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Votre avis sur Les Sept mercenaires ?
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Malgré son âge, je trouve que le film n'a pris quasiment aucune ride : les acteurs sont très bons (en même temps ce sont les grandes stars de l'époque), l'ambiance est encore bonne et les paysages sont magnifiques. Chaque mercenaire a sa propre personnalité et on sait s'attacher à eux. La musique quant à elle est vraiment géniale ; c'est pas du Ennio Merricone, mais elle remplit bien les scènes et collent très bien à l'ambiance.
Même si l'histoire est simpliste, elle tient la route et montre bien un côté racial (américain vs mexicain ou l'introduction des mercenaires).
Le seul bémol est le jeu d'acteur quand ils meurent, je trouve que c'est mal joué.
Même si l'histoire est simpliste, elle tient la route et montre bien un côté racial (américain vs mexicain ou l'introduction des mercenaires).
Le seul bémol est le jeu d'acteur quand ils meurent, je trouve que c'est mal joué.
Si je devais établir un top 10 des westerns, ce film en ferait certainement partie. Voire même un top 5 ... Casting 5 étoiles et musique désormais classique, une belle ré écriture d' un film de samouraïs transposée au Mexique. A voir et à posséder dans toute bonne collection qui se respecte !...
Film incontournable qui reste dans les anales davantage pour la richesse de ses dialogues et scènes cultes que pour l'originalité de son scénario emprunté à un autre, et qui, simplifié, perd un peu de sa cohérence.
« Les 7 mercenaires » est un film mythique pour moi car c’est certainement le western que j’ai le plus visionné à la télévision quand j’étais enfant et adolescent (avant la VHS, le DVD et la VOD). Le film est une adaptation du chef d’œuvre de Kurosawa, « Les sept samouraïs ». « Les 7 mercenaires » est un film mythique (pas un chef d’œuvre) pour plusieurs raisons : le thème, universel et manichéen, de la défense des opprimés, un casting magique (Yul Brynner, Steve McQueen Charles Bronson Robert Vaughn James Coburn), un superbe méchant violent et cruel (Eli Wallach) et des gentils charismatiques, des leviers émotionnels simples (les rapports bienveillants de gentils avec les villageois et l’émoi provoqué par la disparition de certains d’entre-deux) et une musique de légende (Elmer Bernstein). La mise en place des personnages est assez habile et les préparatifs au village permettent de faire monter la tension jusqu’à l’assaut final et son dénouement plutôt heureux. « Les 7 mercenaires » n’est pas un « grand » film, mais une œuvre efficace et fédératrice ancrée dans l’imaginaire collectif grâce à des valeurs simples et des codes universels du western hollywoodien.
Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1).
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En s’inspirant du film d’Akira Kurosawa (« Les sept Samouraïs »), sorti quelques années auparavant, le réalisateur américain John Sturges transpose le récit dans l’univers des cow-boys. Des villageois harcelés par des bandits mexicains engagent une bande de mercenaires pour se protéger. A l’effusion de violence, s’entremêle une réflexion sur les motivations des différents personnages, laissant entrevoir une part d’humanité chez certains d’entre eux. L’imposant casting (Yul Brynner, Steve McQueen, Charles Bronson, Eli Wallach, etc.) garantit une production musclée et parfaitement rythmée. Bref, ce long-métrage datant de 1960 représente l’un des derniers grands classiques du genre avant l’avènement du western spaghetti.
Meme si c'est la version"américaine" des 7 samourais, j'ai aimé le jeu de tous ces grands acteurs.Hélas, aujourd'hui, ils nous ont tous quittés.MAIS LE FILM EST EXCELLENT.J e ne m'en lasse pas.
maxime ...
The Magnificent Seven, très inspiré d'Akira Kurosawa ( petit euphémisme ) est un Classique, un très grand Classique !
La première scène du film qui débouche sur la conversation - je résume trivialement - d'une société en récession, au bord de la décadence par celui qui se révèle déjà comme antagoniste démontre une prise de conscience et un lien immense signée de John Sturges et de son équipe à concrétiser les maux concret d'un monde qui se replie. Les vues qui suivront iront encore plus dans ce sens, souvent de par la voix de Calvera d'ailleurs ... Eli Wallach dans un ton sobre et un même temps exubérant donne un relief à la donne de son personnage. spoiler: Les mots qu'il prononce lors de sa mort à Chris ont vraiment une portée loin du manichéisme de base. A l'image de tout le film !
