plutôt laissé froid. De plus je n'ai pas trouvé Orson Welles particulièrement bon acteur. En revanche certains effets stylistiques (flashbacks, caméra subjective, voix-off, plan-séquence) sont très réussis et précurseur dans leur domaine.
    Regis D
    Regis D

    33 abonnés 167 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juin 2015
    Pour l'époque, on se dit qu'il y avait de l'audace dans la réalisation, ou les idées. Mais je me suis, semble-t-il retrouvé face à un conflit générationnel, ou plutôt en étais-je un des protagonistes.
    Jai vu ce film dans un avion, vol long courrier, cela justifie peut-être mes somnolences. Enfin, j'ai vu ce classique, qui aura sûrement inspiré des réalisateurs de mon époque dont j'aurai plus apprécié les films, donc merci Orson Welles, vous avez donné le ton et participé à l'envol du 7eme art.
    David M
    David M

    26 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2015
    Un film trop en avance pour l'époque, mais pas vraiment novateur de nos jours.
    Une histoire intéressante sans être passionnante.
    Le final donne un sens au film en incitant à la réflexion.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 avril 2010
    Un monument du cinéma.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top