Les Contes de la lune vague après la pluie : Critique presse
Les Contes de la lune vague après la pluie
Note moyenne
5,0
6 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Elle
Le Monde
Libération
Positif
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Luc Moullet
Le propre des chefs-d'œuvres est de dépasser complètement le cadre des "civilisations collectives" (…) Ce que nous Occidentaux ne comprenons pas (…) n'a aucune espèce d'importance. N°95- mai 1959
Elle
par Anne Diatkine
A ne pas rater.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Monde
par Jean de Baroncelli
Que ce film soit admirable, il suffit, je pense, de posséder un brin de sensibilité artistique pour en être convaincu. 12/04/1959
Libération
par Jeander
Ce film exceptionnel témoigne d'une merveilleuse technique au service d'un réalisme merveilleux. 27/03/1959
Positif
par Alain Masson
Sans être formaliste l'art de Mizoguchi exige des spectateurs une considération de la forme. Faute d'y être attentifs, ils réduiront ses films aux fables qui sont le point de départ. N°212, novembre 1978
Télérama
par Claude-Jean Philippe
(…) l'art de Mizoguchi est nourri de notions essentielles, simples, universelles. 07/07/1963
Cahiers du Cinéma
Le propre des chefs-d'œuvres est de dépasser complètement le cadre des "civilisations collectives" (…) Ce que nous Occidentaux ne comprenons pas (…) n'a aucune espèce d'importance. N°95- mai 1959
Elle
A ne pas rater.
Le Monde
Que ce film soit admirable, il suffit, je pense, de posséder un brin de sensibilité artistique pour en être convaincu. 12/04/1959
Libération
Ce film exceptionnel témoigne d'une merveilleuse technique au service d'un réalisme merveilleux. 27/03/1959
Positif
Sans être formaliste l'art de Mizoguchi exige des spectateurs une considération de la forme. Faute d'y être attentifs, ils réduiront ses films aux fables qui sont le point de départ. N°212, novembre 1978
Télérama
(…) l'art de Mizoguchi est nourri de notions essentielles, simples, universelles. 07/07/1963