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    Trois couleurs - Blanc
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    47 critiques spectateurs

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    lfa
    lfa

    3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 août 2016
    Il y a un « truc » qui m’a chagriné dans le scénario, les comportements psychologique de homme et de la femme et je me suis imaginé d’inverser les rôles, mettre un homme a la place de la femme et inversement et pour ma part cela tiens debout
    J ai lu quelque part c’est d’usage afin de donner plus de « piquant » d’inverser les roles masculin et feminin, pour ce film c’est flagrant exemple c’est très masculin de demander un divorce pour manque de sexe, c’est très masculin de recoucher avec un ex dans cette atmosphère de vengeance c’est très feminin d’avoir cette vengeance sournoise etc
    Ricco92
    Ricco92

    231 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2016
    Second volet de la trilogie de Kieślowski sur les valeurs de la devise de la République française, Trois couleurs : Blanc est très différent de Bleu en ce qui concerne la forme. En effet, il est beaucoup plus narratif et moins esthétisant que ce premier film. Ici, nous suivons les aventures d’un Polonais se retrouvant dans la misère suite à son divorce avec une Française et la manière dont il remonte la pente et arrive à un point d’égalité avec elle. L’illustration du thème que le film est sensé illustrer apparait essentiellement dans les dernières séquences et apporte une forme de morale au tout. D’un point de vue esthétique, le film est réussi, même si cela se fait de manière plus discrète que pour Bleu, et mise beaucoup sur la performance de ses comédiens et en particulier de Zbigniew Zamachowski, plein d’humanité et d’ambigüité dans les dernières séquences. La musique de Zbigniew Preisner se fait également plus sobre mais n’en reste pas moins belle. Un film formellement plus discret que le premier volet mais toutefois très réussi.
    Mathilde L.
    Mathilde L.

    8 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 avril 2016
    Je trouvais au début que c'était le moins réussi des trois aussi. Mais en le revoyant j ai été bouleversé par le jeu d acteur et par son esthétique, j ai bien mieux compris ce film. Il est plus difficile d entrer dans ce film par rapport aux autres mais en le revoyant il est tout aussi beau et peut être même plus bouleversant que les autres par le désespoir des deux personnages qui n arrivent pas à vivre ensemble. Julie Delpy y est très belle, au teint blanc éclatant, comme une poupée russe ou une statue de Marianne. Son partenaire est très attachant. Le blanc prend plusieurs sens: celui de l égalité, celui de la froideur et de la cruauté humaine, celui du désespoir ou de l'espoir selon les moments du film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 décembre 2015
    Un drame anti-raciste-sexiste pas touchant et plein de maladresse. Karol est si énervant que par moment on a peine à ne pas péter un câble. En un mot: navrant!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 mai 2014
    Quelqu'un d'autre a vu ce film? J'ai dans l'idée de le regarder ce soir ou demain. J'ai dans l'idée que c'est le genre de filme idéal pour décompresser après un jour ferié.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 mai 2014
    je me suis tres inspire par ce film, cela est quelque chose de spirituel. J'ai toujours la meme ambition d'essayer mon meilleur a obtenir une vie comme cela!
    Hotinhere
    Hotinhere

    570 abonnés 4 995 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 juillet 2024
    Deuxième volet de la trilogie, une fable sociale sombre et cruelle, intriguante mais un peu confuse et pas super emballante, sur le parcours d’un polonais déchu prêt à tout pour reconquérir sa femme restée en France interprétée par la sublime Julie Delpy.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 août 2013
    Je viens de le voir en Dvd à l'instant,c'est un bon film.
    Julien D
    Julien D

    1 212 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 août 2013
    Alors que, dans le premier opus de sa trilogie des trois couleurs, Bleu, Krzysztof Kieslowski nous offrait un travail artistique très poussé, donnant une symbolique mélodramatique à la couleur bleue omniprésente, il choisit non seulement un ton plus léger mais oublie de s’appliquer sur sa métaphore chromatique, la couleur blanche n’ayant plus pour finalité que de rendre plus froide l’imagerie donnée à la Pologne. Le réalisateur a en effet tourné la grosse majorité de son film dans son pays natal pour en faire une peinture assez cynique, avec la volonté évidente de surligner les dégâts que purent y avoir la mise en place d’une économie capitaliste sur la mentalité de ses habitants. Sans doute le moins abouti des trois films, Blanc profite au moins d’un casting que l’on sent investi par son scénario.
    bsalvert
    bsalvert

    418 abonnés 3 596 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2023
    :
    Dans cette trilogie qui pousse à la réflexion, c'est surement celui le plus lent. Julie Delpy reste néanmoins impeccable.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 novembre 2012
    Ce deuxième volet de la trilogie est d'un ton plus proche de la comédie (cela reste dramatique) mais le personnage principal fait assez "clown triste". Le scénario est plus élaboré encore que dans les deux autres films. Mais il n'est pas aussi poignant que Bleu.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 août 2013
    Petit inconvénient une grande partie du film se passe en Pologne donc ça parle en polonais CQFD.
    Sinon un film pas mal la réalisation et l'acteur principal font beaucoup penser à du Polanski.
    il_Ricordo
    il_Ricordo

