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asticine
1 abonné
67 critiques
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2,5
Publiée le 13 janvier 2017
Scénario et intrigue convenus mais bon, ça se laisse regarder tout de même .. Pas la moindre surprise, de l'action bien menée et globalement les acteurs dans le ton. A voir sans plus...
5 ans après "Piège de cristal", le film où des terroristes voient leurs plans contrariés par des quidams était toujours à la mode. La preuve avec "Cliffhanger", blockbuster qui fut à sa sortie une vraie réussite.
Pourtant à le revoir en 2016, on se demande ce qui a pu séduire la génération précédente.
Entre des méchants caricaturaux qui enchainent les meurtres et les insultes, les scènes d'action mollassonnes, l'interprétation minimaliste, la mise en scène sans inspiration, il n'y a rien pour sauver le film. Si, à la rigueur, il y a bien les effets spéciaux. Réalisé sans ordinateurs, ils ont un charme old school mais pour le reste, c'est pas top du tout.
Bref, un film qui a très mal vieillit passant de bon à médiocre. A voir par curiosité mais guère plus.
Ah les années 90, période bénie s'il en est en ce qui concerne les films d'action 100% adrénaline tels les "Speed" et consort et avec son paquet de stars dédiées au sommet de leur art, Schwarzy, Sly, Van Damme, Willis et les autres ... Et qui de mieux que le Renny Harlin dans sa période la plus inspirée pour nous mettre en scène cette traque haletante à plusieurs milliers de mètres de hauteur ! Les images sont superbes, l'action largement au rendez-vous avec morceaux de bravoure à la pelle et même les arrangements musicaux sont tops ! Stallone, comme bien souvent, est très bon, impliqué et il donne de sa personne entre deux punchlines qui régalent, la réalisation est également excellente avec des effets spéciaux très réussis pour l'époque et des cascades à couper le souffle. Pas le temps de s'ennuyer une seule seconde dans cette course contre la montre plus qu'efficace et carrément prenante qui reste 20 ans après toujours un must du genre.
Ha les bons vieux films d'action avec stallone (schwarzy,willis...aussi), de l'action impressionnante,un héros que rien ne peut tuer,une amitié à toute épreuvespoiler: (ils s'en sortent tous... les gentils bien sûr) des méchants caricaturés à fond avec un plan de départ très soigné mais qui n'avaient pas prévu de tomber sur monsieur muscle.Franchement oui c'est du délire,ça n'a rien de crédible à part quelque détails mais qu'est ce que c'est bon! Un pur divertissement qui accroche bien,on s'installe et on profite point!!!!!
Niveau blockbuster débile Cliffhanger se pose là... en roi du nanar montagnard, cousu de fil blanc, idiot au possible, offrant des scènes totalement dénuées de sens...
On voit ainsi Stallone courir en t-shirt dans la neige pendant une bonne partie du film, heureusement que ses muscles d'american heroes le protègent du froid, quel homme. Et tout le film est comme ça, totalement dans le ridicule, mais en se prenant vraiment au sérieux.
On a ainsi des méchants très méchants qui n'hésitent pas à tuer, mais aussi passablement idiots, se refusant à tuer le type qui passe son temps à prévenir les autres qu'ils sont en danger alors qu'ils ont mille occasions de le faire, préférant user de la force plutôt que de la ruse pour obtenir leur fric... De vraies caricatures.
C'est assez marrant à regarder, même s'il faut bien le dire, l'absence totale d'enjeux rend le truc vraiment chiant par moments, parce que ça tourne pas mal en rond pour pas grand chose. Ce jeu de chasse humaine est quand même bien mou et ce n'est pas quelques belles images de montagnes qui vont rattraper la platitude et la banalité du bousin.
C'est le genre de truc débile à regarder bière à la main en faisant un concours de rots... rien de bien palpitant...
Encore une fois c'est dommage le potentiel est là pourtant, une traque montagnarde ça peut être réellement passionnant si c'est bien fait... Mais il faut se donner les moyens de faire autre chose qu'un ramassis de clichés tous plus convenus les uns que les autres.
Reste que maintenant je sais d'où vient la scène d'ouverture de Ace Ventura 2.
Un vieux film vertigineux de l'action, du froid et un Rambo qui sait tout faire la meilleur partie c'est le dialogue du chef des méchant spoiler: tu veux me tuer, prends un numéro et fais la file.
Un excellent film d'action tourné dans des décors grandioses. Le film accumule les morceaux de bravoure et les cascades. Stallone y est excellent, au sommet de sa forme, incarnant un guide de haute montagne confronté à une bande de malfrats ultra violents. On ne s'ennuie pas une seconde dans ce film qui nous offre un divertissement de grande qualité.
On est dans la lignée des films tout à fait dans ce que Sylvester Stallone aime faire. Scènes d'actions, cascades improbables, mais aussi paysages magnifiques sont au rendez-vous. Mais les effets spéciaux sont peu convaincants et l'histoire frise le n'importe quoi spoiler: (scène avec les 2 avions par exemple) .
