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    Le Lauréat
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    285 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 juin 2011
    Très fin, très drôle mais sans lourdeur, simplement un peu dommage que le personnage d'Elaine n'aie pas plus d'épaisseur. Une mise en scène moderne encore aujourd'hui, habile et très bien rythmée. Bravo aussi aux acteurs, et quelle révélation pour Dustin Hoffman ! C'est frapper très fort pour une première fois !
    Flying_Dutch
    Flying_Dutch

    69 abonnés 770 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2011
    Une romance originale et culottée, qui a surtout le mérite de révéler le (futur) grand Dustin Hoffman, qui est ici impeccable de naturel. Sans compter la superbe BO de Simon and Garfunkel.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 avril 2011
    Un classique! Un vrai bon moment de cinema, rien a redire la BO est parfaite, Dustin hoffman creve l'ecran. Bref, un film a voir au moins une fois dans sa vie.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 mars 2011
    Assez barré et très osé pour l'époque, The Graduate propulse Dustin Hoffman sur les devants du grand écran, amplement mérité au vu de sa splendide interprétation. Le scénario est donc assez incroyable et conserve quelque peu de suspense, la BO du film est très belle..., à voir!
    Parkko
    Parkko

    160 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mars 2011
    Attention, il y a des spoilers dans ma critique. Je vous déconseille de lire ma critique si vous n'avez pas vu le film.
    L'histoire est toute bête mais fonctionne car il n'est pas question de complaire le spectateur outre mesure. Pas de stéréotypes genre réconciliations etc etc. Ce n'est pas moralisateur et qu'est-ce que ça fait du bien. Les personnages ne sont pas là en quête de redemption etc etc. C'est vraiment appréciable. Et puis à souligner que Mike Nichols a vraiment beaucoup d'idées en terme de mise en scène. C'est réussi. Après l'œuvre ne m'a pas non plus transportée, mais le Lauréat reste vraiment un bon film.
    willyzacc
    willyzacc

    78 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mars 2014
    Excellent film, avec une mise en scène novatrice, des jeunes acteurs extra (Hoffman est énorme en jeune homme perdu), une course à l'amour comique et envoûtante, avec une B.O géniale. Bon film.
    Alasky
    Alasky

    350 abonnés 3 405 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mars 2011
    Encore une déception pour ma part. Ce film contient beaucoup de longueurs. Oui j'avoue, j'ai trouvé le temps extrêmement long.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 mars 2011
    Le Lauréat (1967), Mike Nichols

    JM VIDEO vous présente sa deuxième leçon sur les incontournables du cinéma. Après Ascenseur pour l\'échafaud et la Nouvelle Vague, nous nous attelons au Nouvel Hollywood (sorte de petit frère de la Nouvelle Vague) avec le film mythique de Mike Nichols : Le Lauréat. Si ce film est sorti en 1967 à une période qui voit le rayonnement du modèle américain, le cinéaste s'attarde sur un autre visage de l'Amérique : celui d'une jeunesse désœuvrée et coincée entre une société conventionnelle et de nouvelles aspirations.

    Benjamin Braddock (interprété par un Dustin Hoffman alors peu connu) est un jeune diplômé sclérosé et inexpérimenté qui va vivre un parcours initiatique le menant à une entrée fracassante dans le monde adulte grâce à deux femmes. La première est Mrs Robinson, femme mariée et névrosée, avec laquelle il entretient une aventure pendant quelques mois. La seconde est Elaine, fille de la première, dont Benjamin tombe amoureux malgré les interdictions de sa maîtresse possessive.


    Si Le lauréat peut être considéré comme un "feel good movie" (terme que Boris vient de m'apprendre) grâce à des acteurs frais, un humour toujours présent même dans les situations cocasses et un scénario fluide, il demeure aussi incontournable pour son esthétique moderne pour l'époque.

    Dans la première partie, qui est celle de l'étouffement et des apparences, le malaise est exprimé à travers des innovations visuelles et sonores. Les gros plans et la caméra mobile, parfois subjective, sont utilisés pour être au plus prêt des personnages. Le travail sur l'ambiance sonore et les morceaux inoubliables signés Simon & Garfunkel renforcent les états d'âme. Les accessoires et les décors révèlent les névroses tandis qu'un montage parfois circulaire illustre l'habitude et l'enfermement. La seconde partie , celle de l'émancipation et de la révélation, est quant à elle dominée par le mouvement, l'expressivité, l'ouverture et paradoxalement par une régression vers l'enfance.


    Comme nous l'avons vu hier, les films de rupture s'illustrent par une modernité esthétique mais aussi par une critique d'une société souvent ronflante. Le Lauréat ne déroge pas à la règle. Mike Nichols nous y montre une jeunesse qui suit la voie des aînés et une autre qui part à la dérive. Les parents sont autoritaires et plus généralement, les adultes sont interchangeables et vus comme intouchables. A cette société rigide s'oppose la liberté sexuelle, la prise du pouvoir par les femmes tandis que les institutions sont mises à mal et moquées.

