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alouet29
76 abonnés
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3,0
Publiée le 23 juillet 2018
Prestation tout à fait honorable de Pierce Brosnan dans ce film d'aventure - espionnage tout à fait convaincant : action, effets spéciaux, tirs à gogo, ... bref un "James Bond" tout à fait correct !
Le film décoiffe d'un bout à l'autre, on retrouve l'esprit "James Bond" absent du précédent opus, et un Pierce Brosnan qui a trouvé ses marques. Sans compter les sublimes gadgets enfin dignes d'un James Bond et des James Bond Girls sublissimes.
Comme au bon vieux temps du Spectre, James doit empêcher deux grandes nations de déclencher la 3ème Guerre Mondiale. Les médias, facteurs novateurs des années 90, s'intègrent parfaitement et donne une nouvelle jeunesse au scénario emprunté à mainte reprise dans les précédentes missions de l'agent secret.
Critique de "Demain ne meurt jamais". Deuxième James Bond de l'ère Pierce Brosnan, Demain ne meurt jamais est tout aussi bon que Goldeneye. La différence principale se situe dans la structure du scénario, mais ici il est peu développé on est face à une thématique récurrente dans la saga ce donne une impression de déjà vu. Une fois de plus les bons ingrédients sont là pour faire un bon James Bond. Ça reste très divertissant. 3,5/5
Un Bond dernière génération de bonne facture, fondé sur un scénario intelligent et des scènes d'action efficaces. Le cahier des charges (gadgets, jolies filles, humour, voiture, poursuites) est parfaitement respecté, peut-être même un peu trop aurait-on tendance à dire... Le méchant interprété avec brio par Jonathan Pryce, sadique et mégalo, prend place parmi les plus grands de la saga. Pierce Brosnan, toujours très class, est impeccable. On relève toutefois quelques tics de films d'action qui se révèlent assez énervants (les méchants qui vident dix chargeurs sans toucher une seule fois le héros, ou le compte à rebours d'une minute qui en dure cinq).
Demain ne meurt jamais s'impose assurément comme l'un des films de la saga esthétiquement les mieux soignés. La spectaculaire scène de pré générique remplissant à elle seule le minimum syndical d'un film d'action complet. La photographie, froide, métallique mais également explosive atteint son apogée dans la scène finale. Si avec ses scènes prises indépendamment les unes des autres, le 18ème Bond possède tout du cinéma populaire à grand spectacle, il souffre néanmoins d'une ambiance nostalgique des anciens 007...
Demain Ne Meurt Jamais est un film sympathique, qui commence à cent à l’heure et se termine sur les chapeaux de roue. L’intrigue n’est pas assez profonde et trop spectaculaire pour rester durablement dans les esprits mais la jolie musique d’intro et les scènes d’actions réussies font oublier cet inconvénient.
Second film avec Mr Brosnan et toujours aussi bon! Ce role de James Bond lui va a ravir! Bref cette histoire du complot d'un mania de l'infos pour gourverner le monde en créant une guerre entre la chine et la grande bretagne est génial ainsi que la collaboration des agent chinois avec james! Bref du bon et du vrai james bond!
"Goldeneye" marquait l'arrivée d'un Bond nouveau (Pierce Brosnan), "Demain ne meurt jamais" lui permet de s'imposer définitivement comme l'une des figures marquantes de la saga. Le 18ème épisode de la série est aussi celui qui fait rentrer Bond dans le XXIème siècle. La guerre froide est finie et les méchants sont maintenant ceux qui usent des nouvelles technologies à leur profit. Elliot Carver (Jonathan Pryce que l'on attendait pas franchement dans un rôle tel que celui-ci et qui pourtant fait admirablement bien transparaître la mégalomanie du personnage), magnat des médias mondiaux, tente de déclencher un conflit planétaire pour contrôler l'ensemble des communications mondiales. Bien sûr, le célèbre agent secret de sa Majesté va se mettre en travers de sa route. Brosnan est plus que jamais à l'aise dans le rôle de Bond, Michelle Yeoh est l'une des James Bond girl les plus marquantes de la saga (c'est en tout cas la première qui tatanne aussi sévère) et la réalisation qui promène notre héros de Hambourg à Saïgon à franchement de la gueule. Classique mais classe. Pour le reste, c'est la recette habituelle qui fonctionne toujours aussi bien : des gagdets improbables, des hommes de mains toujours aussi massifs et des scènes d'action explosives. La musique, quand à elle, est assurée par David Arnold qui réussit à s'extraire de l'ombre du géant John Barry. Du générique à la baston finale, ce Bond là a franchement de la gueule.
Ce 18ème épisode remplit parfaitement son contrat. Le cahier des charges de la série est déroulé d'une manière très efficace : course-poursuites, gadgets, rebondissements, bagarres s'enchaînent de manière spectaculaire. Le scénario est assez basique et n'apporte aucune touche nouvelle à la série. Quant aux «méchants», ils sont un peu trop stéréotypés. Malgré cela, la recette fonctionne grâce à un rythme effréné mais fluide dans la mesure ou ces séquences d'action ne font pas perdre le fil. Pierce Brosman a désormais pris ses marques et impose définitivement son style en apportant sa part au personnage de James Bond. A noté aussi Michelle Yeoh, second rôle de qualité en équipière de l'agent OO7. Un très bon divertissement.
Celui ci est le moins bien, de mes vues sur ce film. Je n'ai rien à dire sur Pierce Brosnan, qui bouge tout le temps, mais je n'ai pas aimé l'histoire qui est guère motivante. Je n'ai pas trop aimé le role de Teri Hatcher, en plus de sa présence, dans le film. Les cascades, je n'ai rien à dire, mais il manque des effets spéciaux, à mon gout. Je suis déçu de son résultat.
Un bon « James Bond » dans la lignée des films d’action/espionnage de l’époque : le bel et fort agent 007 dois sauver le monde encore une fois. De bonnes scènes d’action à l’ancienne, des gadgets, une belle voiture et de belles jeunes femmes pour un divertissement très correct. Malgré un scénario téléphoné, on ne s’ennuie pas ou peu. Pierce Brosnan ne vaut pas Sean Connery mais tire son épingle du jeu dans cet opus. A absolument voir au moins une fois.
C'est à Roger Spottiswoode qu'incombe la tâche de respecter le nouveau cahier des charges de la saga dicté par Martin Campbell dans l'épisode précédent, il le fait avec efficacité et un vrai sens du rythme, un excellent épisode.
Cette suite tout aussi explosive que "GoldenEye" a aussi le mérite d'avoir un vilain particulièrement réussi : un magnat des médias mégalomane, véritable prophète de malheurs qui manipule les évènements pour avoir le scoop des gros titres. Un antagoniste finalement très crédible. C'est ça aussi, la force de "Tomorrow Never Dies", d'être toujours d'actualité.