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Coppola s'intéresse à la jeunesse des années 60 et spécialement aux "blousons noirs" avec ce film très inégal au casting plutôt convaincant (Matt Dillon et C. Thomas Howell en tête) mais au sujet qui semble déjà vu et revu avec déjà plus de brio. En effet, l'histoire n'a rien d'original et cet apprentissage de la vie par ces deux jeunes gamins à travers ce qu'ils ont commis a déjà été et sera largement mieux exploité ("Stand By Me" sortira 3 ans plus tard). La mise en scène est maîtrisée avec une superbe photographie mais parfois quelques surimpressions agaçante de même que la musique qui vient parfois trop ponctuer l'émotion des personnages.
Outsiders donne l'impression, avec son technicolor qui fait mal aux yeux et ses figures de l'americana, d'avoir été tourné dans les années 50.
Sauf que le film s'appelle Outsiders et qu'il fait un portrait de laissés-pour-compte trop souvent banalisés. Derrière le vernis clinquant des 50's, le film prouve la richesse et la complexité des personnalités (ce qui est d'autant plus fort dans un film de gang !) et que celles-ci s'acquièrent d'autant mieux dans le refus des conventions, dans la résistance à la normalité. Et celle-ci se défend à coups de poing dans une baston finale forcément cathartique. L'Outsider Coppola m'a encore ému aux larmes...
Sauf que le film s'appelle Outsiders et qu'il fait un portrait de laissés-pour-compte trop souvent banalisés. Derrière le vernis clinquant des 50's, le film prouve la richesse et la complexité des personnalités (ce qui est d'autant plus fort dans un film de gang !) et que celles-ci s'acquièrent d'autant mieux dans le refus des conventions, dans la résistance à la normalité. Et celle-ci se défend à coups de poing dans une baston finale forcément cathartique. L'Outsider Coppola m'a encore ému aux larmes...
Contrairement aux mastodontes qu'étaient "Le Parrain" ou "Apocalypse Now", "Outsiders" appartient plus au cadre des films intimistes de Coppola, rejoignant les futurs "Tetro" ou "Twixt". Pourtant, ce qui est étrange, c'est que "Outsiders" n'a jamais connu le succès escompté, à tort. Véritable fable, humaine et poétique sur des adolescents en dérive, Coppola frappe fort en adaptant le livre de S.E Hilton. L'histoire raconte un conflit inter-bandes entre jeunes pauvres, les Greasers, et jeunes riches, les Socs. Cependant, tout bascule le jour ou un événement grave survient. Véritable odyssée et fable métaphysique sur la perdition de la jeunesse américaine, Coppola signe ici une oeuvre d'une justesse étonnante et d'un fort caractère poétique, dans laquelle vient se mêler la violence et la cruauté de la vie, sans tomber dans le pathétique ou le larmoyant. Là réside la grande force du film de Coppola. Ne jamais tomber dans le pathétique simple et pur. Certes, le film est touchant, mais il dresse aussi une véritable critique de la société et des mœurs américaines. La caméra se place majoritairement auprès des Greasers, des pauvres, mais sont-ils aussi innocents que les Socs? Probable question posé par le film de Coppola, sans oublier l'aspect conte initiatique et rédempteur. Rédemption qui semble habiter le personnage de Johnny, par la suite porté par Ponyboy, en se posant comme un aspect anti-violence envers la société d'alors. "Outsiders", contrairement à sa réputation, n'est pas un Coppola mineur. Il s'agit d'un film juste et minutieux, extrêmement bien réalisé et bien traité. Une fable adolescente dans les bas fonds de l'Amérique des années 70-80.
Coppola fait un joli film plein de sentimentalisme qui s'inscrit dans la lignée de ce que font ses meilleurs potes c'est-à-dire George Lucas "American Graffiti" et Spielberg "E.T".
Un regard sur la jeunesse perdue des années 60 à l'époque du Rock'n roll.
L'intrigue s'intéresse à deux gamins qui font partie d'une bande créatrice de bagarre avec une autre bande rivale.
Hélas ces anti-héros doivent fuir après une bagarre qui a très mal tournée et puis plus tard ils deviennent des héros.
Une chose est certaine la qualité de la mise en scène est admirable encore aujourd'hui.
