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A condition de se laisser porter par l'ambiance particulière de ce film au prétexte finalement assez léger, le spectateur prend un réel plaisir à suivre chacun des protagonistes dans ses actes et réflexions.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
A condition de se laisser porter par l'ambiance particulière de ce film au prétexte finalement assez léger, le spectateur prend un réel plaisir à suivre chacun des protagonistes dans ses actes et réflexions.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Dans un noir et blanc superbe, presque fantastique, et sur fond de musique obsédante et vaguement ironique, Eric Mendelsohn filme des êtres sur le fil, entre frustration et déraison. De doux rêveurs, des paumés balbutiants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) malgré un certain charme, Babylon, USA ne parvient pas à convaincre totalement. Car si cette évocation de quelques consciences en pleine période de trouble diffuse des effluves mystérieux, elle pèche par la forme.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Dans ce film imparfait, le plus réussi est la description de personnages, sans doutes proches du réalisateur (...). Leurs blessures (...) sont évoquées avec un réel charme.
Eric Mendelsohn décrit avec justesse sa gêne de rencontrer un ancien camarade de lycée, douze ans après l'avoir quitté. Il est, en revanche, moins convaincant dans sa perception du couple Judy Berlin-David Gold.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le hic, c'est que les ombres de Woody Allen et Michelangelo Antonioni, les deux maîtres du bon élève Mendelson (...) ont tendance à peser lourdement sur un résultat honnête mais tout de même anodin et pas très original.
De tout cela, il reste éventuellement le sourire, mais les personnages et les situations sont trop intellectualisés (...) pour être passionnants. Toutefois, le passage remarqué du film (en)festivals (...) prouve qu'un certain engouement est possible.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cplanet.com
A condition de se laisser porter par l'ambiance particulière de ce film au prétexte finalement assez léger, le spectateur prend un réel plaisir à suivre chacun des protagonistes dans ses actes et réflexions.
Le Figaro Magazine
A voir d'urgence
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com
A condition de se laisser porter par l'ambiance particulière de ce film au prétexte finalement assez léger, le spectateur prend un réel plaisir à suivre chacun des protagonistes dans ses actes et réflexions.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Télérama
Dans un noir et blanc superbe, presque fantastique, et sur fond de musique obsédante et vaguement ironique, Eric Mendelsohn filme des êtres sur le fil, entre frustration et déraison. De doux rêveurs, des paumés balbutiants.
Chronic'art.com
(...) malgré un certain charme, Babylon, USA ne parvient pas à convaincre totalement. Car si cette évocation de quelques consciences en pleine période de trouble diffuse des effluves mystérieux, elle pèche par la forme.
L'Evénement
Dans ce film imparfait, le plus réussi est la description de personnages, sans doutes proches du réalisateur (...). Leurs blessures (...) sont évoquées avec un réel charme.
Le Monde
Eric Mendelsohn décrit avec justesse sa gêne de rencontrer un ancien camarade de lycée, douze ans après l'avoir quitté. Il est, en revanche, moins convaincant dans sa perception du couple Judy Berlin-David Gold.
Les Inrockuptibles
Le hic, c'est que les ombres de Woody Allen et Michelangelo Antonioni, les deux maîtres du bon élève Mendelson (...) ont tendance à peser lourdement sur un résultat honnête mais tout de même anodin et pas très original.
Première
De tout cela, il reste éventuellement le sourire, mais les personnages et les situations sont trop intellectualisés (...) pour être passionnants. Toutefois, le passage remarqué du film (en)festivals (...) prouve qu'un certain engouement est possible.