Après 1 premier volet sombre,sadique et violent,notre flic futuriste rempile avec 1 volet aussi pourri que le 2.Un tres bon nanar qui veut garder 1 côté serieux en faisant faire du social a Robocop...quelle belle connerie.Merci les gars d'avoir atomiser le personnage pour adulte en poupée barbie...Nan mais attendez,comment les scénaristes veullent faire passer un message d'espoir pour les pauvres en nous sortant une merde pareil.Débille du début a la fin.Acteurs médiocre,P.Weller remplacé par un inconnu au dialogue pas recherché,scène d'action a gerber,méchant sans charisme...Aprés Robocop contre les vilains psycopathe,il affronte cet fois ci une multinationale japonaise (tien donc)Et va y que jtétale des clichées a droite a gauche,bonjour les trucages voyants,les faux raccors bidon,le doublage pluss pourri que la VO...Encore une licence lynché a des fins commerciale...en + ca a été un echec,ouf.Le pire des personnages reste pour moi la guerrière syndicats des sdf au jeu déplorable.Rassurez vous,dans le film elle meurt dans d'atroce soufrance (1 balle dans lbuffet)a ba merde,dommage,pas de violence.Pourquoi:film familial.Merci Fred Dekker pour ce nanar inatendue et bourré de connerie.Encore merci d'avoir transformé un bon sujet en ratage total.
Pouah...j'ai voulu regarder la fin de la trilogie et bien mal m'en a pris...non mais qu'est-ce que c'est que cette daube ? Déjà que le 2 n'était pas terrible, alors là, on atteint un niveau exceptionnel. Seul le thème musical et Nancy Allen permettent de reconnaitre un RoboCop. Le reste : des répliques pourries, des scènes pouvant être intégrées à Hot Shots (le punk qui essaie d'enfiler un casque alors qu'il a une crête...), un scénario pitoyable (RoboCop au secours des SDF ; un gamine informaticienne de génie..) et le pire, des doublages de voies ridicules (notamment RoboCop) et des robots ninja...si si, c'est bien vrai...Bref, si vous voulez vous mettre à RoboCop, restez-en au premier opus.
Robocop 3, c'est la définition du navet par excellence : histoire nulle, effets spéciaux ratés, acteurs mauvais ... Dommage car les 2 premiers sont des chefs d’œuvres du fantastique. le troisième ne vaut même pas 1 étoile, un gâchis.
Une suite qui snobe complètement le caractère violent des deux premiers films, là c’est tout public pour vendre des jouets (la preuve j’en avait un à cette même époque), on ajoute un jetpack et un bras mitrailleur à RoboCop, un jap cyborg en guise de méchant, une gamine pour que les gosses s’identifient, etc, l’affaire est dans le sac ! Seulement il est difficile à ce jour de ne pas s’ennuyer face à de telles sornettes, tout respire le cheap, et même si ce n’est pas une abomination ça n’en reste pas moins raté, voire terriblement gênant parfois, genre quand RoboCop arrive en volant et que les flics exultent, on dirait un dessin animée genre Captain Planet, bref on a bien compris les intentions, il manquait plus que la RoboCop-Mobile.
