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maxime ...
249 abonnés
2 069 critiques
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3,5
Publiée le 16 octobre 2022
The Magnificent Seven, très inspiré d'Akira Kurosawa ( petit euphémisme ) est un Classique, un très grand Classique !
La première scène du film qui débouche sur la conversation - je résume trivialement - d'une société en récession, au bord de la décadence par celui qui se révèle déjà comme antagoniste démontre une prise de conscience et un lien immense signée de John Sturges et de son équipe à concrétiser les maux concret d'un monde qui se replie. Les vues qui suivront iront encore plus dans ce sens, souvent de par la voix de Calvera d'ailleurs ... Eli Wallach dans un ton sobre et un même temps exubérant donne un relief à la donne de son personnage. spoiler: Les mots qu'il prononce lors de sa mort à Chris ont vraiment une portée loin du manichéisme de base. A l'image de tout le film !
L'impôt, la condamnation sommaire, les brimades et la tyrannie sont des leviers morales à la révolte de ses fermiers mis dans une situation extrême. La trajectoire de leurs parcours passent par la terreur, l'angoisse avant de transiter vers la fanfaronnade, l'espoir de leurs première victoire avant de sombré dans la trahison et de découvrir la rédemption libératrice. A l'image la encore des dernières paroles de nos Cowboys, il s'agit dans le fond du récit de leur émancipation, de la victoire de ses types qui regardent enfin leurs courages dans le fond des yeux. Qui doivent prendre des décisions et les assumées !
J'ai à titre personnel été fasciné par l'escorte du cadavre par Chris et Vin dans le patelin qui refuse au mort son entrée dans le cimetière pour des raisons de croyances, croyances racistes de surcroit ... Il y'a dans le geste de l'un, puis de l'autre une brèche qui les amènent à confronter les délires de l'étroitesse, avec un certain panache qui plus est.
Le recrutement de l'équipe est un autre passage assez délectable, d'ailleurs pour moi la première partie du long métrage est vraiment la meilleure. Le duel de Britt, l'échange avec Bernardo sur les temps difficiles sont raccords avec les difficultés de l'époque. " Les cimetières sont pleins de gars vraiment trop jeunes et fiers ". Cet phrase est une autre affirmation d'une époque dont la violence est rependu à droite et à gauche.
La vie au village offre une parenthèse, un parallèle sur les rêveries de fortunes diverses, d'une autre vie, entrevue et abandonné en chemin. La réflexion et l'empathie de nos héros sont d'ailleurs des idéaux, un risque à courir pour une cause qu'ils ont embrassé, quoi qu'il en coute !
The Magnificent Seven avec son casting tout simplement énorme donne des gages certains ! Yul Bryner, Charles Bronson, Steve McQueen, Robert Vaughn, James Coburn ainsi que touts les autres viennent faire de sacrés tours. L'alchimie entre cette bande de bonhomme fonctionne et livrent des scènes inoubliables.
La beauté des décors et de la musique de Bernstein sont d'autres images d'Epinal du Western dont l'âge de transpire pas une seule seconde. Un intemporel, comme le vent qui viens et s'en và ...
