Mon compte
    Trois couleurs - Bleu
    Note moyenne
    3,6
    1335 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Trois couleurs - Bleu ?

    85 critiques spectateurs

    5
    18 critiques
    4
    27 critiques
    3
    15 critiques
    2
    14 critiques
    1
    7 critiques
    0
    4 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 octobre 2017
    J'ai vu ce film au cinoche à sa sortie en 93, j'avais 24 ans. J'avais adoré.
    Aujourd'hui, presque 25 ans après, je le revois et c'est pour moi le parfait nanar chic à la française.
    Amphigouri et ivresse de la vacuité et du trop plein.
    Une Binoche aussi bonne qu'une loche. Un Kieślowski aussi brillant qu'une vielle paire de ski (rien de neuf sous le soleil de Pologne).
    On sent bien que cette trilogie "Bleu","Blanc","Rouge" devait accompagner "intellectuellement" le traité de Maastricht.
    Il fallait un réalisateur polonais et un actrice française sans personnalité pour le faire.
    Un grand nanar de haute qualité franco-européenne!
    So chic et débile.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 avril 2017
    bleu est le meilleur de la trilogie et l'un des meilleur film français des années 90.On y découvre une juliette binoche au top de sa forme. une réflexion sur la résilience, le libre choix et la tragédie humaine,sans oublier le final magnifique
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 décembre 2016
    Le film suit le cheminement d'une femme après le décès de sa fille et de son époux compositeur. Le lien avec le mot "liberté" est peu évident. Heureusement, Juliette Binoche illumine le film.
    Acidus
    Acidus

    726 abonnés 3 714 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juin 2016
    Premier volet d'une trilogie thématique autour des couleurs du drapeau français et de sa devise "Liberté, Egalité, Fraternité". "Bleu" présente des qualités certaines notamment dans sa mise en scène. Visuellement, ce film offre de jolis cadrage et une photographie soignée avec évidemment une prédominance de la couleur bleue. C'est beau et cette beauté est appuyée par une magnifique bande-son. Toutefois, malgré ces points forts, le long métrage souffre d'un manque d'intensité émotionelle. C'est regrettable vu l'effort déployé.
    Ricco92
    Ricco92