Coppola place toujours idéalement sa caméra et il sait jouer avec les couleurs et que dire sur la photographie qui est magnifique et je prendrai comme exemple se coucher de soleil magnifique près du refuge des jeunes fugitifs ( les lumières sont arrangés certes mais ça n'en est pas moins appréciable) ou encore les ombres chinoises avec en fond un ciel bleu splendide avec ces deux mêmes personnages quand ils rencontrent la magnifique et très belle Diane Lane.
Les jeunes acteurs sont excellents.
Coppola et son style on aime ou on aime pas, mais moi j'ai aimé.
Une vision romantique sur les jeunes rebelles.
Un bel hommage à l'amitié, au temps qui passe et sur les enfants qui grandissent trop vite.
Un regard sur la jeunesse perdue des années 60 à l'époque du Rock'n roll.
L'intrigue s'intéresse à deux gamins qui font partie d'une bande créatrice de bagarre avec une autre bande rivale.
Hélas ces anti-héros doivent fuir après une bagarre qui a très mal tournée et puis plus tard ils deviennent des héros.
Une chose est certaine la qualité de la mise en scène est admirable encore aujourd'hui.
Coppola place toujours idéalement sa caméra et il sait jouer avec les couleurs et que dire sur la photographie qui est magnifique et je prendrai comme exemple se coucher de soleil magnifique près du refuge des jeunes fugitifs ( les lumières sont arrangés certes mais ça n'en est pas moins appréciable) ou encore les ombres chinoises avec en fond un ciel bleu splendide avec ces deux mêmes personnages quand ils rencontrent la magnifique et très belle Diane Lane.
Les jeunes acteurs sont excellents.
Coppola et son style on aime ou on aime pas, mais moi j'ai aimé.
Une vision romantique sur les jeunes rebelles.
Un bel hommage à l'amitié, au temps qui passe et sur les enfants qui grandissent trop vite.
C'est mon premier film culte, j'ai vu ce film à 10 ans et ouah ! Je peux le voir et le revoir.
Tu parles des bandes rivales (pauvres et riches) qui s'affrontent et évidemment, on a envie d'être du côté des pauvres.
Le casting est impressionnant, la musique est géniale.
Un excellent film, à ranger précieusement dans votre vidéothèque.
Tu parles des bandes rivales (pauvres et riches) qui s'affrontent et évidemment, on a envie d'être du côté des pauvres.
Le casting est impressionnant, la musique est géniale.
Un excellent film, à ranger précieusement dans votre vidéothèque.
On se demande bien où est passé le Coppola de ce film . Superbes images et très élégante mise en scène. Des comédiens impliqués et une belle adaptation d un roman américain. Tout est juste émouvant. Un grand film qui n a pas pris une ride . Superbe édition en DVD avec la version du réalisateur . Revoyez le c est du grand cinéma.
Un scénario sans grand intérêt. Une rivalité entre deux bandes qui sonne faux, une ambiance mièvre et sirupeuse. L'acteur principal à coté de ses pompes, le reste du casting s'en sort un peu mieux.
Assurément le film qui m'a fait aimer le cinéma. Une histoire simple à la manière de celle de "west Side story" ou encore "Rebel Without A Cause", qui sont vraiment excellent. Francis Ford Coppola film l'adaptation du roman de SE Hinton, de façon absolument magnifique, et l'on peut considéré qu'il a du lancer quelqu'un des acteurs les plus connus de notre génération avec ce film, comme par exemple Tom Cruise, ou encore Patrick Swayze, Matt Dillon et Rob Lowe.
La qualitré du film se maintien à travers les ages. Tout simplement magnifique !
Je vous le conseille vivement.
La qualitré du film se maintien à travers les ages. Tout simplement magnifique !
Je vous le conseille vivement.
Excellentissime!
J'avais été poussé par un collègue à aller le voir lors de la reprise ciné car c'était son film de chevet d'ado, donc sans en attendre grand chose, et en fait un film qui n'avait pas vieilli, très intéressant!
Non seulement il y a toute cette brochette de jeunes devenus stars pour la plupart , mais le travail sur la couleur j'ai adoré!! L'histoire tient la route et est transcendée par la mise en scène et son côté irréel, un très bon film à redécouvrir!
Je crois même que je préfère le Coppola de ce film et de Dracula, que le Coppola de ses classiques (que j'aime aussi...).