Voilà un western purement commercial, simple à comprendre ; du pur divertissement ; ne cherchez pas d’autres choses. 7 mercenaires, 7 acteurs formidables, 7 caractères hyper stéréotypés. De la sélection de chacun d’entre eux dans laquelle on décèle force et faiblesse au grand gunfight final ; aucune évolution des personnages, chacun dans son rôle jusqu’au bout avec à chacun sa scène forte et mémorable. Et un méchant que sera le méchant du western post 60’s avec Lee Van Cleef : Elli Wallach. Tout est réuni pour passer un agréable moment sans prétention avec du rythme un samedi soir en famille. Et formidable de voir que presque 60 ans après çà marche encore ; mon fils de 10 ans ressorti a l’occasion ses playmobiles pour mettre en scène le final du film…. Avec une préférence comme son père pour Steve Mc Queen. A voir en famille. tout-un-cinema.blogspot.com
Classique du genre et du 7ème art de manière générale, le film de John Sturges ("La Grande évasion") a acquit ce statut en distillant une recette orchestrée avec intelligence et qui demeure tout bonnement imparable. L'histoire met en lumière un groupe de 7 mercenaires se mettant au service de fermiers mexicains afin de les débarrasser de bandits les persécutant, malgré une paye dérisoire et des risques élevés, qu'ils aient besoin de se faire discrets ou par simple grandeur d'âme, tous acceptent pour des raisons qui leur sont propres. Comme atout numéro un, "Les 7 mercenaires" présente une distribution d'exception où quasiment chacun des membres incarne un personnage que le script prend le temps de développer. Que ce soit la fragilité chez le personnage interprété par Bronson, la gueule patibulaire de Yul Brynner ou le flegme de Steve McQueen... tous jouent des qualités qui ont fait d'eux des monstres sacrés du cinéma. Au final seul Robert Vaughn semble léser malgré un rôle entouré d'un certain mystère. Entre son ambiance de camaraderie et ses scènes de fusillades intenses, cette œuvre livre également une réflexion touchante sur la condition des portes-flingues, parfois trop appuyée mais qui donne à voir les dilemmes de ces hommes tant fantasmés pendant l'enfance. Le casting est sans faille, le spectacle, rythmé et extrêmement divertissant, est capable de ravir tout spectateur, néanmoins, malgré ses indéniables qualités, "Les 7 mercenaires" n'est pas le chef d'œuvre que laissait entendre sa réputation. Un grand film, certes, mais pas un chef d'œuvre.
Bof, tellement décu par ce film. Je trouve qu'aucun des acteurs ne sort du lot, excepté peut étre Eli Wallach (même Steve MacQueen joue très mal). L'histoire est trés banale et le scénario pas très convaincant. Bref du western bas de gamme. Pour évaluer la valeur de ce film, comparez le au Bon, la brute et le truand et vous aurez peut-être une idée de la nullité de ce film. J'ai mis une étoile (car je pense qu'il aurait mérité 0) pour le casting.
Remake du somptueux Shichinin no samourai du maître Akira Kurosawa, sorti 6 ans auparavant (1954), cette transposition de John Sturges dans l'univers très codifié du western mérite le détour, déjà pour son immense respect envers l'oeuvre de "l'Empereur". Certes, on peut regretter que l'atmosphère "huis clos" de l'original se fasse moins sentir, le village mexicain après transformation ne devenant pas la forteresse du village japonais. Ce détail mis à part, auquel on peut ajouter le passage en couleur et un film d'un tiers moins long que l'original, subsiste un des meilleurs westerns de tous les temps. Voir déambuler des monstres sacrés tels que le cow-boy tout de noir vêtu Yul Brynner, réel ange de l'apocalypse descendu sur terre, le beau gosse souriant Steve McQueen, l'irlandais au grand coeur Charles Bronson ou encore un James Coburn aussi impassible que mortellement dangereux est un vrai régal pour les yeux. On pourra toujours reprocher le fait qu'Eli Wallach ne soit pas assez employé, mais bon, c'est vraiment chercher la petite bête. On ne se lasse pas de ces scènes d'anthologie, qui se succèdent sur le magnifique thème musical d'Elmer Bernstein qu'on a tous fredonné au moins une fois dans sa vie. En un mot, du western comme on les aime. Les points forts : Le respect dont John Sturges a fait preuve envers la version originale d'Akira Kurosawa. Le thème de légende d'Elmer Bernstein. Une galerie de "gueules" impressionnante. Les points faibles : On ne peut pas ne pas comparer le film à l'original, et même si ce remake de John Sturges est très réussi, il est loin d'égaler son modèle.
Niché entre les périodes du western traditionnel et les débuts du western spaghetti,"Les sept mercenaires"(1960)du spécialiste John Sturges a toujours eu du mal à trouver sa propre identité.Cette remarque est d'autant plus accentuée qu'il s'agit d'un remake avoué du chef d'oeuvre d'Akira Kurosawa:"les sept samouraïs".En transposant l'action du Japon médieval au Mexique du XIXème siècle,et du sabre des ronins aux colts des chasseurs de primes,Sturges et son équipe américanisent l'histoire,tout en gardant intact le concept originel.Avec le temps,le film est surtout resté célèbre pour sa distrivution prestigieuse,avec Yul Brynner en tête d'affiche,entouré parmi d'autres de Steve McQueen,Charles Bronson,James Coburn...On raconte que tous ces mâles se disputaient le droit au grand cheval,au plus gros revolver...Ces tiraillements se ressentent à l'écran,où chacun cherche à tirer la couverture à soi.Heureusement,l'équilibre du western est dans l'ensemble respecté.En filigrane,on discerne une réflexion sur la bravoure,et plus largement sur la solitude crasse du cow-boy sans attaches et sans perspective autre que se battre arme à la main.Eli Wallach,en Calvera,est un malfaiteur très convaincant.Le thème musical porte admirablement le chemin sur les chemins de l'aventure et de la mélancolie.Dommage que les Mexicains soient montrés comme des saints,avec des vêtements propres,ce qui décrédibilise certaines scènes.Mais le film reste trépidant et respectueux de ce genre fondateur.