    226 abonnés 2 151 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2016
    Krzysztof Kieślowski est un grand réalisateur : il suffit de regarder Trois couleurs : Bleu pour s’en convaincre. Il réussit, en effet, grâce à sa mise en scène pleine de subtilité (à l’exception des effets de fermeture et d’ouverture au noir interne à un plan renforcé par une musique grandiloquente qui sont peuvent paraitre un peu lourds), à accrocher le spectateur sur une histoire à priori très banale (le travail de deuil d’une femme ayant perdu son mari et sa fille et son retour progressif à la vie). Kieślowski enchaine les plans splendides renforcés par la magnifique photographie de Slawomir Idziak, qui arrive notamment à sublimer la couleur bleue du titre sans que cela paraisse factice. A cela s’ajoute l’interprétation toute en finesse de Juliette Binoche et la splendide musique de Zbigniew Preisner. Malgré un sujet qui pourrait sembler trop quotidien, ce premier volet de la trilogie de Kieślowski autour des valeurs de la devise de la République française (même si le thème de la Liberté n’est pas spécialement celui qui saute aux yeux) est ainsi une réelle preuve du grand cinéaste qu’était Krzysztof Kieślowski.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    132 abonnés 2 230 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 octobre 2015
    ENFIN VEUVE. Vivre ou survivre. Juliette Binoche est magnifique dans un rôle de femme blessée. Bleu, blanc, rouge, liberté, égalité, fraternité, la trilogie "festive" de Kieslowski avec une belle porté musicale de Preisner.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 septembre 2015
    Trois couleurs : bleu est un film magnifique. Krzysztof Kiesloski y illustre une des trois valeurs républicaine, la liberté, à travers un personnage, Julie, qui perd son mari et sa fille dans un accident de voiture. Après avoir fui la vie et être devenue l'ombre d'elle même, Julie prend conscience que la vie -sa liberté- continue. Doit-elle s'en accommoder ? Trois couleurs : bleu est un film à la fois teinté d'un grand pessimisme et porteur d'un optimisme sans faille, puisque Julie, bien que confrontée à un terrible traumatisme, prend à nouveau sa vie en main. Elle découvre ça et là, des traces du passé (une sucette, un homme à la flûte, l'amante de son mari, le ventre rond de celle-ci), et s'y ouvre progressivement. Sur un plan esthétique, le film est superbement cadré et réalisé. L'interprétation de Juliette Binoche est impeccable, comme souvent. Trois couleurs : bleu est un film a voir absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 décembre 2015
    Un drame anti-raciste-sexiste pas touchant et plein de maladresse. Julie est si énervante que par moment on a peine à ne pas péter un câble. En un mot: navrant!
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    270 abonnés 1 643 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 décembre 2013
    C'est le premier film de la trilogie des Trois Couleurs de Krzysztof Kieslowski - Bleu, Blanc, Rouge -, libre variation sur les thèmes de la liberté, de l'égalité, de la fraternité. Une trilogie qui fait écho à la devise républicaine, mais dont la portée est universelle. Connu et reconnu pour son Décalogue et La Double Vie de Véronique (sublime), Kieslowski tournait pour la première fois hors de son pays, la Pologne, tout en restant fidèle à ses collaborateurs : Kryzsztof Piesiewicz au scénario, Zbigniew Preisner à la musique, Slawomir Idziak à la photo... Deux rencontres ont présidé à la destinée de ce film, celle du producteur Marin Karmitz et celle de Juliette Binoche. L'actrice aurait déjà pu être de l'aventure de La Double Vie de Véronique si elle n'avait pas été retenue par le tournage des Amants du pont Neuf (c'est Irène Jacob qui a finalement interprété le rôle principal). Pour Bleu, Binoche n'a pas laissé passer sa chance une seconde fois, préférant dire non à Spielberg qui lui proposait, à cette époque, un rôle dans Jurassic Park. Bon choix...
    Avec cette histoire qui trace l'itinéraire d'une renaissance, Kieslowski signe l'un des plus beaux films sur le deuil, d'une grâce douloureuse, et une magnifique réflexion sur la mémoire et la liberté. Philosophe, moraliste, poète symboliste, le réalisateur polonais procède par petites scènes, par petites touches, parfois mystérieuses, joliment agencées grâce à un montage tout en ruptures de rythme et ponctuées d'éclats de musique (superbes), qui semblent jaillir du plus profond de l'âme du personnage principal. Ce personnage, Julie, passe de la négation farouche du passé à sa transcendance, du repli à l'ouverture. Pas de liberté sans mémoire (à l'image de la mère de Julie, atteinte de la maladie d'Alzheimer, qui reste cloîtrée dans son institution, comme prisonnière d'elle-même). Pas de liberté personnelle sans l'acceptation et la compréhension de la liberté des autres.
    Kieslowski a toujours aimé broder sur les notions de liberté, de conscience, de morale, mais aussi sur les hasards et les coïncidences de la vie, via quelques thèmes obsessionnels, comme celui des gens qui, en différents endroits du monde, pensent ou font les mêmes choses. Ici, un musicien de rue a inventé le même air musical que le compositeur défunt ; par ailleurs, la scène insolite avec la vieille dame qui tente difficilement de déposer une bouteille de verre dans un conteneur fait écho à une autre, semblable, dans La Double Vie de Véronique. Des vies se répondent, des destinées se croisent, particulièrement dans cette trilogie dont Bleu pose les prémices, avec l'apparition furtive dans un tribunal des personnages centraux de Blanc, interprétés par Julie Delpy et Zbigniew Zamachowski.
    Bleu, c'est aussi une expérience esthétique, avec ses filtres de couleur (les scènes de piscine), ses jeux sur le net et le flou, ses lumières et ses ombres, ses gros plans troublants (l'oeil de Julie, au début du film). Beaucoup de plans rapprochés sur Julie disent son rejet du monde extérieur. En revanche, la multiplication des éléments de couleur bleue, même si elle est cohérente avec le titre, apparaît plus gratuite et artificielle. Mais ce n'est qu'un bémol.
    Bleu, c'est enfin l'un des plus beaux rôles de Juliette Binoche au cinéma, intense, subtile, émouvante, dans un film qui brille par sa concision, son intelligence et sa sensibilité.
    Hotinhere
    Hotinhere

    560 abonnés 4 972 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 août 2024
    Un drame profond et saisissant qui nous plonge dans les méandres de la reconstruction d’une femme endeuillée comme jamais, porté par l’interprétation bouleversante de Juliette Binoche, et accompagné par la BO sublime de Zbigniew Preisner. 4,25
    cocheteaufab
    cocheteaufab

    2 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 novembre 2013
    Histoire humaine à laquelle il m'a été difficile d'accrocher malgré le réalisme des personnages.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 septembre 2013
    Magnifique film , qui dépeint le désir d'une femme d'atteindre la liberté .
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 août 2013
    Je viens de le voir en Dvd à l'instant,c'est un bon film.
    Julien D
    Julien D

    1 204 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 août 2013
    C’est dans son art de donner à son identité chromatique un sens dramaturgique tangible que l’on reconnait la qualité travail esthétique effectué par Krzysztof Kieslowski dans cette "trilogie des trois couleurs". Celle-ci commence ici par le Bleu qui se révèle être une tragédie particulièrement prenante qui réussit à prendre pour point de départ le sujet du deuil pour l'entrainer vers une belle interrogation sur le rapport aux autres de la manière la plus globale possible et une morale pleine d'espoir. Au cœur de ce drame psychologique poignant, Juliette Binoche est tout simplement éblouissante dans son rôle de jeune veuve qui cherche à se reconstruire pour se libérer de ses douloureux souvenirs. Cette douleur émotionnelle est sublimée par la mise en scène millimétrée portée par la splendide partition de Zbigniew Preisner, ce qui donne à cette étonnante œuvre sur l'amour et la vie une intensité dramatique troublante, ainsi qu’un surprenant charme sensuel.
    bsalvert
    bsalvert

    412 abonnés 3 582 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 janvier 2013
    Le premier et le plus réussi de la trilogie, Juliette Binoche excelle dans son jeu.
    PLV : la premier de la trologie
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top