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    Boulevard du crépuscule
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    Typi35
    Typi35

    49 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 janvier 2013
    Un bon film d'accord mais un chef d'oeuvre, sûrement pas. Disons que dans tous les domaines, on sent ce film surclassé par d'autres.
    moonboots
    moonboots

    58 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 août 2016
    un scénariste sur le déclin rencontre par hasard une actrice déchue... un Wilder lent et décevant qui ne mérite pas sa réputation de classique
    Louis Morel
    Louis Morel

    46 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 mars 2014
    Un véritable boulevard de questions de cinéma, profondes et passionnantes. Du très (très) grand Wilder.
    bsalvert
    bsalvert

    409 abonnés 3 579 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 septembre 2011
    Film qui ne laisse pas un souvenir impérissable tant tout est prévisible.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    753 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2009
    Voici seulement le quatrième film que je vois de la part du metteur en scène Billy Wilder. Les trois précédents films avaient été Sept Ans de Rfléxion ( excellent ), Témoin a Charge ( très bon ) et la Vie Privée de Sherlock Holmes ( très bon aussi ).
    Dans Boulevard du crépuscule, le réalisateur nous propose véritablement un très beau moment de cinéma.
    L'histoire est racontée par William Holden alors qu'on le retrouve mort dès le début du film dans une piscine. Ce film est tout du long un véritable flashbach pendant plus d'une heure quarante.
    Les interprètes sont tous excellents notamment le duo William Holden - Gloria Swanson qui est exceptionnelle. A noter la présence d'Erich Von Stroheim dans le rôle du majordome et du mythique Cecil B De Mille dans son propre rôle.
    La musique de Franz Waxman est très jolie. Il s'agit en tout cas d'un très beau film même si il existe quelques longueurs a certains endroits.
    Les autres atouts du film sont les beaux décors de Hans Drier, John Meehan, Sam Cormer et Ray Moyer ainsi que les magnifiques costumes de Edith Head.
    A noter également que le directeur de la photographie, John F. Seitz avait fait du très bon boulot sur ce film.
    Voilà en tout les cas une oeuvre que tous le monde se doit de visionner, moi j'ai vraiment passer un bon moment.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 561 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 juin 2021
    Boulevard du crépuscule est un film fade qui m'a laissé complètement indifférent. Ce qui m'a le plus déplu dans ce film c'est le développement des personnages. William Holden et le reste des personnages étaient bidimensionnels et plats. Le jeu d'acteur de Gloria Swanson était de mauvais goût et exagéré ce qui a fait de cette histoire une sorte de soupe avec un scénario inintéressant. Je n'avais de grandes attentes après avoir vu Certains l'aime chaud et après avoir vu celui-ci je n'ai pas été impressionné. Pour la défense du film je ne suis pas un grand amateur de films noirs je préférerais regarder un thriller psychologique comme Le Talentueux M. Ripley. En conclusion les trois mots qui décriraient le mieux ce film seraient il est prévisible, il est trop long et le jeu des acteurs est exagéré...
    FaRem
    FaRem

    8 657 abonnés 9 533 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 octobre 2021
    Parfois la vie nous met sur le bon chemin, c'est ce qu'à dû se dire Joe Gillis, un scénariste raté et fauché, lorsqu'il s'est retrouvé sur la propriété de Norma Desmond, ancienne grande star du cinéma muet, en fuyant les huissiers venus saisir sa voiture. Après avoir dissipé le malentendu sur sa présence ici, elle lui propose de travailler sur son scénario écrit pour marquer son grand retour au cinéma. Joe Gillis accepte un peu à contrecœur et sans savoir tout ce que cela implique... Le film de Billy Wilder est une critique cinglante de Hollywood, une industrie qui vous broie jusqu'à ce qu'il n'y a plus rien à tirer de vous puis vous met de côté comme si vous n'aviez jamais existé. Le film n'a pas pris une ride puisque ce milieu n'a pas changé depuis les années et que ce qui est montré est toujours valable aujourd'hui. Gloria Swanson, dont la performance est absolument remarquable même lorsqu'elle en fait trop, joue quasiment son propre rôle puisqu'elle a connu la même gloire et l'oublie après l’arrivée du cinéma parlant. Si tout ce qui se passe est la conséquence de cette machine à broyer, "Sunset Blvd." est également un film qui montre parfaitement la folie, l'obsession, le besoin d'attention et la peur de ne plus être après avoir été. Une histoire de déchéance comme je les aime qui donne un excellent film remarquablement incarné et parfaitement mis en scène.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 081 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 novembre 2019
    Joe Gillis, incarné par William Holden, croule ainsi sous les dettes dès le début : les huissiers le poursuivent, et les patrons de la Paramount méprisent son travail au point de se demander s'il ne ferait pas mieux de quitter Hollywood afin de retourner dans son petit patelin natal, loin des célébrités et de la concurrence artistique. On retrouve un cheminement inversé de celui de Kirk Douglas dans Ace in the Hole : là où ce dernier venait, en introduction de film, de son coin paumé, il est ici question d'y revenir dès le départ.

