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weihnachtsmann
1 185 abonnés
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3,0
Publiée le 28 décembre 2022
Un film d'espionnage et d'enlèvement que l'on suit avec intérêt. Le récit se développe autour de la recherche de l'enfant. Même si l'on ne comprend pas le rôle de chaque personnage dans le complot, le héros est excellent et nous entraîne dans ses pérégrinations. La fin est musclée et en même temps tendre. Il est intéressant de voir les anciens quartiers de Bercy avec ses chais.
Ma septième incursion dans la filmographie de Don Siegel et probablement l'un de ses films les moins personnels, l'un de ses moins connus mais qui demeure très satisfaisant. Un long métrage à mi-chemin entre le polar classique et le thriller d'espionnage qui vaut surtout le coup d'oeil pour un Michael Caine impeccable en espion sombre, taiseux et dur, très proche d'un James Bond, le côté glamour en moins sans négliger un Donald Pleasence trouble et ambigu à souhait. Un ensemble qui a pris un sérieux coup de vieux mais reste intéressant à voir surtout dans sa seconde partie. Plaisant, sans grandes prétentions.
j'aime bien Don Siegel faiseur de bonnes série b mais cette fois ci, je suis resté un peu sur ma faim en raison du caractère très classique de l'histoire ( une course à la montre pour retrouver un fils pris en otage par des terroristes) le film est dénué de tout sentimentalisme ( Même le père incarné par l'impassible michael caine s'interdit tout sentiment car c'est en analysant froidement la situation qu'il arrive à des résultats) et Donald Plesance avec sa tête de bureaucrate joue tout en ambiguité un personnage ou l'intérêt de l'état prime sur la vie de l'enfant ce qui donne un film nerveux concis et assez cruel comme on peut l'être dans le monde de l'espionnage mais avec un scénario trop simple pour pouvoir être vraiment captivant
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3,0
Publiée le 6 octobre 2018
Ne kidnappez pas le fils de Michael Caine pour extorquer de l'argent sinon vous pourriez en dècoudre avec ce membre du comitè secret du MI.5 [...] Caine obtint son premier grand succès en incarnant l'agent secret Harry Palmer dans "The Ipcress File". Point de Palmer ici, Caine interprètant le Major John Tarrant, responsable du contre-espionnage britannique dont le fils a ètè enlevè! Pourtant ce personnage rappelle par bien des aspects celui crèè par Len Deighton! La classique histoire du papa à la recherche de son fils qui dècide de traquer lui-même les ravisseurs mais traitè dans un style efficace avec le talent d'un certain Don Siegel! Caine se prèpare tout de même à une mission dèlicate englobant le danger et la mort dans un film d'espionnage au bon sens du terme : la France et l'Angleterre sont au service d'une intrigue bien menèe que n'auraient dèsavouè ni Sidney J. Furie ni Guy Hamilton! spoiler: La scène finale au moulin de Hassocks èclate au terme d'une belle sèquence entre un père et son fils...
Don Siegel nous livre un film d'espionnage d'une lenteur incroyable.... c'est long mais c'est loooonnng.... et Michael Caine n'est pas bon dans ce film dont les dialogues, le scénario et les incohérences multiples en font un navet. La distribution n'est pas mauvaise et sauve un peu cette histoire abracadabranlante mais c'est peu. Juste envie de poser une question, pourquoi ?
Thriller anglais qui se déroule dans le milieu des services secrets. Une taupe dans le servive fait kidnapper le fils d'un de ses agents, en échange d'une poignée de diamants, acquis par l'Etat britannique. Les hauts responsables décident de ne pas céder au chantage. Alors, l'agent en question décide de voler lui-même les diamants afin de les donner aux bandits pour libérer son fils. Scénario classique du film d'action. Michael Caine, héros solitaire, est à l'aise, le récit est bien mené, la réalisation n'est pas sans qualité (Siegel). Le scénario est parfois convenu (héors divorcé, enfant kidnappé) mais le film se suit sans ennui. Pur divertissement.