Après un second épisode caricatural mais toujours assez violent, la société de production Orion, au bord de la faillite (qui interviendra entre le tournage et la sortie du film), décida de produire un Robocop 3 clairement réorienté vers un jeune public : il faut donc oublier la violence du premier film et même du deuxième ! De même, il ne faut pas être surpris de voir le personnage équipé de gadgets tels qu’une mitraillette pouvant remplacer une des mains ou le jet pack adapté pour Robocop : il faut bien vendre des jouets ! Cette volonté de vendre le film aux enfants entraine également des personnages beaucoup plus unidimensionnels et la création d’une hackeuse très jeune qui va aider Robocop dans son aventure. De même, ce manque de subtilité entraine des incohérences scénaristiques assez flagrantesspoiler: (pourquoi Coontz vient prendre en otage les rebelles alors qu’il sait que les miliciens de l’OCP vont attaquer leur cachette dans quelques instants ?, Lewis qui refuse de mettre son gilet par balles parce qu’elle n’est pas en service mais qui monte malgré tout dans la voiture de Robocop) et des aspects très simplistesspoiler: (l’ED-209 piraté en quelques secondes par Nikko) . Cependant, Fred Dekker tient malgré tout un discours contestataire, certes plus grossier, dans la lignée du premier : il critique l’ultralibéralisme n’hésitant pas à sacrifier l’humain pour l’argentspoiler: (les habitants de Detroit expatriés violemment pour pouvoir construire Delta city) et la manipulation des médiasspoiler: (la présentatrice du journal télévisé qui se rebelle devant les fausses informations à la faveur de l’OCP qu’elle doit réciter) . En outre, le film n’est jamais ennuyeux et se révèle même assez distrayant. De plus, les effets spéciaux sont toujours assez réussisspoiler: (si on oublie la séquence de vol de Robocop où le fond bleu se fait beaucoup sentir) . Enfin, la production a eu l’intelligence de refaire appel pour la musique à Basil Poledouris et aux fameux thèmes qui rythmaient l’original. Ainsi, ce film, qui fut tourné dans des conditions catastrophiques (la faillite d’Orion entraina des restrictions de budget et une attente de deux ans entre le tournage et la sortie), est à des milliers de kilomètres de la qualité de l’original mais conserve malgré tout un discours plus cohérent que le second. On peut même l’apprécier à partir du moment où on accepte le principe que nous sommes face à un film d’action pour enfants.
Mon préféré des Robocop, particulièrement touchant, la note ne veut rien dire, on met 2 sur les forums, et allocine, mais avez vous vraiment regardé le film dans ses moindre détails, car moi je le trouve très touchant, le début du film fait vraiment pleurer le téléspectateur, c'est mon avis, quand on voit une fille de 8 ans, en zone guerre, le père dit, vous êtes en sécurité, et paf, avis d’expulsions, et c'est la que cette fille va rentrer dans la vie, jouer dans la cour des grand, cela m'a personnellement touché, pas vous?
Après l'épisode moisi d'Irvin Kershner, Fred Dekker enfonce définitivement la saga en allant à fond dans la caricature (le jet-pack, la gamine surdouée, les robots ninjas...). Un raté absolu qui aura trahi le film de Paul Verhoeven sur tous les plans.
Malgré ses difficultés de production, RoboCop 3 n’est pas la catastrophe annoncée et se présente au spectateur comme le résultat de croisements artistiques, un pot-pourri d’influences qui se propose néanmoins de prolonger l’esprit du Detroit mis en scène par le film original. Nous avons une relation mère/fille de substitution qui évoque Aliens, un robot répliquant tout droit sorti de Terminator 2, un héros volant proche de Superman. Le tout assaisonné à la sauce blagues et second degré. Les Power Rangers ne sont pas loin... D’autant que le héros de métal annoncé par le titre, s’il est bel et bien présent, reste en retrait ; ce sont des femmes qui occupent le devant de la scène : la jeune fille rendue orpheline par les répressions policières, une vagabonde et chef de la résistance qui la prend sous son aile, l’agent Anne Lewis qui rendra l’âme dans une église, la scientifique Marie Lazarus dont dépend la survie de RoboCop. Le réalisateur et ses scénaristes doublent les troubles politiques que subit la ville d’un affrontement des sexes : les hommes sont presque tous misogynes, ils insultent les femmes et manifestent sans raison à leur égard une haine quasi viscérale. En contrepartie, les femmes font preuve de bravoure et parviennent à contrer le pouvoir totalitaire, exclusivement masculin au demeurant. Nous voyons Murphy au volant d’une voiture rose bonbon agrémentée de boas et de guirlandes, un travesti malmené au poste de police, des punks fort méchants et versatiles que les antagonistes rallient à leur cause. Le monde de RoboCop 3 est un monde déréglé, la représentation des minorités et des marges souffre elle aussi de ce dérèglement : personnages manichéens, groupuscules stigmatisés et diabolisés etc. Davantage tourné vers la parodie, accumulant les blagues peu drôles et les gags curieux, le film n’oublie pourtant pas l’action et met en scène des séquences de course-poursuite assez efficaces qui disposent d’une réalisation soignée. Pour notre plus grand plaisir, Basil Poledouris reprend les thèmes développés pour l’œuvre de Paul Verhoeven, référence absolue que cette suite ne réussit jamais à égaler, mais là n’est pas son ambition. Car on ne saurait nier la qualité générale de la réalisation et le soin apporté aux décors : un petit spectacle divertissant, insipide mais inoffensif.