    Là encore, inversion de la forme : on connaît sa fin dès le début, quand l'autre maintient le suspens du début à la fin. On sait très bien que Gillis suivra inexorablement le chemin de la mort : film noir oblige, on suit les traces d'un mort, en pensant que la déchéance du départ ne pouvait pas aller plus loin. C'était sans compter sur l'arrivée d'une jeune secrétaire un peu naïve, représentante de la jeunesse que connut le personnage d'Holden : il ne se prive d'ailleurs pas de lui avouer qu'elle a une autre vie à mener, loin de lui, loin de son âge avancé, de la décadence d'une vie qui ne mènera leur couple nul part.

    Gillis qui aura menti tout son temps à Hollywood se prend, en pleine face, le revers de la médaille : révéler la vérité au milieu des mensonges insinue que cette même vérité devra se confronter à ses mensonges, et qu'il ne pourra y avoir de fin heureuse pour cet homme qui, à l'image du cinéma, parlant, incarne les artifices de la beauté, les magouilles du système, le pathétique de ces pauvres gens désireux de s'extirper de leur quotidien morose sans avoir les moyens de leurs ambitions.

    C'est là qu'intervient le génie de Wilder : plutôt que d'employer Holden comme élément tire-larme de son intrigue, il s'en sert comme d'un moyen de propulser au sein de l'intrigue des thématiques qui lui tiennent à coeur. Autour de son sujet, la déchéance d'un journaliste, viennent s'imbriquer de multiples pistes de réflexion absolument fascinantes, pour la plupart portées sur cet affrontement artistique entre cinéma muet et cinéma parlant.

    Là où le spectateur actuel voit ce dernier comme une référence, avoir la vision d'une actrice du muet de l'époque (sidérante Gloria Swanson) permet de tempérer la réflexion générale et de remettre en cause l'art qu'on connaît aujourd'hui; profondément intemporel, Boulevard du crépuscule développe astucieusement une critique coup de poing du narcissisme induit par la popularité de ce cinéma parlant, où ses acteurs à la beauté stéréotypée développèrent, selon Wilder, un égocentrisme lié à leur représentation sublimée à l'écran.

    Ainsi, Gloria Swanson sert de dernier rempart face à ce modernisme qu'elle refuse sec, mais auquel elle doit se soumettre pour retrouver sa popularité d'avant : les années ayant passé dans l'ignorance de la réalité et les mensonges de son majordome aimant, elle est devenue ce qu'elle rejette dans le cinéma parlant : superficielle, obsédée par son image et parlant constamment, à l'excès, sans avoir à dire de paroles éclairées.

    Souvent dans le délire, elle pose cependant une mise en abîme d'une grande intelligence : c'est alors qu'elle va à la rencontre du réalisateur Cecil B. DeMille, qui campe son propre rôle sur le tournage d'un film parlant, qu'on comprend l'étendue de la supercherie; tout le monde dans ce milieu se ment. Le jeu de dupes va si loin qu'en se renseignant sur la carrière de l'actrice, on se rend compte que Gloria Swanson, elle-même actrice influente du cinéma muet, a énormément tourné avec ce même Cecil B. DeMille qui lui donna, comme dans Sunset Bouelvard, l'occasion de briller pour la première fois de sa carrière.

    Il en va de même avec son majordome, ancien réalisateur qui la dirigea quelque fois et tomba irrémédiablement amoureux d'elle : campé par la référence Erich Von Stroheim, il la dirigea autant dans le film que dans la vraie vie. Ainsi, Boulevard du crépuscule est à mi-chemin entre la fiction et le documentaire, sorte de thèse d'un historien et amoureux du cinéma, Billy Wilder, qui rend un hommage servi en guise d'adieu aux légendes de sa jeunesse dans une scène surréaliste où des légendes du muet jouent aux cartes, maquillés comme des poupées de cire.

