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Michael78420
45 abonnés
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3,5
Publiée le 20 novembre 2020
Le titre en français est trompeur. On croit que l'on va voir des avions faire de la voltige en altitude. Eh bien non ! Le titre en anglais colle beaucoup mieux au scénario. Quelques scènes sur les hauteurs des tours jumelles Petronas de Kuala Lumpur sont impressionnantes. Les francophones apprécieront aussi les scènes dans la gare de Pudu, laquelle peut être affublée de la lettre Q pour faire rire les enfants. Les anciens se souviendront avec émotion du passage de l'an 2000. On appréciera aussi la souplesse de Catherine Zeta-Jones et le charisme du regretté Sean Connery.
J'ai beaucoup aimé ce film d'action, qui déroule les codes habituels du film de casse/de cambriolage, en étant divisé en plusieurs parties: d'abord la mise en place de l'équipe qui va réaliser le cambriolage (avec Zeta Jones et Connery, qui sont excellents dans ce film) , puis la mise en route d'un plan d'action, l'entrainement (qui a lieu dans un magnifique manoir écossais) et enfin le casse proprement dit (qui à cette occasion nous propose justement quelques cascades impressionnantes, d'où me titre du film). On a un film qui arrive à nous proposer un pur divertissement extrêmement plaisant en arrivant à être très équilibré: comme je l'ai dit la progression des personnages est fluide, on comprend le plan, les objectifs etc...et leur psychologie (que ce soit celle du personnage incarné par Zeta Jones ou celle du vieux cambrioleur incarné par Sean Connery, d'ailleurs c'est même l'un des points forts du film). On a droit à des décors somptueux (l'Ecosse, la Malaisie...). L'humour est lui aussi présent (mais sans excès) et aide à emporter l'adhésion du spectateur y compris pour les scènes improbables et rebondissements de situation. Au total, le film ne va pas révolutionner le genre, est (relativement) méconnu, mais rend une copie excellente à tous points de vue...Un pur divertissement de luxe en somme, typique des années 90....Dommage que ce genre de film ne se fasse plus (ou si peu...), ça montre à quel point Hollywood est sinistré...
Le désormais défunt Sean Connery aura signer bien des rôles cultes durant sa grande carrière, mais celui-ci n'en fera personnellement pas parti pour une raison massive simple, se faisait-il suffisamment vieux en 99 pour livrer une performance si molle du début à la fin ? Ce rôle de criminel et voleur ne sais pas fait ressentir comme lors du visionnage d'un tout autre film de même genre ou le contenu est bien largement plus dynamique. Par contre, son duo avec Catherine Zeta Jones est absolument géniale puisque cette dernière apporte une fraicheur nette, un charisme impeccable, un charme naturellement déconcertant qui fait qu'elle vole littéralement la vedette à son aîné. Dans l'ensemble ce film se suis facilement niveau scénario même si l'habituelle présence de longueurs font que le contenu ne se visionne finalement plus avec grand plaisir, mais une seule scène m'aura tenu en haleine, celle ou notre duo se suspend au-dessus d'un profond vide asiatique en pleine heure du nouvel an, ou plutôt, du nouveau millénaire. La tension présente fut dantesque pour un résultat alléchant. Connery ne m'aura donc pas satisfait mais le fera t-il lorsque je regarderais ces premières fois en tant qu'espion de sa glorieuse majesté ? Un film d'espionnage, thriller et romance légère qui se suis sans forcer mais qui manque cruellement de vitamines pour notre héros number one. Mais mention toujours spéciale à Miss Jones.
Avec le succès de Rock de Michael Bay, Sean Connery à presque 70 ans, avait prouvé qu’il possédait encore suffisamment d’aura pour se retrouver à la tête d’un divertissement d’action. On peut penser que c’est dans l’intention de surfer sur ce succès qu’un film comme Haute Voltige a été produit. Le film de Jon Amiel est, en effet, une petite série B sympathique mais qui pâtit d’un scénario peu crédiblespoiler: (on a du mal à croire qu’une agente d’assurance puisse être chargée d’une pareille mission, malgré la fin, tout comme aux multiples rebondissements et épreuves affrontées) et d’une réalisation un peu molle. On est donc très loin d’un film comme le premier Mission : Impossible auquel certaines séquences font penser. Toutefois, le charme de Sean Connery, de Catherine Zeta-Jones et de Ving Rhames (étrangement présent aussi dans Mission : Impossible) opère et rend le tout agréable à suivre sans être mémorable pour autant.
Sean Connery a 69 ans joue encore les premiers rôles dans ce film d'action. Un jeu de séduction de fait peu crédible, un scénario cousu main. Du spectaculaire sans doute mais un défilé de clichés du genre pour amateur en manque de James Bond avec celui qui en a été l'acteur initial référence.
Ça faisait au moins 10 ou 12 ans que je n'avais pas revu ce film, il n'a pas pris une ride.... Sean Connery est toujours aussi bon, j'ai adoré ce film. A voir ou à revoir
Pas transcendant, c'est sans surprise. Petit film d'action vite oublié, pas très convaincant, et c'est grâce à ses deux acteurs à l'affiche que l'on suit l'intrigue. Pas leurs meilleurs rôles.
