West Beyrouth (À l'abri les enfants) : Critique presse
West Beyrouth (À l'abri les enfants)
Note moyenne
3,0
4 titres de presse
Télérama
Planetcinema.com
Première
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Télérama
par Louis Guichard
West Beyrouth, allègre et attachant, porté par ses jeunes interprètes au naturel idoine, vaut comme une revanche. Celle de Ziad Doueiri, des années de guerre n'ont pas réussi à gâcher sa jeunesse, puisque qu'il l'a aimée au point de vouloir la revivre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Planetcinema.com
par Remy Batteault
On se prend à penser que si le réalisateur s'était adjoint les services d'un coscénariste, capable de prendre un vrai recul, son film n'en aurait été que meilleur.
Première
par Christophe Carrière
Ziad Doueiri n'a pas manqué de jouer le scénario autobio. Ce n'est pas pour autant larmoyant ou nostalgique. Juste juste. Avec ce qu'il faut d'images sombres pour rappeler la réalité et assez de souvenirs pour ne pas la trahir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Pour tout personnage, le film ne propose qu'une galerie d'archétypes « représentatifs » ; pour tout récit, une succession de sketches exemplaires jusqu'à la caricature ; pour toute mise en scène, un penchant immodéré pour la surenchère.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
West Beyrouth, allègre et attachant, porté par ses jeunes interprètes au naturel idoine, vaut comme une revanche. Celle de Ziad Doueiri, des années de guerre n'ont pas réussi à gâcher sa jeunesse, puisque qu'il l'a aimée au point de vouloir la revivre.
Planetcinema.com
On se prend à penser que si le réalisateur s'était adjoint les services d'un coscénariste, capable de prendre un vrai recul, son film n'en aurait été que meilleur.
Première
Ziad Doueiri n'a pas manqué de jouer le scénario autobio. Ce n'est pas pour autant larmoyant ou nostalgique. Juste juste. Avec ce qu'il faut d'images sombres pour rappeler la réalité et assez de souvenirs pour ne pas la trahir.
Le Monde
Pour tout personnage, le film ne propose qu'une galerie d'archétypes « représentatifs » ; pour tout récit, une succession de sketches exemplaires jusqu'à la caricature ; pour toute mise en scène, un penchant immodéré pour la surenchère.