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    Jusqu'au bout du monde
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    Charly Ferruda
    Charly Ferruda

    34 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 août 2024
    Une allemande sexy est victime d'un accident de voiture sur le plateau de l'Aubrac, percutée par Eddy Mitchell et Chick Ortega qui viennent de braquer une banque à Nice. Elle les trouve finalement sympa, et eux aussi. Du coup, ils lui confient le butin pour qu'elle le remonte vers Paris à bord de sa caisse qui a moins morflé que la leur. Dans toute cette partie du film on se croirait dans un Beineix. Sur la route, l'allemande sexy prend William Hurt en stop qui lui chourave une partie de l'oseille. C'est sans compter sur un tueur black qui veut se faire William Hurt pour des raisons assez obscures. Tombée amoureuse de Hurt, elle n'a de cesse de vouloir le retrouver en se faisant aider par un privé dont elle n'a absolument pas besoin mais qui reste quand même. Elle retrouve Hurt, elle le reperd, le privé les suit, il les perd, Schmoll s'est fait arrêter pour le braquage, Chick sympathise avec Sam Neil (l'ex de l'allemande) qu'elle aime encore, mais différemment. On est en 1999, le régime soviétique semble avoir repris du service dans ce monde menacé par un impact (celui de la station Mir ?) qui risque d'éteindre toute forme de vie. Sur ce canevas foireux, Wenders nous pond un de ces pensums dont il a le secret, mais palme d'or oblige en 1984, on lui a signé des chèques en blanc pour faire à peu près ce qu'il a voulu durant vingt ans. Résultat, 4H50 à se taper la tête contre un mur devant ce monument d'ennui. J'ai déclaré forfait au bout d'une heure vingt.
    Pierre L.
    Pierre L.

    35 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mai 2024
    Un bon film de Vigg Mortensen avec 2 forts acteurs. L action se déroule au 19 e siècle dans la rencontre coup de foudre d un couple d étrangers puis leur vie dans une époque et une contrée assez violentes.des moments forts en émotion sont relatés avec de nombreux flashbacks. Il y a un réel soin du détail che Viggo Mortensen.J aurai aimé un scénario plus étoffé mais c est tout de même une jolie histoire.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    94 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2024
    A l’origine, Jusqu'au bout du monde devait durer 2h30. Wim Wenders parvient en 1991 à faire distribuer en salle une version dont la durée de 2h50 était « compatible » avec les normes des exploitants de cinémas. Le film fut mal accueilli tant par la critique que par le public. Par contre, sa bande originale connut un grand succès. Cette version amputée qualifiée de « Reader’s Digest » par son auteur n’a jamais satisfait les visées d’odyssée ambitionnées par Wenders dans ce qui fut la plus grosse superproduction d’auteur européenne. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/lumiere2023/#JBM
    Patjob
    Patjob

    34 abonnés 600 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 janvier 2023
    « Qui trop embrasse mal étreint », le proverbe s’applique bien à ce film fleuve de Wim Wenders. La multiplicité des lieux, sur (presque) tous les continents de la planète, ne permet pas au cinéaste d’en restituer l’ambiance, lui qui a montré son talent en la matière dans nombre d’autres films. Les méandres d’un scénario rocambolesque égarent le spectateur. Le mélange des genres, polar, aventures, comédie sentimentale, science-fiction, nuit à l’adhésion au film. Et les différents thèmes abordés, jusqu’à la dimension éthique de la dernière partie, semblent apparaître de façon artificielle. Ce qui fait de ce film un melting pot bien long (j’ai visionné la version « longue », de plus de quatre heures et demie !) et bien décevant, surtout qu’il arrive dans la carrière de l’auteur juste après un chef d’œuvre comme « Les ailes du désir », modèle d’écriture, de création et de grâce. Mais il faut lui reconnaître un aspect assez visionnaire et, par bonheur, quelques fulgurances de haut vol.
    Clockwork Blue Orange
    Clockwork Blue Orange

    3 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 décembre 2022
    Jusqu'au bout du monde un film qui possède des qualités certaines comme ses décors, ses costumes ou encore son casting mais aussi de terrible défaut tel sa longueur et ces incohérences scénaristiques. L’œuvre de Wim Wenders qui s’apparente au futur du passé peu se résumé en deux partie, qui reviennent presque à dire qu'il a deux film en un : Le premier dure deux heures trente et nous raconte la vie de Claire et des rencontres au fil du hasard, errant sans véritable but dans un 1999 imaginé en 1990, pendant qu'un satellite nucléaire menace de s'écraser sur terre.