Un jolie film d'escalade vertigineux et des méchants qui joue bien.Des scènes bourré d'action un peu gore mais par contre un peu stressant mais ça fait pas peur spoiler:
Un grand classique du cinéma d’action qui a le mérite de placer l’intrigue en haute-montagne, me faisant dire que le réalisateur finlandais Renny Harlin semble apprécier les milieux froids. Trois ans après le très bon "58 minutes pour vivre" dont l’action se situait à l’approche de Noël, nous voici en pleine montagne pour un casse hors du commun, perpétré par des malfrats qui en ont dans le pantalon.spoiler: Enfin, surtout pour ceux qui doivent passer d’un avion à un autre… D’ailleurs on reconnait la patte du réalisateur avec sa même façon de filmer les avions par en-dessous (plan très impressionnant, je dois dire). J’ai même cru reconnaître plus tard les mêmes lunettes infrarouges ! Tout comme son long métrage précédent, Renny Harlin a voulu un film à grand spectacle, et il a tout fait pour. On peut dire qu’il a réussi, avec une excellente bande son, de très bons effets visuels mais qui ont aujourd’hui considérablement vieillis (notamment lors du crash du jet), et un montage sonore soigné. D’ailleurs, ces trois aspects techniques étaient en course aux Oscars 1994. Mais les plans sont également soignés, avec des prises de vue spécifiques à la montagne. Ainsi nous avons droit à des panoramas comme les montagnards en connaissent, et comme on en trouve aussi dans des magazines spécialisés. Les prises de vue sont pour certaines époustouflantes, vertigineuses, et rendent bien compte de la dangerosité de la pratique de ce sport qu'est l'alpinisme. Sylvester a les bonnes attitudes pour faire illusion quant aux scènes d’escalade. Pour ces exercices plaisants mais aussi périlleux, il a été doublé par le célèbre et feu grimpeur allemand Wolfgang Güllich et l’américain Ron Kauk. Que ce soit l’un ou l’autre, puisqu’on ne voit pas la différence, ils sont impressionnants d’aisance et de facilité. Face à cette formidable aptitude et connaissance du terrain incarnée également par l’ami de toujours Hal Tucker (Michael Rooker), la détermination d’un groupe de malfrats nous offre une sacrée opposition de styles. Parmi cette équipe à la recherche de son butin, figure Eric Qualen, porté efficacement par un John Lithgow très inspiré. Rien ne l’arrête, et il fait froid dans le dos tant semble rien ne semble enrayer sa marche en avant ni entamer sa détermination. Pour le reste du casting, il n’a pas à rougir non plus de sa prestationspoiler: , notamment Leon Robinson qui met une véritable correction à Sly lui-même, excusez du peu . Au final, "Cliffhanger traque au sommet" pourrait se résumer au proverbe "La vie ne tient qu’à un fil", et ce dès et malgré la première scène, saisissante de réalisme sur cette tyrolienne improvisée, bien que ce type d’accident soit rarissime. Plusieurs autres moments renforcent cet adage spoiler: : le transbordement en vol du butin et d’un membre de l’équipe, la scène du pendule, la tentative de faire tomber Gabe Walker, les hélitreuillages, le pont suspendu, le câble qui lie l’hélico à l’échelle installée à demeure sur la paroi … que je vous laisse le loisir de découvrir. "Cliffhanger, traque au sommet" est donc un bon film d’action rafraîchissant, prenant, et qui meublera efficacement un trou de deux heures dans votre planning, ou qui retardera votre coucher si par cas il fait trop chaud. Dites-vous bien qu'il mérite bien mieux que sa note actuelle.
Retour en très grosse forme de Sly Stallone avec cette fiction musclée en haute altitude. Des scènes d'action à gogo et un John Lithgow délectable en chef de bande psychopathe font de Cliffhanger un spectacle continu, calibré pour le grand écran par un Renny Harlin qui s'y entend dans le registre de l'action. Du carré, de l'efficace et un peu d'humour bien placé font de ce film un très bon divertissement.
Connu tout d'abord pour l’excellent « Prison » le divertissant « Le cauchemar de Freddy », Renny Harlin quitte l'horreur pour un temps au profit du Blockbuster. Il commencera très haut avec le second Die Hard – 58 minutes pour vivre. Continuant sur sa lancée, Harlin signe en 1993 « Cliffhanger ». On reconnaît la patte du réalisateur, très appréciable et à mon goût je dois dire, avec toutefois un registre différent. Cliffhanger se révèle être un bon film d'action en haute altitude, typique de son époque, ou les méchants sont très méchants et un poil caricaturaux et, ou un gentil, incorruptible et simple alpiniste (baraqué tout de même Sylvester) se transforme en guerrier vengeur contre un tas de malfrats. Pas si différents du concept Die Hard à ce niveau, puisque Walker (Stallone) n'est pas censé se trouver dans cette galère. Ça se laisse regarder avec plaisir, de l'action, des pics vertigineux, sans oublier Michael Rooker !