Appartenant à la dernière période de la riche carrière de Don Siegel, Contre une poignée de diamants s’affirme comme une série B musclée plutôt correcte et assez trépidante à suivre, même si l’on peut regretter un manque d’implication évident du cinéaste dans un projet qui sent fort l’alimentaire. Michael Caine écope d’un personnage qui ne lui convient pas vraiment et on sent que le cinéaste aurait préféré avoir un acteur du style de Clint Eastwood, dont la présence à l’écran est immédiate. Ici, Michael Caine peine à incarner un espion qui cache ses émotions et devient une machine à dézinguer. L’intrigue est parfois nébuleuse et alambiquée pour pas grand-chose. Toutefois, l’ensemble se suit sans déplaisir et constitue un thriller agréable, quoique dispensable.
Delphine Seyrig en passionaria de l'IRA, ce n'est pas tous les jours. Michael Caine en espion dans tous ses états, c'est déjà plus commun, mais il le fait si bien. Un thriller assez basique de Siegel, bourré d'invraisemblances, acquitté pour cause de sentiment bienveillant du dimanche soir.
Sans être le meilleur ni le plus personnel des films de Don Siegel, « Contre une poignée de diamants » remplit exactement la mission qu'on lui demande : divertir. Carré, solide et efficace, le résultat, sans faire preuve d'une grande imagination ni inventivité, peut évidemment compter sur un réalisateur connaissant son métier sur le bout des doigts, un scénario tenant la route et relativement clair du début à la fin et des scènes d'action elles aussi faites avec beaucoup de professionnalisme, sans oublier la présence toujours salutaire de Michael Caine et Donald Pleasence. Pas de quoi marquer un cinéphile, mais pour passer une bonne soirée sans (trop) se prendre la tête, voilà un compromis tout à fait satisfaisant.
Le réalisateur a beau être bon, que voulez-vous qu'il fasse avec un scénario absurde (mais qui se prend au sérieux) accumulant les ellipses spoiler: (la mort de Delphine) , les déficits d'explications (spoiler: le camion qui explose au début ), les invraisemblances (spoiler: Caine, moribond qui courre comme un lapin ), et les facilités narratives ? En fait plus on avance dans le film plus ça devient mauvais et cela jusqu'au final insipide. Que reste-t-il ? Même pas Michael Caine en service minimum, juste un bon Donald Pleasance et une affriolante Delphine Seyrig, mais ça fait loin de faire le compte.
On peut être un peu déçu de la rencontre Siege/Caine, non pas que le film soit raté mais ce polar mâtiné d'espionnage s'avère un peu mou tout en s'autorisant quelques grosses facilités scénaristiques. SIegel a quand même suffisamment de métier pour rendre le tout présentable tandis que Caine est toujours aussi impérial.
Un film d'espionnage solide, qui ne tente pas inutilement d'égarer le spectateur, contrairement à beaucoup d'autres oeuvres du genre juste pour nous montrer que nous public on est trop bête. Parfois ça manque de nervosité et il y a quelques petites facilités mais ça se laisse regarder sans déplaisir du début jusqu'à la fin. D'autant que parfois en contraste avec quelques moments de cruauté, on a quelques traits d'humour bien placés. Au côté de l'excellent Donald Pleasence, Michael Caine pétille toujours d'un charisme insolent (tu m'étonnes que la Reine est fan de cet acteur!) et porte tout le long le film sur les épaules finger in the nose. C'est donc sans déplaisir et les doigts dans le nez qu'on regarde ce film du genre.
Film d'espionnage à découvrir car bien loin des James Bond. Scénario avec de nombreux rebondissements et pas mal de scènes d'actions. Michael Caine est le choix parfait pour le rôle. Réalisation bien ancré dans le genre espionnage.
Contre une poignée de diamants est un bon film de Don Siegel. La mise en scène du réalisateur est correcte, le scénario est intéressant et travaillé, les acteurs comme Michael Caine, Donald Pleasence ou encore Delphine Seyrig sont convaincants dans leurs rôles, le film est divertissant et je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. Bref, c’est à découvrir…
Un bon film d'espionnage à l'intrigue heureusement peu complexe (c'est pas toujours le cas dans ce type de film) d'ailleurs Contre une poignée de diamants fait plutôt songer à un polar. Don Siegel manie avec une belle nervosité ce film prenant et à l'ambiance agréablement seventies. La présence de Michael Caine et Donald Pleasance sont aussi très appréciables.