Le temps de marque l’âge de la pause du cinéma prodigué un vent frais sur l’actualité des discussions, la corrida patrimoine culturel espagnol, un élan social pour la réalisation après Zorro, on se retrouve dans ce pays où c’est un sport national d’applaudir le torero.
Il agite le drapeau rouge, provoque le taureau fou de colère, le public se réjouit, applaudisse le champion qui plantera l’épée sur cet animal, la mort comme divertissement sur ce sable sanglant, un spectacle pathétique attend le romantique Juan Gallardo.
Tel père tel fils dans ce synopsis pour lancer cette intrigue excellente, l’enfance, l’adolescence, la famille, la faim de réussir sans peur devant un train, à s’élever aussi loin pour s’attirer une popularité grandissante, gloire, fortune.
La sculpturale plante femme fatal, lui fait remonter la célébrité à la tête briseuse de couple ménagère sanctifiée, puis plus rien, c’est tout simplement magnifique ce classique guerrier, une culture de combat de taureau.
D’un seul homme force macho viril, animé par les traditionalistes ibériques d’Espagne, pays moyen décrit en 1947 d’aristocrates, et pauvres qui font la longue queue chez le boucher, la bête n’est pas seulement le toréador.
C’est la foule moderne et ancienne arène Colisée gladiateur, it’s blood and sand.........Spartacus Maximus général Romain trahi devenu esclave !!! Dites arènes sanglantes en français, des stars pour les fans sensations fortes.
Une mise en scène américaine pour parler histoire espagnole, après les films et séries TV de colonisation californienne, retour sur sa terre natale, ola lala olalala mouvement tous !..... recherchera d’autres nouvelles stars, du spectaculaire à faire crier, hurler, pleurer, du sérieux où l’on ne rit du grandiose cinématographique.