Parodie des films d'action des années 80-90, John McTiernan nous livre un film pleins d'humours et de fantaisies, avec une pléiade de seconds rôles furtifs et d'anecdotes. Une réussite avec un schwarzy au top de sa forme.
une véritable bombe bourré d'action et d'humour comme on l'aime avec schwarzi,et de plus le scénario est bon.que demander de plus?Un film a voir absolument.
Grand film. Dans la même optique que Le Labyrinthe de Pan (et d'autre) dans la célébration de l'imaginaire face à la dureté du monde réel, mais dans une autre catégorie, Last Action Hero réunit le meilleur scénariste des années 80-90 Shane Black, qui livre un scénar' béton, et le dernier grand maître des films d'action old-school John McTiernan. Réflexion sur le cinéma en général (et d'action en particulier), hommage à ses héros (maintenant descendu par les médias), références à ses grands chefs d'oeuvre (L'ARME FATALE, TERMINATOR...), humour tantôt absurde tantôt subtil, exploration des codes de ce cinéma, bourrinage et scènes d'action décomplexées, mise en scène parfaite, Arnold a beau être décrié, il est d'une remarquable intelligence dans la dérision... Bref, grand moment
J'ai vraiment énormément d'affection pour ce film. Rien que le concept d'Arnold Schwarzenegger qui joue Arnold Schwarzenegger est un concept génial. La mise en scène est rythmée et on ressent la patte de John McTiernan. Quoi de mieux qu'un spécialiste pour parodier sa spécialité. Le film réussit à faire du second degré excellemment référencé et reprenant les poncifs des films d'action des années 80. Je ne m'en lasse pas.
Arnold Schwarzenegger qui parodie Arnold Schwarzenegger, rien que pour l'idée le film mérite d'être vue. Plus largement John McTiernan caricature les blockbusters et autres films d'actions à l'américaine et cela est plutôt bien réussie, d'ailleurs les cinéphiles vont apprécier les multiples références au cinéma (américain). Certes on na pas affaire à un chef-d'œuvre mais dans l'ensemble je trouve le film bien façonner, et je conseille ce film juste pour sa propre culture. 3,5/5
Un Schwarzenegger en pleine ironie de lui-même avec une bonne réal de John McTiernan et surtout un méchant bien inquiétant puis le capitaine de Slater est énorme avec ses braillements d'ours mal léché.Un plaisir de voir et revoir ce film.Il y a de tout,un pur régal.
J'aurai très certainement aimé ce film à l'époque de sa sortie, mais regarder ce film aujourd'hui c'est vraiment une perte de temps. Il y a les ingrédients typiques de films d'action des années 80, mais personnellement je n'accroche plus, et le gamin du film est vraiment agaçant, en plus de mal jouer la comédie. Le seul intérêt du film c'est Arnold Schwarzenegger (du moins si on est fan du monsieur).
Une parodie hilarante à la fois des invraisemblances ou surenchères des classiques d'action mais aussi des clichés véhiculés par les films de gangsters tout en multipliant avec habileté les références cinéphiles voire aux carrières des acteurs impliqués, tous convaincants et amusés par leur partition. Même si l'émotion n'affleure guère la satire fonctionne d'autant mieux qu'elle ne renie pas l'impact enfantin des héros insubmersibles ni la force d'enchantement du grand écran. Savoureux!
Classique du cinéma d'action des années 90, Last Action Hero est un film culte pour nombres d'enfants qui se sont reconnus dans le jeune Danny Manigan. Le scénario ingénieux permet en effet au jeune enfant de se retrouver au milieu du film avec le héros qu'il idolâtre. Pour l'adulte, cela permet de voir un bel hommage aux Buddy Movie avec des références en pagaille aux action movie. Ajouté à cela la présence de Arnold Schwarzenegger en personnage principal, figure incontournable du genre, et surtout de John McTierman à la réalisation, le père de Die Hard ou Predator, on sait alors que l'on est pas face à une vulgaire parodie. Le film se veut à la fois un vrai film d'action mais bourré d'humour et permet aux enfants et aux adultes d'apprécier différemment le film. Et si Last Action Hero était finalement le meilleur film du genre ?
Il y a 30 ans (la vache !), et 5 ans après le mythique « Die Hard », Mc Tiernan sortait cet immense pastiche de Blockbuster, jouant ironiquement de l’image eighties de Schwarzy, et finalement proposait une version alternative, sous stéroïdes, pop et pyrotechnique, du chef d’œuvre de Woody Allen « La Rose pourpre du Caire ». Les références ciné tombent dans une averse continue, Arnold s’autoparodie gaiement sous le soleil de L.A. comme dans la nuit new-yorkaise, les vannes et clins d’œil (certes d’un niveau fluctuant) s’accumulent mais partout transpire l’amour du Cinéma (et même une petite critique de son industrie). Un divertissement XXL, un marqueur d’une époque plus malin qu’il n’y parait et qui a pas trop mal vieilli bien (comme les riffs d’AC DC sur la B.O).