    Cette volonté de modernisme donnant lieu à un désir de détruire ce qu'on juge obsolète car ancien retentit encore plus aujourd'hui : à l'heure où l'on se détourne de nos anciens pour se consacrer pleinement aux plus jeunes, où l'on remet au "goût" du jour les références cinématographiques d'il y a trente-quarante ans en détruisant à la fois leur sens, leur portée divertissante et leurs codes, ce terrible plaidoyer en faveur de l'ancien, de l'authentique, de la base des inspirations transforme une douce note de nostalgie en regret amer de voir que le cinéma aura perduré, dans les 70 ans qui nous séparent de la sortie de Sunset Boulevard, dans la voie que dénonçait déjà Wilder à son époque.

    Si Hollywood n'apprend pas de ses erreurs, c'est parce que le superficiel a pris le pas sur l'art, que Gloria Swanson, reflet d'une époque remplacée par la jeunesse relative de William Holden, ne peut plus exister que par l'écran, qu'il soit petit ou grand, et quelle que soit la nature de sa renommée; il n'est pas surprenant de la voir exaltée lors de la mort de Gillis, séquence durant laquelle elle confond, perdue dans son délire obsessionnel, les flashs des journalistes à scandale avec les lumières des projecteurs d'un tournage.

    Parée pour son film, elle est l'ultime figure d'une génération qui s'éteint dans un scandale horrible, prête à embrasser la destinée dont elle rêve depuis la fin de sa carrière originelle, destinée qu'elle rejoint dans un magnifique traveling la suivant descendre les escaliers, et se mettre au niveau de ses détracteurs qu'elle considère comme admirateurs. Délirante, elle s'est mise au niveau d'où mourut Gillis, incarnation d'une première génération de cinéastes du cinéma parlant en voie de s'éteindre (soit celle de Wilder), au profit de la prochaine, interprétée par son amour qu'il laisse filer, s'élever loin de sa déchéance programmée, une Nancy Olson qui apprend de l'ancienne génération et pose les bases du cinéma parlant de la nouvelle décennie à venir, les années 50.

    Boulevard du crépuscule, ce chef-d'oeuvre de Billy Wilder, est un clash générationnel intemporel à la portée réflexive fascinante, portée par une mise en abîme renversante et des acteurs emblématiques. Terriblement tragique, affreusement réaliste, il reste d'actualité et pose les bases de la plus virulente critique sur Hollywood qu'on a pu voir au cinéma en signant une intrigue d'une intelligence redoutable, conclue de façon parfaite sur une ultime note de cynisme désespérant.

    Après tout, Swanson n'est pas petite, ce sont les écrans qui sont devenus trop grands pour elle.
    Roub E.
    Roub E.

    955 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 janvier 2024
    Une merveille! Boulevard du crépuscule est un film extraordinaire, avant gardiste, mélange de film noir, de drame, de comédie et de description d un univers, ici Hollywood et le star system. Billy Wilder très inspiré dans sa mise en scène met en valeur un scénario nous décrivant avec lucidité et cruauté, le sombre destin d une actrice autrefois star mondiale et tombée dans l oubli car ayant visiblement atteint sa date limite de présentation. L écho que peut encore avoir ce film à ce sujet est un de ses tours de force. Bien interprété, bénéficiant pour ses seconds rôles de plusieurs grandes stars du Hollywood passé je ne lui reprocherai qu un aspect pour le coup vieux jeu sur les relations entre le personnage principale et celui de la jeune scénariste. Un film qui semble annoncer la fin de Hollywood il y a plus de 70 ans et qui montre en même temps qu il se renouvelle sans cesse et laisse dans l oubli ceux qui ne suivent pas le mouvement.
    Acidus
    Acidus

    721 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mai 2023
    Grand classique du cinéma que j'ai tardé à visionner. Erreur rattrapée et je ne fus pas déçu.


    Billy Wilder nous offre un grand film avec, comme figure centrale, une ancienne star de cinéma s’accrochant à sa gloire passée. Une bien triste histoire. Violente et sombre aussi. Wilder en profite pour critiquer la superficialité du monde du cinéma.


    On est pris par l’atmosphère particulière du film. Tout en tensions et en attente avec cette mélancolie persistante. La partition des acteurs est impeccable tout comme la mise en scène et la belle photographie en noir et blanc.