A défaut d'être original, "The Magnificent Seven" est un classique du western américain, où une bande de baroudeurs acceptent de défendre un village d'opprimés. Le film est célèbre pour son casting 3 étoiles (Yul Brynner, Eli Wallach, Charles Bronson, James Coburn, Steve McQueen, etc.), sa BO, ses fusillades, et ses personnages principaux en quête de rédemption. Toutefois, l'inconvénient d'avoir autant de star est qu'on ne fait qu'effleurer le traitement de certains personnages, mais ceci est rattrapé par de très beau paysages filmés en CinemaScope
Attention chef-d'oeuvre !!!!!!!!!!!! Remake du chef-d'oeuvre d'Akira Kurosawa Les Sept Samouraïs, Les Sept Mercenaires est un western formidable qui n'a rien perdu de sa superbe. Dès le générique avec le thème musical inoubliable d'Elmer Bernstein, le spectateur sait qu'il est devant un grand film. Réalisé par le talentueux John Sturges (Règlements de comptes à OK Corral), et doté d'un casting royal avec acteurs confirmés comme le charismatique Yul Brynner, James Coburn, Robert Vaughn, et une génération montante comme Steve McQueen ou Charles Bronson face à un méchant incarné par le formidable Eli Wallach, Les Sept Mercenaires est un film passionnant, palpitant, flamboyant qui happe le spectateur et le fascine jusqu'à la toute dernière minute. Car absolument rien n'est à jeter : le scénario est parfait, les personnages superbement écrits et interprétés par des acteurs de grand talent, une réalisation virtuose, une musique sublime magnifiant l'ensemble, des paysages superbes, des plans incroyables, de l'action menée tambour battant. Les Sept Mercenaires est ce que l'on appelle tout simplement un grand film.
En reprenant à la sauce western l'éternel thème des justiciers venant au secours des faibles contre les méchants, je pense qu’on ne peut pas accuser John Sturges de plagiat vis-à-vis du film « Les sept samouraïs » d’Akira Kurosawa (que je n'ai pas vu). C’est toujours un plaisir de retrouver une si belle brochette d’acteurs, la plupart à leurs débuts. Yul Brynner (pistolero vêtu de noir), Steve McQueen (et sa carabine), Charles Bronson (coqueluche des enfants du village), Robert Vaughn (transpirant de peur), James Coburn (amateur de sieste et du lancer de couteau), le jeune impétueux et le vénal qui croit qu’il y a un trésor derrière cette mission ont bercé mon enfance. J’apprécie la leçon de morale en filigrane sur le courage et la confiance en soi. L’inoubliable musique d’Elmer Bernstein est un atout considérable pour le film. Malgré tout de gros défauts me sautent aux yeux aujourd’hui. Le doublage du personnage incarné par Yul Brynner est catastrophique. Sa voix est ridiculement caverneuse. De plus, l’acteur adopte une démarche stéréotypée et l’expression de son visage est trop figée. Le film n’est pas exempt d’invraisemblances (le jeune mercenaire que l’on retrouve sans savoir comment dans le campement des méchants, la réaction d’apaisement du chef des bandits envers les mercenaires pourtant à sa merci, le brusque changement d’attitude des paysans envers leurs sauveurs…). Les méchants ne sont pas assez fouillés. La bande n’est qu’un groupe déshumanisé et son chef manque cruellement de charisme. Mais surtout, l’histoire s’étire en longueur. Comme pour les protagonistes du film, l’attente du spectateur est longue. Heureusement, je reste toujours ému par la mort de certains des héros à la fin. Bref, depuis mon enfance, j’ai toujours apprécié de voir ces mercenaires en action même si le résultat n’égale pas les meilleurs westerns.
