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Un visiteur
0,5
Publiée le 26 mai 2008
Robocop 3, ou comment anéantir un mythe naissant. De l'univers post-reagnien ultra-violent créé par Verhoeven, il ne reste que les décors. L'esprit, lui, a été sacrifié sur l'autel du business facile et des mass-media. Bioman... euh pardon... Robocop devient l'ami des enfants, vole comme Superman et combat des robots-ninja, le tout sans faire couler une goutte de sang. Et dire que j'ai loupé Winnie l'Ourson pour regarder ça...
Comment les scénaristes de Robocop 2 ont-ils pu commettre cette daube ? La réalisation est nulle mais le scénario l'est tout autant. C'est n'importe quoi. Seule la musique donne des frissons et nous rappelle vite de changer de film.
C’est le pire épisode de la trilogie, beaucoup moins sombre et violent, mais plus familial. L’histoire avec le robot ninja c'est vraiment du n'importe quoi. Robert John Burke remplace ici Peter Weller dans le rôle de Robocop, Nancy Allen reprend le rôle de la flic Anne Lewis une dernière fois et le reste du casting n'est pas terrible : John Castle, Jill Hennessy, Rip Torn et Mako. On dirait un mauvais téléfilm.
Un pure navet : sans Peter W et avec une histoire complétement naze, il fallait s'en douté. Et dire que dérrière cela accouchera d'une série pitoyable.
un beaunanar a grand budget, c'est rigolo a voir. mais on arrete de rire quand on se rend compte qu'ils ont saccagé une des plus violente saga de science fiction.ils auraient du s'arreter au 2 assez réussi car dans ce dernier opus tout est loupé.les dialogues sont débiles, la voix francaise de robocop est a mourrir de rire.les costumes sont dignes d'une parade de disney et le scénario est indigeste de moralité enfantine.
Je me demande bien quel cerveau malade à pu pondre un scénario aussi pourri que celui de ce Robocop 3, franchement on dirais qu'il à été co-écrit par une classe de CE2 à qui on aurais demandé de créer une aventure avec leurs héros préféré à partir de là les créatifs ont dit un truc du genre bougez plus j'ai l'idée du sciècle avec cette rédac'
Non content d'être le pire film qu'à produit jusqu'alors une saga qui avait pourtant bien commencé avec le premier opus qui définit le mot classique et un second qui n'étais pas aussi bon mais là franchement ils ont touchés le fond, pour ne jamais remonter. Pourquoi ne pas avoir gardé le script original de Robocop 2, celui qui avait été refusé par la production pour nous servir cette banale histoire de drogue un peu neuneu.
Mais là attention avec ce troisième opus c'est du lourd de chez lourd, on vas carrément s'attaquer à la guerre civile mes amis dans celui-ci, bah tiens une guerre civile dans une ville comme Détroit, ok rien qu'en soit c'est une hérésie mais franchement pourquoi Robocop qui avait une certaine classe et sortais son arme avec une habileté digne d'un acrobate chinois pour tirer tout aussi bien que Lucky Luke sinon mieux se retrouve transformé en tafiolle qui fait de l'humour avant de tirer ?
Comme si ça suffisait pas ce film est rempli de cliché et fais limite l'apologie du 3ème Reich avec les rehab, je veux dire on peut faire une satyre sur n'importe quoi mais rien que ça c'est dépasser les limites, et bien sûr je passerais sous silence les choix douteux comme celui de tuer la partenaire de Robocop dans les 20 premières minutes de film, ils avaient l'intention de faire un RoboChick ?
Ne comptez pas non plus sur les différents protagonistes pour meubler des scènes d'action mou du genou tout ici est joué par des acteurs de seconde zone sans aucun talent et qui semblent s'emmerder sec sur le tournage d'un blockbuster, si d'ailleurs les réalisateurs n'avaient pas dépensé tout le fric disponible pour faire voler Murphy ils auraient pu engager des meilleurs acteur que ça parce que très franchement là, la coupe est pleine et vous pensiez que c'étais juste le réacteur dorsal (putain robocop avec un jetpack c'est comme avoir un toit ouvrant sur un sous-marin quoi) il y à aussi la main interchangeable avec 3 armes en une, ce qui fait en fait un précurseur d'Iron Man au ciné en un sens, mais aussi des Ninjas robot (QUOOOOOIIII ?)
Voilà pourquoi ce film crains un max, des ninjas et cette conneries était là tout au long des années 90 on mettait le ninja à toutes les sauces et la sauce en question était bien souvent indigeste puisque réservé aux films dit nanars, d'ailleurs allez sur nanarland avec le mot clé ninja et vous comprendrez de quoi je parle !
Robocop aurait dû se limiter au premier film réalisé par Paul Verhoeven, car les suites sont catastrophiques, surtout ce troisième opus qui touche le fond de la connerie.
Les salauds, ils nous ont encore niqué une franchise monstrueuse pour vendre des jouets aux mioches! Pathétique, Brett Ratner n'aurait pas fait mieux!!!
Toujours le même cirque : après un premier épisode ayant fait un carton , on veut rentabiliser , créer une franchise qui n'a pas lieu d'être , et on empile les daubes les unes sur les autres. Le résultat est comparable avec ce qui s'est passé avec les dents de la mer : Le deuxième épisode était à peine passable , le troisième révoltant. Bis répétita avec robocop.
Un troisième opus qui a définitivement enterrée la saga Robocop et pour de bonnes raisons. Car honnêtement il n’y a plus rien. Je l’avais vu pour la première fois tout gamin et je le trouvais déjà ridicule, notamment avec ses effets spéciaux complètement loupés. En fait il n’y a rien qui va dans ce Robocop 3 qui ne semble avoir été fait que pour vendre des jouets Robocop. Oubliée la satyre de la société américaine du film de Verhoeven, le coté trash et tous pourris issu de Franck Miller dans le 2. La Robocop se mue en bisounours défenseur de la veuve et de l’orphelin mais avec des accessoires vendus séparément. On ne croit en rien de ce qui se passe à l’écran c’est laid et sans aucune créativité.
Je pense que c'est le pire de la série ! les personnages sont caricaturaux, le jeu d'acteur HORRIBLE ! Les FX sont vraiment moches (le 1er opus était largement au dessus !) Passez votre chemin !
Le premier était cru, violent et bourré d'humour noir. Le second était de la même trempe. Celui ci vire à 180° pour donner tout le contraire. Alors forcément, ca passe pas.