    Dans cette partie le fil conducteur, c'est la partie de cache cache entre Claire et cet auto-stoppeur visiblement traqué par les américains et dont la tête est mise à prix : Trevor. Claire est complètement tombé amoureuse de cet homme et voilà qu'elle le poursuit à travers le monde entier. La structure narrative oscille entre road movie et film d'espionnage sans jamais réussir ni l'un, ni l'autre. Les personnages sont sans saveur ni profondeur et occupe le rôle de fonction pour faire avancer une histoire qui semble allez nulle part à l'image de Claire.

    Tout le monde suit Claire, Claire suit Trevor et même si symboliquement c'est amusante sur la papier, cette partie est surtout particulièrement ennuyante à regarder et parait même très étonnante de la part du réalisateur des Ailes du désirs ou Paris Texas qui sont pourtant tout deux des chef d’œuvres. La vision de ce 1999 reste intéressante et au milieu d'un certain nombre de technologie désuète, le film tape juste quelques fois à l'image du GPS, ou de la monnaie européenne, mais n'offre jamais de véritable développement quand à son univers ou ces bouleversent sociaux avec l'arrivé de ces technologies.

    On a bien quelques appel vidéo de ci de là, mais qui ne ce servent rarement de la vidéo et de ce qu'elle pourrait réellement apporter. On nous balade juste de personnages en personnages, de rencontre en rencontre, sans jamais chercher de véritable crédibilité, sans efforts dans les dialogues, dans le jeu ou encore dans la réalisation pour nous tenir en halène. Cette partie ressemble à un patchwork de diapositive sur fond de U2 (visiblement en 1990 U2 c'était le futur), ou les personnages passe leur temps à se retrouver comme par magie, il arrive cependant un moment ou l'informatique avec le tracement des transactions trouvent enfin une logique appréciable, ou encore la petite vanne sur le dernier concert des Stones, mais tous cela est bien maigre.

    Reste cette caméra du futur qui permettrai de montrer ces images à des aveugles, à peine visible dans cette partie, indice de ce que sera la deuxième partie. Alors justement, il faut clairement passer ces deux heures trente pour y voir clair(e) (je pense que vous avais compris le jeu de piste) car la deuxième partie, ce deuxième film juste derrière, lui, est absolument passionnant même si il reste encore un peu bancale à de rares moments. Dans cette partie les personnages sont enfin traité correctement et les nouveaux sont vraiment passionnant.

    Alors "attention spoiler : spoiler: Dans cette partie nous découvrons les parents de Trévor qui s'appelle en fait XXX qui nous dévoile les véritable enjeux de cette caméra du futur et sa terrible prédiction sur notre perte de sens, notre aveuglement et notre isolement. Sous fond de menace radioactive planétaire (en effet le satellite nucléaire est détruit par les américains contre l'avis du monde entier) Tous nos personnages ce retrouve dans cette communauté au milieux d’aborigène australien, caché entre rocher et grotte pour s'abriter des radiations. Ici on apprend que le père de XXX, est l'inventeur de cette caméra et qu'il a du s'enfuir et ce caché avec sa femme aveugle pour ne pas ce faire voler ces travaux par les américains. Et c'est dans ce véritable paradis perdu, racine de nos origines que la maîtrise du Wim Wenders revient sur le devant de la scène sur tous les points et si il reste encore quelques trou dans la cohérence, on pardonne tout ou presque à son auteur tant la découverte se révèle être le cœur à l'image d'une œuvre alchimique terriblement en avance sur son temps. C'est simple, ici, vous allez découvrir des iphones métaphoriques sous vos yeux et leurs terribles dégâts avant l'heure. En effet cette technologie miracle qui semble rendre la vue aux aveugles est bientôt détourné pour ouvrir le plus privé de nos sanctuaires, celui-ci des rêves. En ouvrant la porte de notre sub conscient de l'humanité pour en enregistrer le contenu, l'homme se replie sur lui même, détruit par son égo"


    Cette partie est tout simplement fantastique et préfigure largement des influences qui ne sont pas sans rappeler Evangelion pour cet aspect de la synchronisation entre le cortex du cerveaux avec un ordinateur ou encore minority report pour son intrusion dans le cerveaux d'un autre à l'image des précog (étrange coïncidence par exemple de retrouver Max Von Sydon en scientifique sans limite). Ici je vous laisserai découvrir la puissance du message, qui je pense vous marquera à vie, la technologie et ces futurs dangers sont enfin traité et de la plus juste des manière. Ce qui me fait dire au final que oui, jusqu'au bout du monde est un film fondateur mais terriblement imparfait, qui retombe plutôt bien sûr ces pattes. Il nous délivre un message si puissant et tellement en avance sur son temps qu'il faut savoir le mériter. Pour cela il vous faudra suivre l'humanité jusqu'au bout du monde pour découvrir enfin ce qu'il ce cache au delà.
    noodles2
    noodles2

