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Said K
1 abonné
32 critiques
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2,5
Publiée le 20 octobre 2020
On tourne en rond et on ne comprend pas du tout où on veut nous amener. Dans le premier Rebocop , il y avait une âme , quelque chose d’intéressant mais dans celui là , rien d’intéressant , c'est presque vide .C'est juste un film violent comme on savait bien les faire a l’époque , c'est triste d'en être arrivé là
Grand film incompris...du divertissement assumé et très réussi dans le genre. Qualité principale pour un film de ce genre bien précis : le rythme, chaque scène doit rebondir sur la précédente en procurant un pur plaisir insouciant au spectateur. Sur ce point, Robocop 3 est une véritable démonstration. 2 ème point essentiel du genre : le spectacle. Là aussi, Robocop 3 assure un max, avec notamment spoiler: la grand bataille entre les Réhab et la police, et le final faisant intervenir un Robocop volant ! Du comic book total - scénario signé Frank Miller - qui se révèle totalement jouissif à voir et revoir. Alors OK, il n'y a plus la critique sociale du premier, mais, personnellement, je préfère qu'on me dise "c'est pas bien d'exploiter les pauvres au profit des riches" en 2 secondes comme ça, que de faire un film pour me l'expliquer en filigrane. Du coup, l'absence d'un message de ce genre ne me gêne pas du tout dans un film qui par ailleurs se montre prenant, spectaculaire et bien fun.
Mon préféré des Robocop, particulièrement touchant, la note ne veut rien dire, on met 2 sur les forums, et allocine, mais avez vous vraiment regardé le film dans ses moindre détails, car moi je le trouve très touchant, le début du film fait vraiment pleurer le téléspectateur, c'est mon avis, quand on voit une fille de 8 ans, en zone guerre, le père dit, vous êtes en sécurité, et paf, avis d’expulsions, et c'est la que cette fille va rentrer dans la vie, jouer dans la cour des grand, cela m'a personnellement touché, pas vous?
Ce troisième opus de la saga "RoboCop", réalisé cette fois par Fred Dekker et sorti en 1993, n'est franchement pas terrible. L'OCP a cette fois été rachetée par une firme japonaise mais le but reste le même, c'est-à-dire faire de Détroit une ville plus acceptable, notamment en y virant les habitants. La guerre entre la police, et notamment RoboCop, et l'OCP continue donc une nouvelle fois. Bon voilà, même avec quelques nouveautés (notamment le robot ninja assez marrant), le fond reste le même et au bout d'un moment, cela en devient lassant. Surtout qu'avec ce troisième opus, l'intention de faire de l'argent sur les deux premiers films est clairement visible. Les sagas cinématographiques ont bien entendu toujours pour but de faire de l'argent mais ici, la veine artistique est clairement mise de côté et nous voyons alors beaucoup plus le côté commercial. Nous avons également beaucoup trop le côté fait à l'arrache et le peu de moyens dont dispose le film saute aux yeux, notamment au niveau des incohérences et des effets spéciaux. De plus, si les deux premiers films nous présentaient d'abord une critique de la société ultra-violente et faisaient passer l'action après, ici nous avons l'inverse, les métaphores étant même presque devenues inexistantes. Nous n'avons donc plus ces diverses couches de lecture qui faisaient le charme de la saga et surtout qui donnaient un côté intéressant à la science-fiction. De même que l'ultra-violence en elle-même n'est plus aussi montrée, et notamment à cause d'une mise en scène beaucoup trop plate qui ne prend pas vraiment de risques. Le film n'en est pas non plus spécialement captivant même si je ne me suis personnellement pas vraiment ennuyé dans l'ensemble. En ce qui concerne les acteurs, nous retrouvons une certaine partie du casting, notamment Nancy Allen, mais c'est cette fois Robert John Burke qui campe le rôle du robot flic, Peter Weller ayant fuit le bateau avant qu'il ne coule. "RoboCop 3" est donc clairement la suite de trop qui n'apporte absolument rien aux deux premiers.
Nettement moins bon que le 2 qui lui aussi était moins bon que le premier qui était culte. On a clairement changé de categorie, c'est ici un film "familial". Le seul truc qui m'a plus c'est l'ambiance OCP en plein effondrement avec ses conseils d'administration ou la moitié des sièges sont vides et les employés qui se jettent par la fenêtre.
Malgré ses difficultés de production, RoboCop 3 n’est pas la catastrophe annoncée et se présente au spectateur comme le résultat de croisements artistiques, un pot-pourri d’influences qui se propose néanmoins de prolonger l’esprit du Detroit mis en scène par le film original. Nous avons une relation mère/fille de substitution qui évoque Aliens, un robot répliquant tout droit sorti de Terminator 2, un héros volant proche de Superman. Le tout assaisonné à la sauce blagues et second degré. Les Power Rangers ne sont pas loin... D’autant que le héros de métal annoncé par le titre, s’il est bel et bien présent, reste en retrait ; ce sont des femmes qui occupent le devant de la scène : la jeune fille rendue orpheline par les répressions policières, une vagabonde et chef de la résistance qui la prend sous son aile, l’agent Anne Lewis qui rendra l’âme dans une église, la scientifique Marie Lazarus dont dépend la survie de RoboCop. Le réalisateur et ses scénaristes doublent les troubles politiques que subit la ville d’un affrontement des sexes : les hommes sont presque tous misogynes, ils insultent les femmes et manifestent sans raison à leur égard une haine quasi viscérale. En contrepartie, les femmes font preuve de bravoure et parviennent à contrer le pouvoir totalitaire, exclusivement masculin au demeurant. Nous voyons Murphy au volant d’une voiture rose bonbon agrémentée de boas et de guirlandes, un travesti malmené au poste de police, des punks fort méchants et versatiles que les antagonistes rallient à leur cause. Le monde de RoboCop 3 est un monde déréglé, la représentation des minorités et des marges souffre elle aussi de ce dérèglement : personnages manichéens, groupuscules stigmatisés et diabolisés etc. Davantage tourné vers la parodie, accumulant les blagues peu drôles et les gags curieux, le film n’oublie pourtant pas l’action et met en scène des séquences de course-poursuite assez efficaces qui disposent d’une réalisation soignée. Pour notre plus grand plaisir, Basil Poledouris reprend les thèmes développés pour l’œuvre de Paul Verhoeven, référence absolue que cette suite ne réussit jamais à égaler, mais là n’est pas son ambition. Car on ne saurait nier la qualité générale de la réalisation et le soin apporté aux décors : un petit spectacle divertissant, insipide mais inoffensif.