L'impôt, la condamnation sommaire, les brimades et la tyrannie sont des leviers morales à la révolte de ses fermiers mis dans une situation extrême. La trajectoire de leurs parcours passent par la terreur, l'angoisse avant de transiter vers la fanfaronnade, l'espoir de leurs première victoire avant de sombré dans la trahison et de découvrir la rédemption libératrice. A l'image la encore des dernières paroles de nos Cowboys, il s'agit dans le fond du récit de leur émancipation, de la victoire de ses types qui regardent enfin leurs courages dans le fond des yeux. Qui doivent prendre des décisions et les assumées !
J'ai à titre personnel été fasciné par l'escorte du cadavre par Chris et Vin dans le patelin qui refuse au mort son entrée dans le cimetière pour des raisons de croyances, croyances racistes de surcroit ... Il y'a dans le geste de l'un, puis de l'autre une brèche qui les amènent à confronter les délires de l'étroitesse, avec un certain panache qui plus est.
Le recrutement de l'équipe est un autre passage assez délectable, d'ailleurs pour moi la première partie du long métrage est vraiment la meilleure. Le duel de Britt, l'échange avec Bernardo sur les temps difficiles sont raccords avec les difficultés de l'époque. " Les cimetières sont pleins de gars vraiment trop jeunes et fiers ". Cet phrase est une autre affirmation d'une époque dont la violence est rependu à droite et à gauche.
La vie au village offre une parenthèse, un parallèle sur les rêveries de fortunes diverses, d'une autre vie, entrevue et abandonné en chemin. La réflexion et l'empathie de nos héros sont d'ailleurs des idéaux, un risque à courir pour une cause qu'ils ont embrassé, quoi qu'il en coute !
The Magnificent Seven avec son casting tout simplement énorme donne des gages certains ! Yul Bryner, Charles Bronson, Steve McQueen, Robert Vaughn, James Coburn ainsi que touts les autres viennent faire de sacrés tours. L'alchimie entre cette bande de bonhomme fonctionne et livrent des scènes inoubliables.
La beauté des décors et de la musique de Bernstein sont d'autres images d'Epinal du Western dont l'âge de transpire pas une seule seconde. Un intemporel, comme le vent qui viens et s'en và ...
La première scène du film qui débouche sur la conversation - je résume trivialement - d'une société en récession, au bord de la décadence par celui qui se révèle déjà comme antagoniste démontre une prise de conscience et un lien immense signée de John Sturges et de son équipe à concrétiser les maux concret d'un monde qui se replie. Les vues qui suivront iront encore plus dans ce sens, souvent de par la voix de Calvera d'ailleurs ... Eli Wallach dans un ton sobre et un même temps exubérant donne un relief à la donne de son personnage. spoiler: Les mots qu'il prononce lors de sa mort à Chris ont vraiment une portée loin du manichéisme de base. A l'image de tout le film !
L'impôt, la condamnation sommaire, les brimades et la tyrannie sont des leviers morales à la révolte de ses fermiers mis dans une situation extrême. La trajectoire de leurs parcours passent par la terreur, l'angoisse avant de transiter vers la fanfaronnade, l'espoir de leurs première victoire avant de sombré dans la trahison et de découvrir la rédemption libératrice. A l'image la encore des dernières paroles de nos Cowboys, il s'agit dans le fond du récit de leur émancipation, de la victoire de ses types qui regardent enfin leurs courages dans le fond des yeux. Qui doivent prendre des décisions et les assumées !
J'ai à titre personnel été fasciné par l'escorte du cadavre par Chris et Vin dans le patelin qui refuse au mort son entrée dans le cimetière pour des raisons de croyances, croyances racistes de surcroit ... Il y'a dans le geste de l'un, puis de l'autre une brèche qui les amènent à confronter les délires de l'étroitesse, avec un certain panache qui plus est.
Le recrutement de l'équipe est un autre passage assez délectable, d'ailleurs pour moi la première partie du long métrage est vraiment la meilleure. Le duel de Britt, l'échange avec Bernardo sur les temps difficiles sont raccords avec les difficultés de l'époque. " Les cimetières sont pleins de gars vraiment trop jeunes et fiers ". Cet phrase est une autre affirmation d'une époque dont la violence est rependu à droite et à gauche.
La vie au village offre une parenthèse, un parallèle sur les rêveries de fortunes diverses, d'une autre vie, entrevue et abandonné en chemin. La réflexion et l'empathie de nos héros sont d'ailleurs des idéaux, un risque à courir pour une cause qu'ils ont embrassé, quoi qu'il en coute !
The Magnificent Seven avec son casting tout simplement énorme donne des gages certains ! Yul Bryner, Charles Bronson, Steve McQueen, Robert Vaughn, James Coburn ainsi que touts les autres viennent faire de sacrés tours. L'alchimie entre cette bande de bonhomme fonctionne et livrent des scènes inoubliables.
La beauté des décors et de la musique de Bernstein sont d'autres images d'Epinal du Western dont l'âge de transpire pas une seule seconde. Un intemporel, comme le vent qui viens et s'en và ...
