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Estonius
3 351 abonnés
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4,0
Publiée le 14 décembre 2012
Produit par la Hammer Films. Adaptation d'un roman irlandais de Sheridan le Fanu (paru en 1871 et donc antérieur au Dracula de Bram Stocker qui date de 1897) C'est un film fantastique mais ce n'est ni film d'angoisse ni un film d'épouvante, ce serait plutôt un film d'ambiance gothique où s'installe autour de l'excellente et très jolie Ingrid Pitt, un étrange climat poétique et envoûtant. Ingrid Pitt en vampirette joue donc le rôle de la méchante mais c'est aussi elle qui domine la distribution, (et c'est bien là tout le paradoxe de ce genre de film), son attitude saphique ne fait que reprendre ce qui n'était que suggéré dans le livre, donnant au film une nécessaire teinte d'érotisme. Un excellent film de vampire.
Provenant de la Hammer, « Vampire Lovers « est un très bon film de vampires de la part de Roy Ward Baker qui adapte ici la nouvelle « Carmilla « de Sheridan le Fanu avec une certaine intelligence, en y mélangeant de manière assez efficace l’épouvante et l’homosexualité. Dans le rôle principal, nous retrouvons la charmante Ingrid Pitt qui interprète le double rôle Marcilla/Carmilla de manière sensuelle et convaincante. Elle se retrouvera secondée par quelques charmantes actrices, comme par exemple Madeline Smith ou encore Kate O’Mara, mais aussi par un certain Peter Cushing qui était un habitué des productions de la célèbre firme britannique. De plus, la photographie et les décors sont réussis, ce qui fait que l’ambiance de ce long métrage est particulièrement gothique et est très plaisant à suivre de bout en bout. Une belle petite surprise à découvrir pour tous les fans des films de vampires.
The Vampire Lovers (1970) est adapté du roman "Carmilla" de l’écrivain irlandais Joseph Sheridan Le Fanu (publié en 1970) et produit par la Hammer, le célèbre studio anglais habitué aux films d’épouvantes. Au programme de ce 90 minutes gothico/vampirique, une intrigue "mou du genou" avec une mise en scène pour le moins amorphe. D’ailleurs, pour retenir en haleine le spectateur qui sommeil en chacun de nous, Roy Ward Baker n’a eu d’autre idée que de pimenter son œuvre de séquences érotiques (et lesbiennes). Ainsi, au lieu d’avoir affaire à un simple film de vampires, on se retrouve finalement devant un nudie-movie vampirique avec des donzelles dénudées (les gros plans sur des paires de seins se veulent répétitifs, pour ne pas dire insistants). A noter enfin qu’il y a eu deux autres opus suite à ce film, à savoir : Lust for a Vampire (1971) & Les sévices de Dracula (1971).
Une charmante jeune femme se fait héberger dans la demeure de riches personne, pour mieux séduire et vampiriser les innocentes jeunes filles qui s'y trouvent. Egalement produit par la Hammer, "The Vampire Lovers" reprend plusieurs éléments de la franchise Dracula (décors gothiques, intrigue située au 19ème siècle, etc.), mais s'avère assez fade. La mise en scène est molle, et les acteurs pas toujours très bons. Il est notamment regrettable que Peter Cushing n'ait qu'un petit rôle. Toutefois, le film aborde de manière très ouverte le thème du lesbianisme, et dévoile largement les formes de plusieurs actrices sensuelles, deux élément très osés pour l'époque. On y dénote également un aspect gore, qui deviendra de plus en plus présent dans les films de la Hammer des 70's.
Un des derniers bons films gothiques produits par la Hammer. Il s’agit d’une adaptation du "Carmilla" de Sheridan Le Fanu, du versant saphique donc du mythe du vampire. A l’orée des années 70 la sensualité est plus explicite, mais toujours avec élégance, sans vulgarité, avec le sens du sous entendu et celui de l‘ellipse (mais en montrant aussi de magnifiques nudités féminines). Beaucoup de scènes ont une réelle poésie, le scénario, la construction du film, ménagent le suspense avec intelligence. Un excellent divertissement.
Séduit définitivement avec son style dogmatique et un peu maso, enfin l'hystérie allant jusqu'à l'inconvenance des gueux du village représentée envers Dracula est plus vraie que nature d'autre part les étranges étranges allégories à retardement du film provoquent un effet des plus efficaces: Autre chose donc que le fade twilight n'en déplaise à ses adorateurs professionels et puis comment résister à cette créature de la nuit qu'est Ingrid Pitt ?
Autre élégante production de la Hammer sur le thème vampirique (l’élégant Cushing est de la partie), le scénario cherche ici à s’attarder sur l’incarnation absolue de la tentation maléfique : le lesbianisme. Grand Dieux ! Ils ont osé ! A la dimension irrémédiablement séductrice des vampires (masculins ou féminins, ils font des ravages sur le sexe opposé), s’ajoute un sous texte brûlant sur les fantasmes comme rarement il nous a été donné d’en voir. Ayant droit à des plans sensuels (un téton dénudé par ci, une silhouette nue en contrejour par là…) et des plans gores (la décapitation, c’est efficace), ce petit film contient tous les ingrédients qui ont fait le charme de la saga Dracula, avec moins de classe mais plus de pop corn. La mise en scène étant là encore plutôt bien faite, nous n’aurons pas à nous plaindre face à ce divertissement au final peu prétentieux.
Quand on regarde un film de vampires de la Hammer on ne s'attend pas à voir un chef-d'oeuvre, on est prévenu, on veut juste se laisser bercer par une gentillette histoire horrifique gothique. "The vampire lovers" est assez contrasté qualitativement avec des scènes très soignées comme celle du bal au début du film et d'autres faites de peintures murales de villages et vieux châteaux qui nous renvoient au cinéma des années vingt, comme dans le jeu des acteurs et actrices qui vont du bon jusqu'au mauvais. Il est vrai que les jeunes femmes ont sans doute été castées plus par rapport à la beauté de leurs seins que par rapport à leur talent, car il faut être honnête, la seule caractéristique notable de "The vampire lovers" réside dans ces quelques scènes dénudées à la thématique lesbienne très soft. A part ça l'histoire très répétitive ressemble beaucoup à ce qu'on a l'habitude de voir dans les films de vampires à la Dracula et ne réserve aucune surprise.
bon il faut savoir relativiser puisqu'il sagit d'un film de 1970 mais pour l'époque le film est plutôt bon: d'exellent acteurs et actrices une très bonne histoire de vampire pour l'époque et des effets spéciaux les plus collossaux de cette époque avant d'etre détroné par james cameron en 1975 (5 ans plus tard) dans le très célèbre film Alien qui a lancé la science fiction au soummet, mise en scènes et costumes impécables, la timeline est elle aussi impécable (en l'en 1000-1500) idéale pour parler de vampires. j'ai un coup de coeur pour ce film de 1970 qui s'en sort a merveille, très impressionnant en 1080p. exellent classique qui se paye meme le luxe d'etre en couleur.