Derniers Avis : Sliver - Page 2

Un film qui surfe sur l'image sulfureuse de Sharon Stone dans Basic Instinct et son nouveau statut de bombe erotique. Mais ici le film fonctionne beaucoup moins bien par manque de rythme, de construction de l'intrigue et aussi par la faiblesse de l'acteur principal, William Baldwin, beaucoup trop lisse et ne pouvant pas rivaliser avec Sharon Stone en terme de charisme et de crédibilité. Le film, à l'époque, s'appuie sur les débuts et l'expansion de la vidéo surveillance et du débat autour du respect de la vie privée. On a aussi le thème de la manipulation psychologique et surtout du voyeurisme qui a certainement du en déranger certains, dénigrer le film, à voir les notes et commentaires, comme l'avait été De Palma. Un suspense et une tension cependant présents tout au long du film avec une excellente et sublime Sharon Stone, qui ajoute à sa palette une facette plus fragile, de victime, presque une héroïne hitchkockienne, pour un film globalement moyen mais pas catastrophique non plus.

Le film ne fonctionne pas quelque soit le niveau auquel on le regarde. Comme énigme policière c'est sans intérêt, pensez-donc : juste deux suspects et aucune tension, comme film érotique, Noyce passe à côté de son sujet et se ridiculise en nous montrant Stone faisant l'amour en conservant son soutif, même s'il faut bien admettre que la scène du restaurant (où on ne voit rien) vaut son pesant de testostérone. A moins que le film soit une réflexion sur le voyeurisme, si c'est ça, la lourdeur du propos fait pitié. Sinon la réalisation est correcte et Stone est superbement photographiée, on se console comme on peut.

Sliver est un film à la mauvaise réputation, et je le dis de suite, c’est mérité. Le film commence plutôt bien. On se dit qu’on va assister à un thriller en huis-clos assez plaisant, teinté d’un petit soupçon d’érotisme, mais en fait, on assiste à du grand n’importe quoi high-tech, et c’est frustrant. Le casting est sympa, mais insuffisant. Berenger donne l’impression cruelle d’être totalement sous-exploité, Sharon Stone est belle mais elle est invitée à nous resservir un rôle sulfureux après Basic Instinct et elle souffre de la comparaison, tandis que William Baldwin traîne sa silhouette déguingandé en essayant de fausser les pistes. Il reste un acteur assez moyen ici, jouant essentiellement de sa silhouette bellâtre. Franchement, déçu par les personnages (il y a pas du tout le ressenti communautaire d’un immeuble de cette trempe), et les acteurs ne sont pas à l’aise.
Le scénario est médiocre. Après un départ solide, on s’enlise comme je l’ai dit dans un mélange de thriller high-tech et d’érotisme soft, pour un résultat qui se veut sulfureux mais qui est surtout terriblement paresseux. Le rythme est mou, les rebondissements téléphonés ou ridicule, et j’ai trouvé la fin vraiment loupée. Ce n’est pas prenant, on se fiche rapidement des protagonistes, c’est ni érotique ni sulfureux, et en plus ça a pris un gros coup de vieux kitsch. C’est terrible car le début prometté, mais à l’instar de Meurtre à la Maison-Blanche que j’ai vu récemment, j’ai le sentiment que le film a pris des orientations scénaristiques foireuses.
Visuellement c’est du thriller assez raffiné, mais sans saveur. Malgré des décors corrects, une photographie élégante et une mise en scène pas déplorable (Noyce reste un faiseur honorable), Sliver n’arrive pas à se démarquer. Son érotisme est sans saveur, ses images ne touchent nullement, même l’ouverture du film m’a paru être un gros ratage. Je ne suis pas rentré dans cet univers qui se veut feutrer, tellement feutré qu’il est hermétique, neutre, distant. C’est terrible à dire mais je suis resté de marbre devant l’érotisme du film par exemple, alors que ça aurait dû être un de ses arguments.
Ma conclusion sera malheureusement sans appel : Sliver est bidon. Voilà, malgré ses acteurs, malgré son budget, il ne tient pas la route. Le film pêche par excès sûrement, problème assez récurrent du scénariste, qui après avoir signé l’histoire de Basic Instinct s’est souvent fourvoyé. 1.

Adaptation du roman de Ira Levin,les noms des persos sont différents ainsi que certains rebondissements ou traits de caractères de quelques protagonistes. On ne sait pas ce que la vie nous réserve quand on s'installe dans un nouvel appartement,c'est ce que Sharon Stone va apprendre à ses dépens tout en enquêtant sur "l'immeuble maudit"et en faisant face à un triangle amoureux qui l'emmènera dans le voyeurisme involontairement et la curiosité,car tout le monde a ses petits secrets,ce qui mène ce film vers une moralité parfois ambigüe. Doit-on se prendre pour Dieu ?Doit-on se mêler des affaires des autres ?Ne devrait-on pas vivre sa vie plutôt que de la mener par procuration en observant et en s'occupant des autres constamment? Une mention spéciale pour les musiques de Massive Attack et Enigma. Une fin un peu expédié rapidement,mais un suspense sulfureux et sensuel par le sujet du voyeurisme.