Bon, c'est un honnête western, mais rien d'exceptionnel. Le casting était pourtant alléchant (Yul Brynner, Charles Bronson, Steve Mc Queen, Robert Mitchum, Eli Wallach...), mais certains personnages sont sous-exploités ou peu charismatiques, et malgré quelques scènes intéressantes
spoiler:
comme celle du corbillard
, il y a au final peu de surprises et de rebondissements. J'ai largement préféré l'original de Kurosawa !
, il y a au final peu de surprises et de rebondissements. J'ai largement préféré l'original de Kurosawa !
Un western culte signé John Sturges, voilà ce qu'est "Les Sept mercenaires" ! Ce film est le remake d'un film japonais nommé "Les Sept Samouraïs". A l'époque de la sortie du film de John Sturges, la presse (française et internationale) avait crié au scandale car John Sturges faisait un remake : on était à la limite de l'incident diplomatique. Aujourd'hui encore, certaines personnes se révoltent car John Sturges a osé faire un remake. Pour ma part, je m'en fiche complétement et je tiens même à dire que ce film est meilleur que son original ! Le casting est énorme : Yul Brynner, Steve McQueen, Horst Buchholz, Charles Bronson, Robert Vaughn, James Coburn et Brad Dexter. Tous ces acteurs, peu connus au moment de la sortie du film, incarnent les sept mercenaires. Cependant, n'oublions pas Monsieur Eli Wallach qui est aussi de la partie : il joue le grand méchant de l'histoire. Comme dans tous les westerns, surtout ceux de Sturges ou de Leone, l'histoire est très prenante. On est au 19ème siècle dans une petite ville du Mexique. Un certain Calvera, bandit notoire, s'amuse à venir régulièrement dans cette petite ville pour intimider les habitants et par la même occasion, pour les piller. Trois habitants quittent alors la ville à la recherche de quelqu'un d'expérimenté qui pourrait les aider à faire déguerpir Calvera. Ils rencontrent alors Chris Adams qui leur promet de les aider. Celui-ci engage six autres personnes : le clan des sept mercenaires est formé. Ils font alors route vers cette petite ville mexicaine et en attendant l'arrivée de Calvera, ils forment les habitants à se battre. Que j'adore cette histoire : elle est simple mais claire et précise. Tout est expliqué, tout est montré ! La réalisation est superbe, bien qu'effectivement pas toujours réaliste (notamment au niveau de la représentation de la mort à l'écran mais n'oublions pas qu'on est en 1960 : cela signifie deux choses. Les moyens techniques ne sont pas encore ultra développés et aussi, la censure faire fureur à cette époque). Notons aussi que les dialogues sont absolument exquis : très empreints de cynisme et d'ironie. Les acteurs sont excellents : j'ai une préférence pour Horst Buchholz, mais le charisme de Steven McQueen et de Charles Bronson est tout aussi appréciable. Enfin, et je terminerai là, le réalisateur du film d'origine ("Les Sept Samouraïs"), Akira Kurosawa, a lui-même avoué que le film de John Sturges était meilleur que le sien. La musique d'Elmer Bernstein est magnifique !
Avec les yeux d'un enfant, ce film possède beaucoup de sympathie. Son histoire où des faibles sont embêtés par un méchant très méchant, qui sont aidés par des gentils très forts. Mais si nous le revoyons sans l'esprit d'un enfant, et sans les éléments positifs, le film se pare d'un certain nombre de défauts. Défauts d'ailleurs liés à ses qualités: la belle brochette d'acteurs. Qui possède un certains charisme pour devenir de grandes stars de cinéma: Steve McQueen, Charles Bronson, James Coburn. Mais ils sont dirigés de manière balourde par John Sturges, ou pas, car peut être ne sont ils pas dirigés du tout. Horst Buchholz est bon, mais il en fait des tonnes.
Ceci lié à un mauvais scénario (trois coscénaristes: William Roberts, Walter Berstein, Walter Newman), qui ne prend pas le temps de caractériser individuellement ses mercenaires, et qui va au cliché voire à la caricature. Le personnage de Steve McQueen est insipide, mal écrit et n'apporte rien (ses dialogues sont consternants). Yul Brynner est inexpressif; et il devient ridicule lorsqu'il se déplace (ses mouvements de bras et de hanche), et son entrée en scène avec le corbillard est écrite par un fainéant: le scène est bâclée - la caractérisation est balourde -. Les personnages sont très bien exposés, introduits (James Coburn, Charles Bronson), mais ensuite ils ne sont que peu sollicités. Seuls le personnage de Robert Vaughn avec ses cauchemars, ou Brad Dexter avec son obsession de l'argent provoquent de l'empathie.
