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Votre avis sur Dans la ligne de mire ?
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Objectivons
Un scénario intéressant, du suspens, et un duel à distance Clint Eastwood-John Malkovich (qui joue parfaitement) qui fait tout le sel de ce bon plat euh bon film.
Un excellent thriller politique . Un grand affrontement entre deux légendes : Clint Eastwoood et John Malkovich. Un grand film.
Encore un bon Clint Eastwood policier des années 90, mais cette fois avec l'impérial John Malkovich.
FaRem
Film moyen mais quand même agréable à voir, le scénario est basique et déjà vu mais le film est bien mené par clint eastwood qui est très bon.
Bon thriller de Clint eastwood qui n'est pas à jeter. Même si sa jeunese n'est plus là (même dans le film) son charisme et son talent d'acteur est toujours autant présent. Je vous le conseille.
Clint eastwood incarne un ancien garde du corps nostalgique qui adore le jazz. En fait, dans le jazz, il n'aime qu'un seul morceau de miles davis qu'il se repasse en boucle en buvant son sky. Mais bon, c'est ça aimer le jazz. Cette anecdote donne une idée du film en général, prévisible de bout en bout. Attends, regarde comment ça commence : l'ancien garde du corps à échoué à protéger le président et déprime. Mais une menace pèse sur le président actuel. Alors comment cela va se passer ? ouais t'as deviné ! Un tueur à la gomme va essayer de buter le nouveau président, clint va le sauver, et il va retrouver confiance en lui et arrêter de boire du sky en écoutant son morceau de miles davis (et si je me rappelle, il devrait aussi se chopper une gonzesse au passage).
Un excellent thriller politique . Un grand affrontement entre deux grands acteurs de légende : Clint Eastwood et John Malkovich . Un grand film.
Il y a tellement de choses qui ne vont pas dans ce film que je ne sais pas par où commencer. Nous sommes censés croire qu'un agent trop vieux pour son travail et facilement essoufflé serait employé par les services secrets. Ensuite les stéréotypes du super flic arrivent à toute vitesse. Bien sûr le personnage d'Eastwood est le gardien de JFK et on nous dit qu'il était l'agent préféré de JFK. On nous dit qu'il a été accusé lorsque JFK a été trouvé avec une fille à la Maison Blanche. Tout le monde est là le psychopathe de service, l'ex-assassin de la CIA tous surpassé par John Malkovitch chef d'état-major qui semble plus préoccupé par les sondages que par la menace qui pèse sur la vie du président. On est censé nous faire croire que le personnage d'Eastwood réagit à la menace qui pèse sur la vie du président après que lui et tous les autres agents aient déjà écouté la menace du psychopathe lors d'un appel téléphonique sur écoute. Et enfin comme si nous n'avions pas déjà deviné la fin 5 minutes après le début du film le personnage d'Eastwood finit par sauver la vie du Président. C'est sans aucun doute l'un des plus mauvais film de Clint Eastwood...
Nicothrash
Dans la Ligne de Mire est un métrage assez daté de l’illustre Wolfgang Petersen qui avait visiblement plus de difficultés dans le genre policier/thriller que dans d’autres. Celui-ci n’est pas très nerveux et même assez bavard, puis la musique d’Ennio Morricone n’apporte pas grand chose. En revanche Clint Eastwood et son antagoniste John Malkovich sont comme toujours impeccable même si Clint est probablement trop classe pour incarner un agent paumé et au bord du gouffre. En attendant ce sont bien ces deux là, bien aidés par Rene Russo, qui nous offrent une scène finale digne de ce nom et assez sympathique comparé au reste du métrage. Restent heureusement deux ou trois punchlines dont M. Eastwood a le secret pour maintenir à flot ce métrage mineur de Petersen qui ne marque pas outre mesure.
Un thriller sans surprise mais efficace et prenant, qui repose avant tout sur le solide face à face Eastwood / Malkovitch.
Excellent thriller/film d'action, bien huilé, bien interprété, bien mené. un suspense haletant de bout en bout, donc les amateurs seront emballés comme je l'ai été en regardant ce film. Une réussite, d'autant plus que "Dans la ligne de mire" fait partie de ces films qui vieillissent très bien.
stallonefan62
Un bon thriller avec une histoire intéressante et pas mal de suspense !! Clint Eastwood performe tout comme John Malkovich toujours aussi charismatique en méchant !! Le film est un poil long cependant mais le final est réussi !!
Santu2b
En 1993, Wolfgang Petersen parvient à sortir Clint Eastwood de son exclusivisme cinématographique en le faisant tourner sous une autre direction. Il faut dire que "Dans la ligne de mire" avait de quoi susciter l'intérêt de l'auteur de "Impitoyable". Le film met en effet en scène un agent en fin de carrière aux prises avec un terroriste projetant d'assassiner le président des États-Unis. On retrouve Clint Estwood dans la peau d'un protagoniste sur le déclin, légèrement macho sur les bords, rappelant les meilleures années de l'inspecteur Harry. Sans véritable surprise, le film orchestre néanmoins un face à face solide, dans lequel Eastwood trouve un répondant glaçant en la personne de John Malkovitch. Petersen sait incontestablement procurer le minimum de tension au spectateur et signe un bon film, efficace.