ROBOCOP 3 reste le meilleur de la trilogie après le 1er! Basil Polédouris reprend les commandes de la très bonne musique guerrière!Et il ya une avalanche d'effets spéciaux en plus!
Cette suite est la moins abouti de la saga !! Le gros point négatif , c'est qu'on nous sert un film Robocop "pour tous publics" !! On perd cette violence, le visuel sanglant qui faisait la force des 2 premiers opus !!! Je trouve également que le personnage de Robocop est un peu en retrait !! Dommage car les scènes où il apparait font toujours leur petit effet aidé par une très bonne BO !!! Le manque de budget se ressent au niveau des effets spéciaux, mauvais dans l'ensemble et au niveau des scènes d'actions !! De plus, Robert John Burke n'égale pas la performance de Peter Weller et le personnage de Lewis expédié en dans le 1er tiers du film de façon ridicule !! Après plus je le mate, plus je suis gentil avec ce film alors qu'il est à des années lumières du 1er et loin du 2ème !!
L'idée de départ de ce troisième épisode des aventures de Robocop est plutôt intéressant. L'OCP décide de construire le nouveau Détroit sur les ruines de l'ancien et décide d'en expulser les habitants. Ceux-ci décide de ne pas se laisser faire et se regroupe allant jusqu'à former un groupe de résistants, bientôt aidé par Robocop. Les premières minutes, l'expulsion des civils qu'on emmène en car nous rappellent les agissements des nazis. L'intérêt, hélas, diminue très vite. Fred Dekker d'abord, le réalisateur et co-scénariste avec Frank Miller, inconnu pour moi, n'était peut-être pas la personne la plus compétente pour mener à bien cette mission, qui était au moins de réaliser un honnête divertissement pour les fans. Non, ici la violence est quasi-absente alors que c'est, entre autres, ce qui a fait le succès de la série. Quant au supposé humour, il est décliné en répliques ridicules que ne renierait pas les Schwarzy ou Stallone durant leurs plus grandes heures de gloires. La volonté de tuer Lewis est également mauvaise puisqu'en plus de ne pas porter de gilet pare-balle, pour un flic ça la fout mal, son décès entraîne l'impossibilité de la revoir dans un hypothétique 4. Le traitement infligé à Robocop est ridicule. On le voit jouer les nounous histoire de montrer que c'est un humaniste, on avait déjà du mal à l'accepter de faire rugir sa moto dans le 2, là on le voit voler à la fin à la manière de Bioman dans une séquence où les effets spéciaux sont assez consternants. Ce qui intéressait les producteurs était de calibrer le film pour les enfants afin de leur faire acheter la figurine, qu'on va même jusqu'à apercevoir dans un plan, honte à eux. Il y aurait encore tellement de reproches à faire comme les méchants cyborgs-ninjas ayant autant d'expression que Steven Seagal mais je vais m'arrêter là. 0 ou une étoile, telle est la question. Allez une pour le début. En tout cas, cette fois-ci, je n'en reprendrai pas. Même pour un dollar.