Un troisième opus décevant, qui est clairement le moins bon de tous. Par ailleurs Peter Weller est remplacé par Robert John Burke, ce dernier n'arrive pas à égaler la performance de Weller. De plus le film perd son caractère violent, sans doute pour attirer le tous public. Puis le fait que Robocop a des gadgets, style main mitraillette, un jet pack nous le carricature un peu voir le rend grotesque. Si on peut retenir le point positif du film, c'est que la logique du film ou de l'histoire, est respecté c'est à dire que le projet Delta city voit le jour et on a un retour de la bande original. Pour le reste, le film méritait mieux.
Grand Film ! Excellent troisième épisode, dont l’anticipation est toujours aussi brillante. Certains dialogues sont des joyaux. Notre monde ressemble de plus en plus à celui anticipé dans la saga Robocop, entre 1987 et 1993.
Prenant mais avec un -10 c’est bien moins drôle et j’l’ais senti dès que j’ai vu la signalétique. Les fusillades sont moins sanglantes mais toujours aussi prenantes. Jill est-elle, le grand atout charme du film, offrant une sorte de fraîcheur au casting bien que la forte présence d’enfants soit très rajeunissante. spoiler: Ce volet montre aussi comment le système informatique du personnage peut radicalement changer, en effet lors d’une mission robocop se fait piéger et démembrer. A sa remise à niveau, un nouveau language et comportement lui est programmé, ce qui se voit de suite et ne plait pas du tout à sa coéquipière. Certaines scènes le montre parfaitement, spoiler: celle où il discute morale écologiste et citoyenneté à des enfants de quartiers. Egalement, première scène de combat aérien mêlée à la scène finale. Là aussi on rigole face au visuel, mais encore une fois, c’était l’époque.
Le film le moins réussi de la saga. Si le début est intéressant, j'adore par exemple cette idée de commencer par une publicité, la dernière heure tombe dans le n'importe quoi. On peut même y voir Robocop voler... Les producteurs n'ont voulu faire un quatrième film, et ils ont eu raison.
Une très bonne conclusion à la saga : L'Omni Consumer Products, OCP, a été rachetée par une firme japonaise qui souhaite bâtir une nouvelle ville, Delta City, sur les ruines de Detroit. Pour évacuer les citoyens, l'OCP déploie des troupes armées qui se n'hésitent pas à dégager violemment les habitants. Robocop, dans son devoir de protection, fera tout pour les protéger... Je ne comprends pas vraiment pourquoi ce film est mal noté ; pour moi, il est bien au-dessus du 2nd et un peu en-dessous du 1er mais pas si mauvais que ça. Franchement, le scénario est bon, les combats et effets spéciaux également et le fait de présenter le Japon et l'Asie en général comme "technologiquement au-dessus" des US est complètement fondé spoiler: (Le robot japonais et bien meilleur que Robocop) . Bref, une très bonne conclusion à la saga.
La trilogie se conclut pas trop mal avec la continuité du précédent épisode, la dérision du capitalisme m’a plue, comme une agréable série B, il ne commence qu’à devenir intéressant que dans la seconde partie du film, le début est à zapper et une mise en scène déséquilibrée. La superbe intrigue se trouve dans le personnage antagoniste, l’androïde ninja aux acrobaties de mouvement mécanique donne du fil à retordre au robot policier, son sens de la justice est innée par la programmation et tiendra parole.
Le volet le plus faible de la saga et qui a déclenché l oublié de la franchise. Doté d un scénario vraiment faible reprenant quand même l idéologie de violence des sociétés du capitalisme à outrance l abus de la Loi de l informations...cependant le scénario n en fait pas bonne usage et le réalisateur non plus.... ou est passé l innovations les bonnes idées les méchants qui s opposent au robocop.....et les trucages sont vraiment mauvais pas du tout crédible....on perd aussi une partie des acteurs originel dommage. Le pompom revient au ninja cyborg sûrement l un des plus mauvais méchant de l histoire ridicule et surtout risible. L action elle même est en dessous cela fait très série B est aucune scène reste vraiment en mémoire....un épisode trop décevant
L'opus de trop, déjà que le deuxième opus s'était planté, ben ce troisième opus de la saga est tout simplement pire que le précédent opus. Fred Dekker (réalisateur du ce troisième Robocop) a tout simplement détruit ce personnage culte et enlevé tout humour noire et la violence qui régnaient dans le premier. La seule chose positive du film c'est le retour de la bande son de Basil Poledouris (compositeur du premier opus et absent du deuxième).
beaucoup moins bien que les précédent comme c'est toujour le cas dans les saga le 3 e est toujour moins bien que les autre et ce film ne déroge pas à la règle. Histoire moins bien voit intéressante et moins bien écrit voir bâcler. Après certains chose sont pas mal comme les méchant