Bien que réalisé par l’allemand Wolfgang Petersen, Dans la ligne de mire est un film purement américain. Il mélange le pur divertissement avec un des grands traumatismes qu’a vécus la bannière étoilée au XXème siècle : l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy. Clint Eastwood y joue ainsi un garde du corps n’ayant pas réagi à temps le 22 novembre 1963 et allant pouvoir exorciser ses démons en devant affronter un autre homme désirant tuer le Président actuel des États-Unis.
Glissant plusieurs références aux différents assassinats ou tentatives d’assassinats qu’a connus le pays, Wolfgang Petersen signe un polar rondement mené semblant avoir été taillé spécialement pour le comédien qui venait enfin d’être enfin reconnu à sa juste valeur grâce à Impitoyable. Comme toujours avec les films où il n’est "qu’interprète", Eastwood arrive en effet à imposer sa marque même s’il n’est pas crédité à la réalisation. Wolfgang Petersen s’est parfaitement intégré à l’univers du comédien et offre une réalisation simple spoiler: (on notera juste, comme effet de mise en scène, l’excellente idée du zoom laissant apparaitre progressivement la transformation physique de Leary)
mais élégante et diablement efficace.
Celle-ci laisse la priorité au jeu des comédiens. Elle permet ainsi à Eastwood de montre spoiler: r, au travers d’une scène où il expose ses ressentiments à sa collègue dans la chambre d’hôtel,
qu’il pouvait être un interprète sensible (n’oublions pas qu’il n’avait pas encore tourné Sur la route de Madison et qu’il possédait encore, malgré toutes les subtilités qu’il avait pu montrer depuis des années, l’image d’un acteur de films d’action assez monolithique). Cependant, le grand Clint n’est pas la seule tête d’affiche puisqu’on y trouve également Rene Russo qui sortait du succès de L’Arme fatale 3 et qui interprète une agente permettant à Horrigan de dépasser ses premières réactions machistes involontaires (Eastwood jouant comme souvent à partir du milieu des années 80 un homme d’un autre temps qui est dépassé par son époque). Mais le véritable autre rôle marquant du film est celui incarné par John Malkovich. Ce dernier offre un antagoniste de choix à Eastwood et un duel au sommet qui permet au film de tenir son spectateur en haleine de bout en bout.
Si on ajoute à cela une musique toujours superbe d’Ennio Morricone (même si elle ne fait pas partie de ses plus marquantes), il va sans dire que Dans la ligne de mire est une très belle réussite, sortie après Impitoyable et quelques mois avant Un monde parfait, qui s’intégrait parfaitement dans ce sans-faute que constituait le début des années 90 dans la carrière de Clint Eastwood.
Glissant plusieurs références aux différents assassinats ou tentatives d’assassinats qu’a connus le pays, Wolfgang Petersen signe un polar rondement mené semblant avoir été taillé spécialement pour le comédien qui venait enfin d’être enfin reconnu à sa juste valeur grâce à Impitoyable. Comme toujours avec les films où il n’est "qu’interprète", Eastwood arrive en effet à imposer sa marque même s’il n’est pas crédité à la réalisation. Wolfgang Petersen s’est parfaitement intégré à l’univers du comédien et offre une réalisation simple spoiler: (on notera juste, comme effet de mise en scène, l’excellente idée du zoom laissant apparaitre progressivement la transformation physique de Leary)
mais élégante et diablement efficace.
Celle-ci laisse la priorité au jeu des comédiens. Elle permet ainsi à Eastwood de montre spoiler: r, au travers d’une scène où il expose ses ressentiments à sa collègue dans la chambre d’hôtel,
qu’il pouvait être un interprète sensible (n’oublions pas qu’il n’avait pas encore tourné Sur la route de Madison et qu’il possédait encore, malgré toutes les subtilités qu’il avait pu montrer depuis des années, l’image d’un acteur de films d’action assez monolithique). Cependant, le grand Clint n’est pas la seule tête d’affiche puisqu’on y trouve également Rene Russo qui sortait du succès de L’Arme fatale 3 et qui interprète une agente permettant à Horrigan de dépasser ses premières réactions machistes involontaires (Eastwood jouant comme souvent à partir du milieu des années 80 un homme d’un autre temps qui est dépassé par son époque). Mais le véritable autre rôle marquant du film est celui incarné par John Malkovich. Ce dernier offre un antagoniste de choix à Eastwood et un duel au sommet qui permet au film de tenir son spectateur en haleine de bout en bout.
Si on ajoute à cela une musique toujours superbe d’Ennio Morricone (même si elle ne fait pas partie de ses plus marquantes), il va sans dire que Dans la ligne de mire est une très belle réussite, sortie après Impitoyable et quelques mois avant Un monde parfait, qui s’intégrait parfaitement dans ce sans-faute que constituait le début des années 90 dans la carrière de Clint Eastwood.
Il y a quelques failles dans le scénario (ils auraient pu trouver ses empreintes sur le 1ier téléphone publique, non?) sinon ça reste un bon film action/thriller plutôt efficace grace à un Clint Eastwood attachant en vieil agent de la sécurité du président et sa relation amusante avec Rene Russo et un ignoble John Malkovich toujours parfait en méchant...
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