Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Fluctuat.net
par Samir Ardjoum
Une œuvre bizarre, ambigüe, où le vide existentiel des personnages côtoie - avec insolence - nos propres états d'âme. Résultat : du grand art !
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Obs
par Pascal Merigeau
Un cinéma très pur, fait de lumière et de silence, qui installe un rythme singulier et des figures étranges, crée une atmosphère prenante, proche de l'envoûtement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-François Rauger
Cure révèle (...) un cinéaste tenté par la peinture du chaos, comme convaincu d'une progression irrésistible vers le pire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
A un récit classique de serial-killer, assez proche du Silence des agneaux ou Seven, Kurosawa superpose sa propre vision du monde, un monde où la peur s'infiltre et vient contaminer la plus banale normalité (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Kurosawa ne joue pas en pur malin avec la peur du spectateur, il se sert des instruments du film pour mettre en déroute certaines certitudes. Inversement au schéma classique du thriller, ici (...), l'énigme n'est pas résolue (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par François Gorin
(...) Kiyoshi Kurosawa glisse (...) très habilement, à coups de longs plans inquiétants, tout en violence latente, du film noir au fantastique et d'une énigme psychologique à l'évocation d'un épais malaise social.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Marius Méou
Cure aurait gagné à ancrer son étrangeté et sa beauté dans quelque chose de solide, quelque chose comme notre conscience... Car faire fi du montage, c'est sombrer dans la représentation, c'est refuser au spectateur le droit de penser un film (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Première
par Gérard Delorme
L'intérêt de Cure ne réside pas dans son intrigue, dont la résolution se devine très vite (...) . Tout le reste est dans l'atmosphère, obtenue à coups de lumière voilée, de plans-séquences étirés et de bruitages sophistiqués.
La critique complète est disponible sur le site Première
Repérages
par Nachiketas Wignesan
Pour Kurosawa, créer une atmosphère est primordial. Mais, Cure, qui traite pourtant d'hypnose, manque à réussir l'illusion cinématographique en perdant trop souvent le spectateur qui "oublie" le film.
Fluctuat.net
Une œuvre bizarre, ambigüe, où le vide existentiel des personnages côtoie - avec insolence - nos propres états d'âme. Résultat : du grand art !
L'Obs
Un cinéma très pur, fait de lumière et de silence, qui installe un rythme singulier et des figures étranges, crée une atmosphère prenante, proche de l'envoûtement.
Le Monde
Cure révèle (...) un cinéaste tenté par la peinture du chaos, comme convaincu d'une progression irrésistible vers le pire.
Les Inrockuptibles
A un récit classique de serial-killer, assez proche du Silence des agneaux ou Seven, Kurosawa superpose sa propre vision du monde, un monde où la peur s'infiltre et vient contaminer la plus banale normalité (...)
Libération
Kurosawa ne joue pas en pur malin avec la peur du spectateur, il se sert des instruments du film pour mettre en déroute certaines certitudes. Inversement au schéma classique du thriller, ici (...), l'énigme n'est pas résolue (...)
Télérama
(...) Kiyoshi Kurosawa glisse (...) très habilement, à coups de longs plans inquiétants, tout en violence latente, du film noir au fantastique et d'une énigme psychologique à l'évocation d'un épais malaise social.
Chronic'art.com
Cure aurait gagné à ancrer son étrangeté et sa beauté dans quelque chose de solide, quelque chose comme notre conscience... Car faire fi du montage, c'est sombrer dans la représentation, c'est refuser au spectateur le droit de penser un film (...)
Première
L'intérêt de Cure ne réside pas dans son intrigue, dont la résolution se devine très vite (...) . Tout le reste est dans l'atmosphère, obtenue à coups de lumière voilée, de plans-séquences étirés et de bruitages sophistiqués.
Repérages
Pour Kurosawa, créer une atmosphère est primordial. Mais, Cure, qui traite pourtant d'hypnose, manque à réussir l'illusion cinématographique en perdant trop souvent le spectateur qui "oublie" le film.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com