    Outre le fait que vous passerez un excellent moment, n'hésitez pas à voir et à revoir ce film qui s'est illustré pour sa rupture avec les codes du cinéma classique américain. Nichols a préféré montrer un monde réaliste avec des anti-héros attachants, et parfois rocambolesques, dominés par la pensée, le doute et le besoin criant de vivre. Il ne propose pas de conclusion définitive au parcours des protagonistes, qui sera laissé au choix du spectateur, mais il s'est appliqué à montrer les motivations et les moyens qui les ont poussés à se rebeller. Et chez JM VIDEO, on aime les rebelles !



    Pauline Pécou pour JM VIDEO
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 février 2011
    Je m'attendais à un classique, accompagné d'une musique sympa bref le bon film assuré... or le film a très mal vieilli, certines scènes notamment la fin sont RIDICULES ! L'étoile c'est pour certaines scènes du début, quand notre laureat se laisse porter par la vague l'été, certaines scènes sont assez eshétiques. Mais bon on s'ennuie, on passe.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 février 2011
    Ah! Grand film évidemment et accompagné d'une BO d'entrée très bonne de Simon & Garfunkel 'Sound of silence', 'Mrs Robinson'. Mike Nichols nous a livré un grand film en réunissant des acteurs débutants mais au combien parfaits : Dustin Hoffman est magnifique en jeune garçon peu sûr de lui et apprenti dans la vie pourtant il avait 30ans lors du tournage et Anne Bancroft, 36 (séductrice très cruelle et manipulatrice). Le scénario est en fait une adaptation très bien retranscrite d'un roman de Charles Webb, de sorte que des citations restent dans les mémoires comme 'Mme Robinson, vous essayez de me séduire!' ou les premières fois à l'hôtel. Le film avait été critiqué à l'époque pour la soi-disant provocation de la rencontre entre une femme mûre et un jeune homme (‘Lolita’ avec une inversion des sexes) mais on s'aperçoit maintenant que les mentalités ont changé à tel point que 'Le lauréat (The Graduate)' est entré dans le top 10 des meilleurs films selon l'AFI. Alors je dirais qu'on est bouche bée pendant toute la première heure, après on remarque que Ben en pince plutôt pour la fille Robinson, Elaine, qui s'avère un peu perdue et décide de partir avec un autre, s'en suit une folle poursuite de l'amour et bien sûr contre le temps pour Ben Braddock. Un spectacle nourri, des acteurs très vrais notamment pour la famille Braddock, un réalisateur génial qui a d'ailleurs obtenu l'Oscar du meilleur metteur en scène de l'année 68, vrai tremplin international pour Hoffman c'est certain, des plans novateurs (scènes de la piscine en vue subjectives), une voiture mythique : Alfa Spider 1600 Duetto et bien d'autres points forts. Bref, un film devenu classique mais pas culte qui ravira les fans des années 60 et se détache des films psyché de cette période pourtant bien vus.
    buddy-holly
    buddy-holly

    120 abonnés 737 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2011
    Un chef-d'oeuvre cultissime de Mike Nichols,un classique du cinéma.Dustin Hoffman est génial dans l'un de ses premiers grands roles,Anne Bancroft est très bien en manipulatrice et Katarine Ross est génial.Un scénario excellent,une mise en scène parfaite et une BO culte et génialissime.
    bou77
    bou77

