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VodkaMartini
46 abonnés
410 critiques
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0,5
Publiée le 29 septembre 2006
Une ôde au carton-pâte, aux maquettes bas de gamme qu'on fait exploser avec des pétards "farces et attrapes", au polystyrène imitation neige et au cabotinage lourdingue d'un milliardaire culturiste vieillissant. Et il faudra m'expliquer un jour d'où vient le besoin irrépressible qu'ont les personnages de films d'action (surtout les méchants) de sortir des vannes minables au moment de zigouiller leurs adversaires, méthode d'une inefficacité d'autant plus déplorable qu'en résulte souvent la mort de l'auteur de la vanne (quand il est méchant bien sûr). Il faudrait donc leur conseiller le revisionnage du "Bon, La Brute et le Truand" où Tuco explique bien à une de ses victimes trop bavarde que "Quand on tire, on raconte pas sa vie!" et ce bien sûr APRES l'avoir plombé et pas AVANT.
Archétype du film américain bourré d'énormes invraisemblances... Si il ne fallait en retenir qu'une pour un film américain: À la question d'un flic du "Effe Bi Aille" : "Mais que fait l'armée ?... ", l'autre lui répond spoiler: "Ils ont une panne mécanique !" MOUARF, Dites-moi pas que l'armée américaine, celle de Top Gun, est empechée d'intervenir à cause d'une... Simple panne ?!!!
A force d'en prendre plein la poire, Balboa a décidé d'arrêter la boxe et de se mettre au vert... Il emmène Adrienne à la montagne, vu qu'il a été guide de haute montagne quand il était petit.... Mais manque de bol Adrienne a sait pas skier... du coup elle tombe dans un trou... Traumatisé il s'engage dans la Légion sous le nom de Rambo et va visiter la jungle... Mais comme le monde tombe en pénurie de communistes, Balboa rentre à la maison... Et ça tombe bien parce que là-bas à côté de sa cabane au Canada ya un avion qui s'est scratché... et vu qu'il connait le coin (c'est là qu'Adrienne s'était vautrée dans la poudreuse) c'est lui que les secours appellent pour sauver les passagers avant qu'ils se transforment en glaçon... Mais l'équipe de sauvetage lui dit pas tout... en fait ils en ont pas grand chose à faire des éventuels survivants ce qui les intéresse les gars c'est le pognon... Et quand il s'en rend compte Balboa il est colère et corrige les méprisants... Enfin pas tout de suite, vu qu'il a piscine, il va d'abord nager, faire de la couture vu que son pull il a un accroc... Bon dans le film y a aussi une fille qui est impressionnée parce que Balboa sait faire du point de croix du coup en plus ils font des bisous à la fin...
Film d'action bêta filmé par un pseudo cinéaste. Du pur divertissement Popcorn avec un méchant très très méchant et un gentil très très malheureux mais très revanchard à qui on ne la fera pas deux fois. Eh bien, à nous non plus.
Un film d'action à l'ancienne qui ne s'embarrasse pas de crédibilité mais qui réserve sa dose d'adrénaline, de bastons, de cascades et d'explosions. Il a un peu vieilli mais reste divertissant.
Avec des titres hyper populaires comme « 58' pour vivre », « L'île aux pirates » ou « Au revoir à jamais », Renny Harlin s'est peu à peu imposé comme un des meilleurs réalisateurs de films d'action des années 80-90. En 1993, il améliore encore son score avec « Cliffhanger » qui marque le retour de Sylvester Stallone sur le devant de la scène et remporte, du même coup, un immense succès commercial. Il faut dire que le film est parfaitement réussi, les paysages sont magnifiques, l'action omniprésente et... bien que le scénario soit un tantinet tiré par les cheveux, il réserve une telle dose de suspense qu'il est impossible de décrocher, ne serait-ce qu'un instant. Tout les ingrédients sont donc réunis pour que la recette fonctionne à merveille et la scène d'ouverture me fait encore dresser les poils sur les bras, même après toutes ces années. C'est donc peu dire que je prends toujours un réel plaisir à redécouvrir cet excellent divertissement, qui est devenu un classique avec le temps. Une valeur sûre, fortement estampillée « années 80 ».
Que je suis contente d'avoir revu ce film... mon gendre est un passionné d'escalade alors hier soir je lui ai fait la surprise et nous avons regardé ce film là en famille et c'était super... bon il faut avouer que la film a pas super bien vieilli par bouts car l'histoire des mercenaires est un peu tannante mais dans l'ensemble c'est un super bon film ! Déjà Stallone est super classe, les paysages sont magnifiques, les scènes de grimpe aussi & la chasse à l'homme à la fin est super captivante et nous avons passé un moment agréable en famille ! Merci Sly de nous avoir tant fait rêver... et j'en profite pour passer une petite dédicace à Rachid dont c'été le film culte !
Moyenne allociné assez basse quand on énumère les atouts de ce film de Stallone plutôt hors norme : paysages de montagne enneigée magnifiques, imprévisibilité du scénario, mise en scène de psychopathes charismatiques et cupides, tension permanente, cascades (notamment l'époustouflante scène de l'avion)... Ce film de 1993 est sans doute ce qu'on a fait de mieux jusqu'ici pour ce qui est de conjuguer action et alpinisme en hautes montagnes.
