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8 critiques presse
Le Point
par Patrick Besson
A 30 ans, Emir Kusturica nous donne un chef-d’œuvre de deux heures quinze (...) Une simplicité, une force et une émotion qu'on n'avait plus vues depuis longtemps.
Télérama
par Joshka Schidlow
Emir Kusturica, cinéaste de trente ans, a obtenu avec ce film la Palme d'or à Cannes en 85 et c'est justice. Une succession de scènes de famille filmées avec sagacité et humour interprétées par des acteurs désarmants de vérité.
L'Humanité
par Jean Roy
C'est une richesse d'avoir des acteurs comme Vujisic, comme c'est une richesse de disposer de scénaristes et de réalisateurs qui ne se contentent pas de leur donner des rôles folkloriques mais qui savent en faire la mémoire vivante d'une société. De ce cinéma. « Te souviens-tu de Dolly Bell ?» et « Papa est en voyage d'affaires » sont parmi les meilleurs exemples.
La Croix
par La Rédaction
Nostalgique du néoréalisme à l’italienne, Kusturica peint avec légèreté des petits tableaux pointillistes de la vie quotidienne, vus par une caméra aussi lucide qu’ironique. Une critique sociale impertinente, séduisante par sa liberté.
Le Figaro
par La Rédaction
A Cannes, Papa est en voyage d'affaires, à la satisfaction générale, remporta la Palme d'or. Cet ouvrage tendre, intelligent et bien fait, nous rassurait en effet en apportant la preuve que le miracle était encore possible d'un inconnu de trente ans racontant une histoire selon son coeur.
Le Monde
par Jacques Siclier
Avec sa tendresse et son amertume mêlées, son sens aigu de la caricature et la chaleur humaine, ses ruptures de ton, le jeu à la fois subtil et emporté de ses acteurs, la chronique a des airs de comédie italienne, de grand film populaire.
Les Echos
par Annie Copperman
Tout y est traité avec le sourire, un très joli film. Et qui parle mine de rien, de sujets fort sérieux, avec une sorte de grâce communicative (…). Ce petit garçon joufflu donne au film, grâce à sa fraîcheur insolente, une chaleur insolite tout à fait séduisante.
Libération
par G. L.
Hilarant, émouvant, réussi (…). Sidérant Moreno de Bartolli, le cadet, un gamin de six ans, lunaire, impertinent et farceur, qui regarde passer la vie comme Zazie son métro”.
Le Point
A 30 ans, Emir Kusturica nous donne un chef-d’œuvre de deux heures quinze (...) Une simplicité, une force et une émotion qu'on n'avait plus vues depuis longtemps.
Télérama
Emir Kusturica, cinéaste de trente ans, a obtenu avec ce film la Palme d'or à Cannes en 85 et c'est justice. Une succession de scènes de famille filmées avec sagacité et humour interprétées par des acteurs désarmants de vérité.
L'Humanité
C'est une richesse d'avoir des acteurs comme Vujisic, comme c'est une richesse de disposer de scénaristes et de réalisateurs qui ne se contentent pas de leur donner des rôles folkloriques mais qui savent en faire la mémoire vivante d'une société. De ce cinéma. « Te souviens-tu de Dolly Bell ?» et « Papa est en voyage d'affaires » sont parmi les meilleurs exemples.
La Croix
Nostalgique du néoréalisme à l’italienne, Kusturica peint avec légèreté des petits tableaux pointillistes de la vie quotidienne, vus par une caméra aussi lucide qu’ironique. Une critique sociale impertinente, séduisante par sa liberté.
Le Figaro
A Cannes, Papa est en voyage d'affaires, à la satisfaction générale, remporta la Palme d'or. Cet ouvrage tendre, intelligent et bien fait, nous rassurait en effet en apportant la preuve que le miracle était encore possible d'un inconnu de trente ans racontant une histoire selon son coeur.
Le Monde
Avec sa tendresse et son amertume mêlées, son sens aigu de la caricature et la chaleur humaine, ses ruptures de ton, le jeu à la fois subtil et emporté de ses acteurs, la chronique a des airs de comédie italienne, de grand film populaire.
Les Echos
Tout y est traité avec le sourire, un très joli film. Et qui parle mine de rien, de sujets fort sérieux, avec une sorte de grâce communicative (…). Ce petit garçon joufflu donne au film, grâce à sa fraîcheur insolente, une chaleur insolite tout à fait séduisante.
Libération
Hilarant, émouvant, réussi (…). Sidérant Moreno de Bartolli, le cadet, un gamin de six ans, lunaire, impertinent et farceur, qui regarde passer la vie comme Zazie son métro”.