Ce film m'a vraiment interressé grâce à son casting taille XXL réunissant pas mal d'acteurs. L'histoire est bien écrite. Je suis un peu plus déçu par le côté un peu moralisateur matérialisé par le discours de Charles Bronson digne des plus grands épisodes de la petite maison dans la prairie... Même si ça ne va pas gâcher le film, je trouve que ça le décrédibilise un peu. Enfin, les sept mercenaires reste aussi l'un des derniers westerns américains (surement l'un des plus interressant pour moi), juste avant l'arrivée du western spaghetti...
C'est bien comme remake, une réalisation à la sauce oignon miel barbecue ranch moutarde doux américaine ketchup. Ce n'est pas un chef-d'œuvre extraordinaire parce que je n'ai pas sous les yeux l'original saveur vielle poésie japonaise à découvrir sans plus tarder. Les 7 samouraïs deviennent des cow-boys itinérants pour diverses raisons mais pour une seule chose, ce sont des mercenaires à leurs comptes payés, The Magnificent Seven d'après la légende folklorique banale qu'ils laissent derrière eux. Des armes à feu pour se défendre, il y avait des couteaux quand même pour l'un des mercenaires experts en maniement à la volée, aussi rapide que Lucky Luke, c'est la solution roue de secours lorsque les munitions sont limitées et vidées. Charisma chauve Yul Brynner dit le Pharaon Ramses des dix commandements, ses origines proches mystérieuses. Élégance Steve McQueen impeccable irrésistibilité, Charles Bronson bien sobre bûcheron à faire l'instituteur sévère. Méchant bandito en service et grande forme Eli Wallach, le truand de chez maestro Sergio du Western Spaghetti, terrorise et rackette les pauvres villageois sans défense entraînés d'arrache-pied par les magnificences. Des leçons de vie telle jeunesse fierté trouve l'amour villageoise, la modestie va avec ces fermiers de cœur, tout ce beau monde réuni pour un classique du cinéma américain.
Mouais pas mal mais sans plus beaucoup trop de parlotte dans le film je m'attendais quand meme a plus d'action et plus de tire . mais sinon oui c'est pas mal avec les blague de steve macqueen qui sont pas mal et que je ressortirais dans la vie . charles Branson a des faux ere de Lionel Astier quand il etait jeune . les 7 mercenaires sont une belle équipe
un beau western au casting exceptionnel voila ce que je retiens de ce beau film après il a énormément vieilli!! il reste un western de qualité , beau , intriguant , charmant ,passionnant mais hélas il perd de son intensite avec letemps et devient simpliste je trouve.
on ne pourra lui enlever ce casting exceptionnel d'acteurs puissant , macho , talentueux , émouvants... yul brener , steve mc quenn ( qui se détestait a l'époque) eli wallach , Charles bronson , robert vaughn, James coburn ...!!hallucinant l'histoire est simple mais héroïque mais surtout elle dévoile la prise de réalité de ces mercenaires qui d'un coup vont être capable de donner leurs propres vies pour une poignée de paysans mexicains. et voila l'intérêt de ce film.
l'image est belles et le caractère de chaque personnage intéressant ; le tout sur un beau fond sonore.
un western classique , évident qui ne plaira pas au gens qui n'aime pas le genre c'est évident mais il reste un classique de l'époque même si le temps ne lui fait pas forcement du bien.
Très belle réalisation de la part de John Sturges qui, avec Les Sept mercenaires (1961), réalise une magnifique leçon d’humanité et de loyauté. Un petit village Mexicain subit l’humiliation et les pillages d’un groupe de bandits, accablés et démunis, ils décident de chercher de l’aide auprès d’un groupe de mercenaires Américains. Ensemble, ils vont s’unir pour protéger le village, les femmes et les enfants, en faisant front, ils parviendront à chasser l’ennemi (en essuyant hélas quelques pertes humaines). Le remake des Sept samouraïs (1954) est un très beau western alliant une mise en scène efficace, une très belle B.O et une distribution quatre étoiles : Steve McQueen, Yul Brynner, Charles Bronson, Robert Vaughn & Horst Buchholz.