    106 abonnés 407 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2013
    Tout le monde t'a vu, Juliette Binoche, en train d'essayer de rentrer dans la salle de Tribunal ! Et toi, Krzysztof, fais pas le malin à essayer d'établir des liens symboliques entre tes films : tiens, par exemple, la petite vieille qui n'arrive pas à mettre sa bouteille dans la poubelle pour verres (quelle ironie quand il nous montre son personnage, pourtant à la rue et sans argent, se moquer de la vieille et ne pas songer à l'aider)...
    Bleu = Égalité. Un vaste sujet : on peut à peu près parler de tout. "La seule égalité possible se trouve dans l'esclavage". Ou la plus grande pauvreté, ce qui revient au même. On a donc un certain Karol, Polonais échoué en France on ne sait trop comment, qui se retrouve à la rue avec une simple malle, dont le contenu ne nous sera jamais révélé, par manque d'intérêt sans aucun doute. C'est un minable, un habitué de la malchance : la fiente de pigeon qui tombe sur la veste en dit très long. Il accumule sottises et maladresses, la plupart du temps injustement, et surtout une poisse incroyable. De désespoir, il retourne en Pologne. Et là s'opère une totale conversion : avec une malignité infaillible et un sens aigu des affaires, il devient rapidement un riche homme d'affaires (n'oublions pas le contexte : fin de l'URSS, naissance d'un capitalisme en Europe de l'Est et tout les débordements qu'entraîne une transition rapide et incontrôlée).
    On évoque pour décrire les actions de Karol une soif de vengeance pour son ex-femme Julie Delpy. Mais peut-être qu'il s'agit au contraire de son amour pour elle, qui agit comme un stimulant de son action : dopé par le désir de la revoir, comblé de richesses et lui mettant plein la vue, il fait donc le maximum et écarte tout scrupule qu'il aurait eu auparavant.
    Dans plusieurs de ses films, Kieslowski laisse entendre qu'il voit dans la France une ouverture pour les artistes et tous ceux qui cherchent à faire fortune. Dans La Double vie de Véronique, la Weronika polonaise est sacrifiée au profit de la Véronique française. Bleu clame un amour pour une Europe, lien culturel entre les pays, et Blanc une sorte de retournement du rêve français (sic). L'égalité n'est plus un but, c'est un frein à la réussite, et si la couleur blanc est présente dans chacune des scènes du film (seul le tapis de neige de la terre polonaise est évident), Kieslowski parle de ce principe utopique avec ironie et amertume.
    Parkko
    Parkko

    162 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 octobre 2011
    Autant j'ai beaucoup aimé Bleu, autant Blanc ne m'a pas inspiré. J'ai trouvé ça vraiment pas terrible, le scénario est vraiment pas passionnant, j'ai pas trouvé la mise en scène remarquable non plus, j'ai l'impression qu'il y avait moins d'idées que dans Bleu par exemple. Après je reconnais que la fin du film est forte, mais cela ne suffit pas.
    Le problème c'est que même cette fin au final, voilà elle arrive un peu comme un cheveu sur la soupe, genre voilà, regardez pourquoi j'ai fait ce film, on parlait de ça en fait. Ah ouais, enfin bon, ça ne fait pas oublier le reste du film.
    stebbins
    stebbins

    507 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 décembre 2011
    Après la Liberté, l'Egalité. Après le Bleu, le Blanc. Après l'Ennui, encore l'Ennui. Kieslowski perpétue sa théorie cinématographique au détriment du plaisir du spectateur, se regardant filmer comme jamais, accouchant d'une comédie proprement antipathique car totalement surfaite. L'image est un nouvelle fois en harmonie avec le titre, évoquant la froideur des pays d'Europe centrale... C'est bien là la seule et unique réussite de Blanc : cette adéquation thématique qui n'est en fait rien de moins que de l'onanisme intellectuel propre à satisfaire la science de son auteur. Les acteurs prennent la pose, mal dirigés par un Kieslowski tentant une nouvelle fois de donner un sens à chaque geste et à chaque regard, rendant la dramaturgie complètement fausse et figée. C'est vraiment très lourd à digérer, orienté vers une thèse originale assez vaine et pratiquement ridicule au final. Se poser des questions, chercher à réinventer la grammaire du cinéma au service d'un nouveau propos, se prendre la tête au sens large sont des intentions louables... Malheureusement Kieslowski nous sert là un laïus tout sauf intelligible pour le commun des mortels, marmonant dans sa barbe quelques vieux relents politiques qui n'intéressent que lui. Barbant à en mourir.
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