Par ailleurs le film manque cruellement de séquence d'action, spectaculaire, palpitante. La séquence d'action finale est pitoyable, poussive et manque de lisibilité. Le film a-t-il manqué de moyen?Cela ressemble à un brouillon.
À sauver, Eli Wallach qui compose un Calvera perfide et rigolo, et qui a le sens des responsabilités. Et qui se révèle donc le personnage le plus intéressant.
À sauver aussi, la musique d'Elmer Berstein, surtout celles du début du générique.
Ceci lié à un mauvais scénario (trois coscénaristes: William Roberts, Walter Berstein, Walter Newman), qui ne prend pas le temps de caractériser individuellement ses mercenaires, et qui va au cliché voire à la caricature. Le personnage de Steve McQueen est insipide, mal écrit et n'apporte rien (ses dialogues sont consternants). Yul Brynner est inexpressif; et il devient ridicule lorsqu'il se déplace (ses mouvements de bras et de hanche), et son entrée en scène avec le corbillard est écrite par un fainéant: le scène est bâclée - la caractérisation est balourde -. Les personnages sont très bien exposés, introduits (James Coburn, Charles Bronson), mais ensuite ils ne sont que peu sollicités. Seuls le personnage de Robert Vaughn avec ses cauchemars, ou Brad Dexter avec son obsession de l'argent provoquent de l'empathie.
Par ailleurs le film manque cruellement de séquence d'action, spectaculaire, palpitante. La séquence d'action finale est pitoyable, poussive et manque de lisibilité. Le film a-t-il manqué de moyen?Cela ressemble à un brouillon.
À sauver, Eli Wallach qui compose un Calvera perfide et rigolo, et qui a le sens des responsabilités. Et qui se révèle donc le personnage le plus intéressant.
À sauver aussi, la musique d'Elmer Berstein, surtout celles du début du générique.
Alors franchement je vous le conseille. Ce film est génial. La performance des acteurs est bluffante et la musique est entraînante !
"Les Sept Mercenaires" est l'un des plus grands classique du western. Avec son casting de légende (Yul Brynner, Steve McQueen, Charles Bronson, James Coburn..), sa BO légendaire, ses scènes cultes (le corbillard, l'entrainement des paysans, l'attaque finale..), son reçit bien mené et ses personnages tous intéressants, John Sturges signe un film qu'on voit et revoit toujours avec le même plaisir.
Un peu daté forcément, mais interprétation, mise en scène (parfaite dans sa première moitié), et musique au top...
Un vrai bonheur...
Un vrai bonheur...
Je n’ai pas vu le film japonais ni le premier remake, c’est donc pour moi un film d’action correct, sans plus. En effet, le scénario, si on peut appeler ça comme ça, est le plus banal qu’on puisse faire.
J’étais très étonné de la manière dont les 7 se sont rencontrés, plus ou moins par pur coïncidence, et le fait qu’ils aient accepté de participer à l’action pour de l’argent, pour finir par être tous des personnages parfaitement altruistes et immensément bons. Difficile d’y croire, quand on sait qu’ils sont des tueurs pros.
Concernant la fin, je n’ai pas compris pourquoi spoiler: 3 d’entre eux survivent... le concept de départ, les 7 auraient du soit amener à une fin où ils vivent tous et continuent leurs actions de héros, soit de tous mourir comme des martyrs à la samuraï.
J’étais très étonné de la manière dont les 7 se sont rencontrés, plus ou moins par pur coïncidence, et le fait qu’ils aient accepté de participer à l’action pour de l’argent, pour finir par être tous des personnages parfaitement altruistes et immensément bons. Difficile d’y croire, quand on sait qu’ils sont des tueurs pros.
Concernant la fin, je n’ai pas compris pourquoi spoiler: 3 d’entre eux survivent... le concept de départ, les 7 auraient du soit amener à une fin où ils vivent tous et continuent leurs actions de héros, soit de tous mourir comme des martyrs à la samuraï.
Henrico
Antoine Fuqua nous sert ici un très bon western. Surtout pour ceux qui n’ont pas vu la version précédente, de John Sturges. Fuqua se sert d’acteurs émérites, mais hélas, aucun d’eux n’a le magnétisme des légendes vivantes dont s’était servi Sturges. Les « gueules » de Bryner, McQueen, Bronson, Wallach, et Coburn sont tout simplement irremplaçables. Les dialogues de Sturges avaient également plus de résonance que ceux de Fuqua. Quand aux 2 scénarii, ils sont logiquement très similaires, mais celui de Fuqua ajoute de nombreux détails supplémentaires à celui de Sturges. Hélas l’intrigue de Fuqua patine un peu, dû au fait que trop de scènes sont trop étirées.
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