Ceci est ma 1ere critique... surement la dernière. Je suis tombé amoureux de tout... de james Bond viellissant, de Cathreine, rayonnante, de l'intrigue... sympa mais certes pas assez construite, mais surtout des lieux de tournage. Je vous recommande ce film.Vous passez 1h30 de votre vie, sans vous dire que vous avez vu le meilleure des films... mais qui vous marquera... on seit pourquoi... à jamais.
Ce film, réalisé par Jon Amiel et sorti en 1999, n'est vraiment pas mal. C'est l'histoire d'un cambrioleur professionnel et d'un agent d'assurances qui s'unissent afin de voler un masque au prix inestimable. Bon le synopsis n'est pas folichon et le scénario n'est pas vraiment mieux. Le scénario nous présente en effet un film de casse classique, un peu cliché sur les bords et utilisant les codes du genre, déjà bien éculés au cinéma. L’histoire n'est donc pas vraiment surprenante et elle a quelques côtés prévisibles, notamment en ce qui concerne la seconde intrigue sentimentale, que l'on voit venir dès les premières minutes. Cependant, le film possède tout de même certains moments de tension et si on apprécie ce genre de divertissement, alors le film peut s'avérer dans l'ensemble captivant. Mais nous avons malgré tout également des scènes un peu longues, notamment celles entre les casses qui se concentrent sur la psychologie des personnages. Ces derniers étant clichés, le film perd donc un peu de temps en enfonçant des portes ouvertes et surtout en provoquant un certain ennuie chez le spectateur. En ce qui concerne la réalisation, c'est assez plat et convenu mais cela fonctionne plutôt bien pour ce genre de film. Du côté des acteurs, nous avons principalement Sean Connery, fidèle à son personnage de gentleman britannique, et puis Catherine Zeta-Jones qui joue bien. "Haute Voltige" n'est donc pas un indispensable mais fonctionne bien en tant que divertissement.
Après Pierce Brosnan et Thomas Crowne, un autre James Bond perceur de coffre-fort. Sean Connery, vieux loup de mer insaisissable à qui on ne la fait pas dans le domaine du cambriolage a cette fois-ci un grain de sable dans sa chaussure : Catherine Zeta-Jones dont il va s’éprendre. Ce qui était voulu par tout le monde dès le début. C'est gros comme une maison. Même s'il y a de l'amour dans l'air, ce n'est pas pour autant que la vie de cambrioleur est un long fleuve tranquille. Les deux ne se connaissent pas vraiment et chacun va chercher à manipuler l'autre. Dans son immense château, Mac contrôle tout. Il sait tout, espionne sa voisine et ne lui accorde qu'une confiance limitée. En bon professionnel de la rapine, il semble toujours avoir une longueur d'avance sur elle et la police. Virginia Baker est toute aussi mystérieuse. Est-elle une voleuse ? Une simple agent d'assurances ? Joue-t-elle double ou même triple jeu ? Ce sont deux écoles qui s'affrontent. Celle de Mac à l'ancienne avec des gadgets old-school nécessitant une préparation minutieuse et des répétions. Celle de Virginia plus tournée vers les nouvelles technologies et l'informatique. Tourné à la toute fin des années 90, c'est un film d'action-espionnage, carré, bien réalisé, sans fausses notes et sans tous les effets spéciaux et les mouvements de caméra inutiles d'aujourd'hui. Le métier, l'élégance, l'intelligence, la finesse du jeu de Sean Connery y sont pour beaucoup aussi.
Loin d'être un monument du cinéma, « Haute voltige » nous propose un duo glamour avec Sean Connery et Catherine Zeta-Jones au service de leur passion : le cambriolage d’œuvres d’art. Des rebondissements permanents, des images superbes, un scénario sympathique avec un zeste d’émotion et une belle complicité. C’est conventionnel mais on ne s’ennuie pas et c’est déjà ça !
En 1999, le cinéaste Britannique Jon Amiel (Copycat) profite du fameux « bug de l'an 2000 » pour nous concocter un très bon film d'action sur fond de cambriolage impossible. Bien que le scénario soit totalement irréaliste, l'histoire est tellement bien racontée qu'on marche à fond dans la combine. Sean Connery est parfaitement crédible en voleur machiavélique et Catherine Zeta-Jones est tellement belle que sa seule présence à l'écran suffit à l'illuminer de 1000 feus. Côté technique, les effets spéciaux sont aussi discrets que réussis et le rythme du film ne souffre d'aucune faille. La tension est omniprésente pendant les scènes de cambriolages et on tremble en permanence pour nos deux compères qu'aucune difficulté ne semble pouvoir arrêter. L'histoire d'amour grandissante qui les unit peu à peu est également bienvenue et donne plus de profondeur aux personnages qu'on prend un réel plaisir à adopter. C'est donc peu dire que la réussite est au rendez-vous de ce divertissement au suspense parfaitement maîtrisé. Une œuvre commerciale, certes, mais qui remplit parfaitement son cahier des charges. Bravo !