Déçu par ce film qui se présentait dans la lignée de Basic Instinct. Pourtant, à aucun moment du filmer, on y retrouve le suspense et l'érotisme de celui-ci.
L'idée de départ était plutôt bonne (réutilisation de l'idée de l'immeuble "maudit", appartements sous surveillance). Le voyeurisme aurait pu mettre plus mal à l'aise (dans un style similaire, Photo Obsession et Final Cut m'ont bien plus plu). Même s'il est question de meurtre et de manipulation, tout se déroule trop doucement vers un final bâclé.
Gros casting, Sharon Stone est convaincante mais William Baldwin est trop gendre idéal.
La réalisation est moyenne, Calme blanc m'avait semblé mieux mené.
Film que je ne recommande pas. À l'heure où l'on fait des remakes à la pelle, ce film pour être l'occasion d'améliorer une bonne idée de départ.

c'est un bon thriller bien ficelé et basé sur une bonne idée. L'histoire se passe dans un immeuble à New - York. Sharon Stone est magnifiquement belle et le réalisateur en passe du temps à la filmer de près, on la voit dans tous les sens à sa poser pleins de questions. Après il y a une belle surprise, un bon suspens.

Cataloguée au début des années 90 comme la nouvelle sex-symbol de la planète cinéma, Sharon Stone se voit proposer le premier rôle dans un bien médiocre ersatz de « Basic Instinct », une sorte de thriller aux relents érotiques sur le voyeurisme qui ne vaut pas tripette.

Sliver est un thriller sans grand intérêt à peine érotique qui tente de surfer sur le charme de Sharon Stone.

Tentative un peu grossière de surfer sur le succès de Basic Instinct, le film s'emploie hélas à décliner la recette sans trop se fouler, misant tout sur le charme glacé de Sharon Stone et quelques séquences chaudes pour maintenir l'intérêt. Les personnages secondaires sont malheureusement au bord du ridicule et le scénario manque fortement d'originalité et de surprise. On reconnaîtra à Philip Noyce un certain métier, et l'agréable plastique de Sharon Stone comblera l’œil du spectateur voyeur. Il n'y a hélas pas grand-chose d'autre à retenir.

Un bon petit thriller , érotico -policier , comme cela était la mode dans les années 90 . Bien sûr Sharon Stone en actrice principale, qui irradie la pelliculle de sa belle plastique. Elle habite dans un nouvel immeuble High Tech , où il se passe de drôles de choses , dont des meurtres mystérieux. L'enquête s'active et il faudra vite découvrir quel est le voisin pernicieux et assassin. Tout cela est bien joué , accompagné d'un bon suspens, une sorte de huit clos high- tech érotisant.

Film avec des images malsaines, beaucoup de voyeurisme et de sexe. L' histoire est prenante et Miss Stone toujours aussi canon

Juste après le fameux Basic Instint, on nous sert une nouvelle fois du Sharon Stone dans un thriller érotique. Sauf que là, la greffe a du mal a prendre. Le film est ennuyeux la plupart du temps et l'on a du mal a etre captivé par ses personnages ennuyeux.

Malgré la présence de Sharon Stone, actrice magistrale, ce thriller se veut assez banal. Le scénario n'est pas très intéressant, plutôt linéaire, on s'ennuie bien. Deux étoiles pour et seulement pour Sharon Stone.

OMG ! Il y a un "Power glove" dans le film ! Sharon était encore jeune et belle dans ce thriller voyeuriste gentillet. Sans elle et les quelques scènes érotiques, le film perd la majeure partie de son auditoire. J'ai pourtant bien aimé le rôle de Tom Berenger qui comporte quelques aspects comiques, grâce à sa doublure française. Au début, on se pose la question de savoir qui est l'assassin du début. On a un avis, grâce au sweat, mais l'affaire s'étouffe un peu pour laisser place à la romance et on se désintéresse trop vite de savoir qui est l'assassin. J'ai vu le film plusieurs fois, toujours à plusieurs années d'intervalles et j'oublie toujours qui c'est ^^'. Cela démontre bien que la recherche du suspect est trop délaissée au profit de l'ennui et de la romance un peu rapide entre Carly et Zeke. (Vous remarquerez la voix française de Tom Hanks, au passage :))

Un film pervers peper qui traite de la video et du voyeurisme prétexte à dénuder encore une fois la très jolie (à l'époque) Sharon Stone, le Baldwin de régférence est mauvais comme c'est pas permis, Tom Béranger cachetonne. Le film ne vaut que pour les scènes érotiques avec Sharon.