Cliffhanger est un film d'action bien sympathique avec Sylvester Stallone (bien meilleure que les désastreuses suites de Rambo). Renny Harlin, réalisateur du plutôt bon deuxième volet de la saga Die Hard, arrive à donné un nouveau souffle à la carrière de l'interprète de Rocky à travers un décor alpin très bien exploité. Même si l'intrigue en soi n'a rien d'extraordinaire, le principe d'une enquête et de scène d'action en haute montagne ayant peu été exploité au cinéma ; ce film-ci offre une certaine touche d'originalité dans ses scènes d'action (utilisant chute libre, stalagmites, cascades d'escalades, avalanches, … ). Années 90 obligent, on n'échappe pas à quelques moments d'actions un peu exagérés de la part de Stallone. Le casting est plutôt bon avec un Stallone convaincant et porté par de bons seconds rôles (John Lithgow et Michael Rooker). Un bon film d'action.
Certes, les films de montagne ne sont pas forcément légion mais ce "Cliffhanger" restera sans doute comme le summum du genre. On passera gentiment sur certaines ficelles scénaristiques un peu éculées (à commencer par le traumatisme du héros qu'il va devoir surmonter) et sur quelques maladresses de mise en scène (les ralentis un peu grossiers, les gros plans sur le méchant qui rigole avant de mourir...) ainsi que sur la manque de subtilité des seconds rôles (le meilleur ami revanchard, la petite amie amoureuse malgré tout, le vieux briscard qui sera forcément sacrifié...) pour se concentrer sur l'essentiel : l'action. Car "Cliffhanger", c'est avant tout un concentré de séquences impressionnantes (les affrontements explosifs mais également les séances d'escalades), magnifiées par des paysages somptueux. On se prend même à souffrir pour le héros Gabe (formidable Sylvester Stalonne, tout en muscles et en mâchoire serré, qui enfonce le clou du réalisme en exécutant lui-même les scènes d'escalade), lorsqu'il se voit contraint de grimper sur sa montagne sans manteau et sans équipement. Côté mise en scène, le réalisateur Renny Harlin fait mieux qu'assurer le minimum syndical et insuffle un rythme impeccable (aidé par une superbe BO signée Trevor Jones) et une dimension inattendue à son film. En effet, malgré une intrigue assez prévisible, "Cliffangher" peut compter sur une bonne dose d'humour (via quelques punchlines bien senties) ainsi que sur le soin apporté par les scénaristes au personnage du grand méchant, campé par un John Lithgow fantastique. L'acteur nous sort un grand numéro en évitant le piège du "concours de virilité" avec Stalonne (qui n'aurait pas forcément été à son avantage) pour, au contraire, tout miser sur la nature profondément amoral et cynique de son personnage, souligné par d'excellents dialogues ("Tu voudrais bien me tuer, n'est-ce pas ? Alors prends un ticket et fais la queue", "Tuer un homme, c'est être un assassin. En tuer un million, c'est être un conquérant. Va comprendre"...) et des scènes surprenantes (le meurtre de sa complice pour assurer sa propre sécurité). La grande idée du film est de ne pas avoir limité son scénario à un banal affrontement entre le héros et le méchant, en greffant une sous-intrigue payante, à savoir la rancœur de Hal (excellent Michael Rooker) envers Gabe à qui il reproche la mort de sa bien-aimée. La relation des deux personnages apporte une certaine densité au film (et s'avère bien plus intéressante que la love story du héros, très classique). "Cliffhanger" est donc une formidable réussite (et un des meilleurs films de Stalonne), à la fois divertissante et dépaysante qui a su marquer durablement les mémoires. Espérons que sa facture très 90's ne le fera pas sombrer dans l'oubli dans les prochaines années...
Gabe Walker faisait partie du corps des secouristes alpin jusqu’au jour où il perdit la fiancé de son meilleur ami pendant un sauvetage. Il va cependant être obligé de reprendre du service lorsqu’un avion s’écrase dans les montagnes et qu’il est la seule personne capable de les sauver. Mais les passagers ne semblent pas vraiment avoir besoin d’être sauvés. Tout comme "Piège de Cristal", "Point Break" ou encore "Predator", le film de Renny Harlin a le mérite de proposer un film d’action innovant de par son ambiance et son scénario, une qualité que les scénaristes actuels semblent avoir perdu. A la fois haletant et distrayant, "Cliffhanger", emmené par Sylvester Stallone, se distingue en effet grâce à un cadre très peu vu au cinéma mais conserve néanmoins son statut de film d’action grâce à son scénario simpliste mais efficace. Véritable icône du cinéma d’action, Stallone y incarne sans aucune hésitation son meilleur rôle. Pour lui donner la réplique on retrouve John Lithgow dans le rôle du véritable méchant sans scrupules mais également Michael Rooker ("Jumper", "The Walking Dead"). Vous l’aurez donc compris "Cliffhanger" est un film d'action de qualité.