J'avais été poussé par un collègue à aller le voir lors de la reprise ciné car c'était son film de chevet d'ado, donc sans en attendre grand chose, et en fait un film qui n'avait pas vieilli, très intéressant!
Non seulement il y a toute cette brochette de jeunes devenus stars pour la plupart , mais le travail sur la couleur j'ai adoré!! L'histoire tient la route et est transcendée par la mise en scène et son côté irréel, un très bon film à redécouvrir!
Je crois même que je préfère le Coppola de ce film et de Dracula, que le Coppola de ses classiques (que j'aime aussi...).
pierrre s.
Dans l'Amérique des années 60, une bande de jeunes paumés livrés à eux-mêmes, jouent les durs en bastonnant une autre bande, celle des fils de riches. Malheureusement le drame n'est pas loin... Un film peu connu mais qui vaut vraiment le coup d’œil, pour son histoire d'abord, mais aussi pour son casting.
Pour les nostalgiques des 60´ties, sans surprise avec une candeur et une spontanéité rafraîchissantes, des acteurs en devenir et une histoire de bandes rivales qui finit mal comme toujours, plaisant !
Le film sonne faux, les acteurs ont un jeu plus ou moins minable, les voix françaises sont totalement ridicules, la seule note que j'ai pu apprécié, est l'excellente musique "Gloria" qui passe à plusieurs moments du film, mais n'est pas assez accentuée. Bref, j'ai passé un moment vraiment sans plus et sans aucune magie, tant il y a du déjà vu. Un très mauvais remake de West Side Story qui note un + car ce n'est pas une comédie musicale !
Coppola n’atteint pas la justesse de John Hughes avec ‘The Breakfast club’ et ‘Ferris Bueller’ ou de Gus Van Sant bien plus tard. Pourtant, le casting valait le coup –il ne le savait pas encore- puisque quasiment tous sont maintenant reconnus pour leur talent d’acteurs : Matt Dillon, C.Thomas Homwell (‘E.T.’, ‘Hitcher’), Ralph Macchio, Patrick Swayze, Rob Lowe, Tom Cruise (3 ans avant le succès de ‘Risky business’), Emilio Estévez, Tom Waits, Diana Lane. Une distribution bien macho. Pour beaucoup, ce fût le premier vrai film de leur carrière, les révélant au grand public. Mais à part cela, que dire de plus ? Le récit est sans intérêt, on nous attire (très) lentement vers une lutte entre gangs opposés tout en nous montrant (assez) peu ce que peut être la condition d’adolescents dans les années 60. Le titre ‘Gloria’ de Van Morrison tourne en boucle pour remplir une bande son vide. Seules les voitures et le cinéma en plein air avec ‘Beach blanket bingo’ et ‘Muscle beach party’ tous deux de William Asher attestent de l’époque dans laquelle les personnages évoluent. La stupidité des jeunes persistent même après un acte héroïque et un pote sur le billard. De là, la morale est toute trouvée : Non à la violence ! Autre point à ne pas négliger, n’ayez aucun à priori sur le vieillissement du film, il n’est pas du tout daté 80’s, les thèmes sont toujours d’actualité, comme quoi les adolescents n’évoluent pas tant que cela… Loi du plus fort, pouvoir, enrichissement, amour, refus de grandir ‘normalement’… Tout y passe, cela plaira aux amateurs de Gus Van Sant avant l’heure et aux nostalgiques des teen movies des années 80.
Les Grease au meilleur de leur forme mais plus au sens propre qu'au figuré. Car les choses s'envenime pour le plus jeune John qui a commis un crime pour sauver la peau de son ami. Des références à Autant en emporte le vent qui s'apparentent à des déclarations d'amour. Une image travaillé et un scénario en béton on n'en voulait pas plus de la part de Coppola. Et puis deux têtes brulés amusantes à voir en figurant Patrick et Tom. Un film basique pour son genre.
Roub E.
Un film de bande qui vaut surtout pour son casting d acteurs qui va marquer le cinéma américain des années 80 90. Pour le reste je ne peux pas dire que ces affrontements entres les gosses de pauvres les Greasers et les gosses de riches les Socs tous livrés à eux mêmes m aient passionné. J ai trouvé cela assez plat et il faut bien reconnaître que si Coppola est un grand réalisateur il n est pas très doué pour filmer « la bagarre ». On plonge bien dans le petites villes américaines des années 60 mais je n en retiendrais rien de marquant.
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