    Très bon long métrage dont les rides ne lui apportent que plus de charme.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 151 abonnés 5 135 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 mars 2016
    Un accueil digne d'un comte Dracula dans un château hanté, une femme fantasque, possessive et entretenant son "propre" culte, un film passionnel, mystérieux et presque angoissant comme un Hitchcock.
    "Comme les étoiles les vedettes sont éternelles". Superbe
    cinono1
    cinono1

    302 abonnés 2 055 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 août 2022
    Classique parmi les classiques, Boulevard du Crépuscule a t-il bien vieilli? L'histoire garde sa charge dramatique, Billy Wilder a la bonne idée de convoquer quelques figures de l'âge d'or du cinéma muet pour y parvenir. Ils portent sur leurs visages les stigmates du changement. Changement qui s'est fait parfois sans eux, les renvoyant à leurs fragilité qu'ils ne peuvent accepter. Par contre l'histoire est sans surprise aucune, en tout cas pour le spectateur d'aujourd'hui. Ce défaut empêche le spectateur de plonger tout entier dans l'histoire.
    bobmorane63
    bobmorane63

    189 abonnés 1 965 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 avril 2015
    C'est le premier long métrage que je découvre du cinéaste Billy Wilder (je sais, ses films passent souvent à la télévision) et "Boulevard du crépuscule" est une œuvre qui marque les esprits !! Réalisé en 1950, une histoire sur le vieil Hollywood mélangé par le genre drame ou un scénariste, fauché et sans proposition, échappe à des huissiers pour se cacher par hasard dans le domaine d'une actrice phare du cinéma muet et son valet qui le reçoivent et lui proposent d'écrire un scénario de qualité pour son come back. Le scénariste est d'abord conquis mais la vieille dame est trop envahissante dans sa vie. Un film qui parle d'Hollywood, des studios et l'apparition du grand metteur en scène Cecil B. DeMille. Un long métrage sur la vieillesse des actrices qui aspirent a redevenir des comédiennes jusqu'à la folie. Billy Wilder signe un chef d'œuvre qui possède une belle narration et offre des roles en or à William Holden et Gloria Swanson. Il me reste maintenant à continuer a explorer la filmographie de ce cinéaste adulé par les cinéphiles.
    Fabios Om
    Fabios Om

    52 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juin 2024
    « Boulevard du Crépuscule  » grand film de Billy Wilder . Il nous narre une histoire sombre et cruel . Le réalisateur Billy Wilder a fait appelle à plusieurs grand nom du cinéma comme le réalisateur Cécile B. De Mille qui jouent donc leurs propre rôle dans ce film pour rendre le film plus authentique et vrai . Le réalisateur Billy Wilder livre avec ce film une véritable critique très sombre sur le monde cruel que peut être le cinéma qui est merveilleux à l’écran mais qui peu être terrible dans les coulisses et nottament sur ses artistes déchu qui ont connu la gloire , qui ont été adulé et qui du jour au lendemain ont vu leurs carrière s’arrêter net comme ses stars du cinéma muet qui ont été jeté par l’industrie du cinéma car il ne correspondaient plus à la tendance du moment celle du cinéma parlant et qu’il étaient désormais juger dépasser et ringard . Et que dire de ce sublime dernier plan, véritable antithèse au surnom de la ville de L.A: ici ce ne sont pas les anges qui trouvent la lumière, mais des spectres qui pensent enfin que leur rêve s'accomplit.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2018
    Pour une fois , le titre français colle parfaitement à ce film crépusculaire. Un certain Hollywood est mort, que Billy Wilder fait revivre, en excellent scénariste qu'il a toujours été.
    Le film est un peu le pendant morbide des réjouissantes comédies Singing in the rain ou The artist. Le muet est mort, vive le parlant! Hollywood ne meurt jamais.
    Construit astucieusement- le narrateur en voix off étant décédé dès la première scène! - Sunset Boulevard regorge de scènes incroyables: l'enterrement du singe/enfant, la rencontre avec De Mille dans le studio 18, la partie de bridge avec Fred Astaire et le patron de la Warner. Et aussi la soirée de nouvel an à deux, en tenue de soirée avec l'orchestre jouant pour le seul couple présent (prémonitoire de l'invitation faite par De Niro à Deborah dans Il était une fois en Amérique).
    Gloria Swanson est sublime dans sa paranoïa destructrice, d'elle -même mais aussi du pitoyable scénariste, désargenté et poursuivi par les huissiers. Hollywood brule et consomme les êtres qui ont fait sa réussite. Voilà donc une belle pépite du créatif Wilder. TV2 - décembre 2018
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