    94 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 janvier 2023
    Un des films les plus ennuyeux du monde et très encré dans un style 90' plutôt moche.. 4H30 !! les films de Wenders vieillissent très mal
    une curiosité pour les aficionados du réalisateur et du cinéma expérimental
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 693 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 février 2021
    L'intrigue tourne et se retourne mais à la fin elle laisse beaucoup de choses inexpliquées. On ne sait pas du tout pourquoi Hurt est poursuivi à la fin ni qui sont les personnes qui l'ont poursuivi. Tout est résolu par le supposé désastre qui ne se matérialise jamais. Un film catastrophe sans désastre c'est une apocalypse sans cavaliers. Il est plein de parties disjointes qui ne s'additionnent pas pour former un ensemble satisfaisant. Beaucoup de scènes sont complètement plates et n'ajoutent rien. Quand Hurt se réveille entre deux aînés ils semble aussi déconcerté que moi par leur apparition dans le film. L'idée de se cacher en Australie avec une tribu d'Aborigènes est quelque peu nouvelle mais c'est le fantasme d'un homme blanc je pense. C'est un groupe d'homme qui s'occupe de tous ses besoins bien qu'il n'y en ait pas trop et qu'ils le quittent ce qui une fois de plus se fait avec un minimum d'émotion. Le tout était aussi sec que le désert australien. Il fallait peut-être le voir sur grand écran mais au final je ne pense pas que le film était visuellement époustouflant. Il utilisait quelques plans du bush australien mais il n'y avait rien de très intéressant dans la façon dont cette histoire a été tournée. Je me suis retrouvé à souhaiter sincèrement la fin du film sinon la fin du monde...
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    123 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2017
    Il n'y a pas de trilogie de science-fiction plus difficile à comparer aux Star Wars originaux que celle-ci. Ne cherchez pas la métaphore, ça n'a simplement rien à voir du tout. Mais la monumentale création de Wenders mérite quand même qu'on la qualifie de meilleure. Par contre le titre comme la forme peuvent être pris au premier degré : avec des équipes de tournage disséminées dans de multiples pays, il a avant tout voulu faire de son film un imposant diaporama où la figuration des paysages français, américain, russe, japonais et australien ne sont que des exemples.

    C'est un road-movie à l'échelle d'une planète, ce qui nous permet de l'inscrire dans une dimension graphique indéterminée mais en tout cas sans limites apparentes.

    Jusqu'au bout du monde n'est en fait qu'un seul film, mais si long qu'on l'a découpé en une trilogie pour motifs commerciaux. Il ne suffit pas d'en dire que les magnifiques images ont pour toile de fond une histoire qui tient la route de manière révolutionnaire. Le vrai fond est bien minimaliste puisqu'il s'agit d'un certain satellite dont le crash imminent menace l'Homme de fin du monde. C'est ce discret fil rouge qui joue un rôle important au sein du film, lui permettant d'aquérir une cohésion faisant passer n'importe quel autre film pour une nouvelle quand lui est un roman. Il ne met de côté aucun sujet, passe au crible chaque idée et prend son temps pour la dérouler. C'est de là qu'il tire sa force à la fois en tant que drame, oeuvre de SF ou membre privilégié des films globe-trotter.

    Wenders recherche la mixité en tout, ignorant la barrière de la culture ou celle de la langue ; toutes s'y mélangent dans une année 1999 dont il ne faut pas perdre de vue qu'elle était encore le futur au temps du tournage. Et c'est là que le réalisateur dévoile à quel point il était visionnaire : non content d'avoir discrètement glissé l'info comme quoi l'écu est la monnaie française et donc a fortiori européenne, il invente des objets qui sont moniteurs portatifs dont les personnages deviendront dépendants. Ils existent aujourd'hui pour de vrai ; beaucoup moins encombrants, on ne regarde pas nos rêves dessus, mais la justesse est surprenante.