    130 abonnés 597 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2011
    Très bon jeu d'acteur, scénario plutôt simple, BO remarquable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 janvier 2011
    Par où commencer? Ptt par le fait que je me suis enfin inscrite sur allociné uniquement pr pouvoir poster cette critique. Ca va faire une quinzaine de jours que je suis tombé complètement par hasard vers 23h à la télé sur ce film dt j'ai ducoup manqué le début (plus qq scènes au milieu). Et ça va faire 15 jours que j'écoute mrs robinson et the sound of silence en circuit fermé. quand je dis par hasard c'est parce que j'ai moins de vingt ans et je ne regarde que des films de moins de vingt ans. Et dès le lendemain matin je me suis précipitée pour le revoir en entier et en vo (mm si la vf est bien). j'ai failli triplé.
    Et que dire d'abord du scenario? du classique cad du simple captivant universel bien qu'à la limite du crédible et du trop prévisible. c'est vrai qu'il y a un côté phèdre et pourtt dieu sait si au bac français le classicisme c'était rasoir. simple contrairement à closer qui n'en finit de rebondir de travers. et imprévisible end qui est bien plus qu'happy, au delà du niais.
    Et la rigueur de la mise en scène sublime encore cet histoire tt en chaud et froid, en vigueur et contemplation, lassitude curiosité et détermination. un film qui s'observe ss jms faire de sur place(incapable de vs dire combiende tps dure ce film), à ne pas détruire ac une coupure pub ou du popcorn.des plans qui se suivent mais n'en finissent pas de ns saisir ou de ns plonger encore plus profondément ds la scène. une tension de thriller qui monte inévitablement vers une quasi hystérie ds une comédie au-delà du romantique, relevée alégée décalée "sereinifié", "mélancolifié"d'une pointe d'humour tour à tour cynique innnocent contestataire cad faussement naif et presque un peu surréaliste("en bois ou en métal? parce qu'il y a les 2" ou petit bijou d'insolence " se laisser dériver ds la piscine" ou mm la scène ac le masque de plongée qui achève délicieusement de suggerer "les parents st cons" pré68).
    Un film qui s'écoute, bo digne de la leçon de piano et ce n'est pas peu dire, tt particulièrement ptt les deux scènes en voiture sur le pont et sur la route de l'eglise qui se font presque échos. c magnifique et prtt moi les voitures et les roads movies non merci.
    Last but not least les acteurs. et quand de dustin hoffman on ne connaissait que mes parents mon beau-père et moi on tombe de sa chaise. Toujours ds la ligne classique le duo sobriété intensité, ss fioritures ni timidité(svt le gros pbm du romantique) mm qd il joue la timidité! extraordinaire transformation de minute en minute, extraordinaire sensibilité à chaque seconde, quelque soit le registre. juste ac le regard. premier premier rôle et ss doute le rôle de sa vie, innatendu et un peu triste(non c vrai que merci aussi pr little big man). un talent si rare et prtt anne bancroft ne se laisse pas écraser. que de maturité d'aplomb de jouissance et de finesse. Les deux ds la mm pièce....! un tt petit peu moins éblouie par K Ross, il faut dire quel niveau, mais elle apporte qd encore qq chose de nouveau que st la candeur et l'éspièglerie. une petite brise rafraichissante après une grande chaleur c bien agréable. diluer tte cette acidité satirique, fredonner pour mieux flotter au-dessus de la guitare nerveuse et stridente, saturée d'ennui de jalousie et desespoir. Pr la larme le cri et le demi sourire de la fin.
    Par rapport au contexte pré 68, je dirais qu'il n'a rien de choquant ou du trash ( trop de sexe préfabriqué aujourd'hui! en fait au jourd'hui on dirait qu'il est mm très pudique) mais il n'en reste pas moins acide et provocateur que ce soit sur le plan des relations intergénérationnelles ou amoureuses ou encore des études et de la révolution industrielle qui st des thèmes tt à fait d'actualité (révolution des nouvelles technologies, fracture sociale, écologie cf "je n'aurais qu'un seulmot à vs dire : plastique!"... aujourd'hui aussi bcp de possibiltés futres, bcp de compétition et bcp de cruauté). tjrs plus provocateur que closer pr moi. ptt non cotemporain mais assurément moderne. Comme Mrs Robinson de S et G, ça vieillit pas ça prend du charme. etça donne envie devivre les 60's!
    A savourer au début, à couper le souffle sur la fin, éternel et inoubliable!
    PS: ds le genre bon film américain je recommande aussi american beauty. si quelqu'un a un autre the graduate à me conseiller?
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 226 abonnés 7 515 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2011
    Second long-métrage pour Mike Nichols (Wolf - 1994 & Working Girl - 1989) qui adapte ici le roman éponyme de Charles Webb et en restitue une brillante adaptation, une comédie dramatique doublée d'une romance qui nous surprend et nous tient en haleine en un rien de temps ! C'est avec une telle justesse et une telle puissance que le film nous immerge au coeur de ce sentiment à la fois malsain et crispant, un véritable étouffement ressentit à la fois par le personnage central et le spectateur, cette osmose qui règne dès le début du film, notamment lorsque la relation entre Benjamin Braddock (un étudiant fraîchement diplômé) et Mrs Robinson (une mère de famille) prend des proportions incontrôlables en devenant de plus en plus délicate, au fur et à mesure que les minutes s'écoulent et qu'elle "referme ses griffes sur sa victime".
    Une histoire d'amour interdite et extrêmement gênante entre un adulte de vingt ans et une femme d'âge mûre névrosée, cette histoire se compliquant d'avantage lorsqu'il tombe amoureux de la fille de cette dernière.
    Aussi surprenant que cela puisse paraître, le film fît un carton au box office, tout en faisant énormément de bruit (il avait de quoi choquer l'Amérique puritaine). Pour son second long-métrage, Dustin Hoffman s'offre une superbe carte de visite pour la suite de sa carrière, puisqu'il fut nominé à l'Oscar du Meilleur Acteur, contrairement à Mike Nichols, ce dernier reçu l'Oscar du Meilleur Réalisateur. Signalons enfin, la sublime (le mot est faible) B.O, dont le célèbre titre "The Sound of silence" de Simon & Garfunkel.
    ElAurens
    ElAurens

    80 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 janvier 2011
    J'avais vu un extrait de ce film dans l'excellent 500 jours ensemble de Marc Webb, il n'en fallait pas plus pour me donner envie de le voir. De plus c'est le film qui révéla Dustin Hoffman (beaucoup le considère même comme son plus grand). J'en ressors déçu, le final laisse une bonne impression, mais globalement c'est très inégal. Je me souviendrais de quelques scènes sympathiques et légères bien interprétés par des acteurs charismatiques dont la belle Katharine Ross.
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