    On sort du film avec l'impression d'avoir contemplé une mosaïque de chapitres peu liés les uns aux autres si ce n'est par la patte du régisseur, où il a puérilisé la technologie avec poésie et humour et tellement fait tourner ses protagonistes en bourrique qu'on se sent proche d'eux, même aux antipodes.
    Vrakar
    Vrakar

    42 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Si vous n'êtes pas familier des films de Wim Wenders et que vous vous attaquez à 4h40 de ce "Jusqu'au Bout du Monde", passez votre chemin. Ou regardez-le en 2-3 fois. Ce pavé cinématographique aborde aussi bien la comédie (au sens large) que le policier, l'aventure ou l'anticipation (SF). Le tout étant le plus long road-movie qui ait été tourné. Pas moins de 9 pays-4 continents traversés. Certes, la technologie que Wenders imaginait en 1991, l'ambiance cyber-punk du début, le jeu d'acteur et la bande son d'époque lui donnent clairement un air vieillot. Mais c'est aussi ce qui fait son charme. En un sens, c'est un véritable ovni. La distribution est tellement éclectique qu'il fut impossible au réalisateur de tout maitriser. Certains passages sont laborieux et le trio Solveig Dommartin/William Hurt/Sam Neill parait parfois complètement paumé. Le chaleureux séjour au sein d'une communauté Aborigène se révèle être le point fort du film. On entre de plein fouet dans une SF décalée. La dépendance à "l'écran des rêves" pourrait presque se comparer à celle des téléphones portables d'aujourd'hui pour certains. Se couper de la réalité, c'est comme se couper de son âme. Au final, cet ambitieux road-movie peut se percevoir comme une quête de son identité, quelque soit l'issue du monde.
    jean-paul K.
    jean-paul K.

    13 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juillet 2016
    un film qui vaut surtout par sa dernière partie avec de superbes images, une excellente bande son et une histoire envoûtante, mais que ce film est long, surtout dans sa première partie. Un film à regarder dans sa version de 3h; dans la version de 4h40, il y a une bonne 1h30 de trop.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 21 juin 2016
    Classé en film d'action sur d'autres sites, ici, il est catégorisé dans le genre science-fiction ou drame et d'autres le qualifient de road movie. Si cette réalisation est un peu tout cela à la fois (hormis l'action), il ne se passe rien, ce film est d'un ennui incommensurable et d'une longueur interminable.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 185 abonnés 5 188 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 novembre 2015
    Novembre 2015. Wim Wenders vient présenter à Paris son film restauré en version longue: près de 5h!!!!!! Une expérience fascinante pour un film tout en dualité. Ici on vit le monde du rêve jusqu'à en mourir. Très philosophique, le film aborde la fascination presque maladive du sujet au rêve. Vivre ses rêves est-il mieux que d'imaginer les vivre? Les images sont des chimères qui emprisonnent les héros dans un monde qui ne leur appartient pas et l'écrivain vient en quelque sorte nous donner la clef de la survie: "Ce sont les mots qui guérissent de la maladie des images".
    Joes
    Joes

    1 abonné 43 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 septembre 2014
    Avec Alice dans les villes et les Ailes du désir, Jusqu'au bout du monde clôt en quelque sorte l'univers "Wenders", l'univers du photographe, l'invitation au voyage et à la poésie s'achève ici au coeur de l'Australie et bien au-delà après une course à travers le monde. Esthétique, nous avons là toute la raison de vivre du photographe errant à travers le monde à la recherche de toujours plus de rêves à transmettre.
    Ici le scénario n'est que prétexte à un voyage initiatique entre amour, poésie et clichés instantanés.
    Un film méconnu sans doute de part sa longueur, et le fait qu'il fût amputé à sa sortie d"une bonne heure.
    Comme à son habitude la bande son et les images se succèdent parfaitement orchestré par une distribution d'acteurs remarquables. Mention spéciale pour le couple improbable Jeanne Moreau / Max Von Sydow. Deux monstres sacrés du cinéma, de l'émotion à l'état pur.
    Le scénario n'est pas en reste, ce film reste encore aujourd'hui, certainement le plus complexe réalisé à ce jour par Wenders. Il faut cependant rester accroché plus de 4 heures (pour la version non amputée). Un voyage initiatique en compagnie de la merveilleuse solveig Dommartin égérie de Wenders et disparue beaucoup trop tôt.
    Un film que l'on redécouvre à chaque nouvelle vision et sous des aspects différents à chaque fois... Tant de choses à dire...

    Difficile à dissocier des films précédemment cités, avec ces 3 films, la messe est dite, 3 chefs d'oeuvres du 7ème art, qui ne font qu'un au final...
    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    134 abonnés 216 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 août 2014
    Histoire sans queue ni tête, vaine, sans intérêt, interminable, en roue libre.
    Le carnet de voyages n'est même pas beau.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 novembre 2013
    Un film mythique, entre rêve et realité. Une bande originale à couper le soufle !
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