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    L'Homme de Rio
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    3,8
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    Roub E.
    Roub E.

    983 abonnés 5 015 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mars 2020
    Dans l'homme de Rio Bebel se la joue Indiana Jones avant l'heure car il est difficile de ne pas voir tous les points communs de tons, d'ambiances et de notes d'intentions entre le film de De Broca et l'archéologue de Lucas et Spielberg qui débarquera sur les écrans 20 ans plus tard. A découvrir aujourd'hui, le film est un excellent divertissement, qui souffre souvent il faut le reconnaître d'un montage calamiteux mais ou il reste une volonté d'amuser, de divertir, de faire voyager qui fonctionne toujours. On suit un Belmondo qui saute, nage, se casse la gueule, re nage, pilote un avion, une moto (même si pour le coup sa doublure est trop voyante) et distribue mandales et bourres pifs dans une mémorable scène de baston dans un bar . C'est du cinéma populaire au sens noble du terme qui souffre par moment de son âge mais qui souvent reste bluffant et efficace.
    karpathakis y
    karpathakis y

    24 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 janvier 2020
    Rien à ajouter que ce qui a déjà été dit, simplement dire que ça fait au moins dix fois que je le regarde avec le même bonheur. Sa note est haute, faisons la monter encore !!!
    Romulax14
    Romulax14

    6 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 janvier 2020
    "L'homme de Rio", ou l'histoire d'un militaire en permission à la rescousse de sa fiancée prise en otage dans une sombre histoire de reliques sacrées en amazonie, nous dévoile un Belmondo encore jeune et ayant du dynamisme a revendre, tirant un scénario relativement complexe durant les 2h du film.
    Le jeu d'acteur est plutôt bon, même si perfectible dans les détails, mais on pardonne : on a vu bien pire.
    Les fans de Tintin seront ravis de chercher toutes les références aux bandes dessinées, relativement nombreuses et bien trouvées.
    Le scénario est riche et cela suffit-il? Hélas non, il l'est même un peu trop... Tout s’enchaîne, parfois habilement, parfois beaucoup moins: le film ne vous laisse jamais souffler 30 secondes, ce qui plaira à certains mais le rend assez lourd à suivre pour la plupart.
    Des erreurs grossières sont visibles, d'une main d'un technicien à une corde très mal camouflée en liane, le film souffre d'un vrai manque de perfection dans la mise en scène, voire peut-être le scénario qui laisse sur la fin, comme inachevé par manque de temps.
    L'homme de Rio reste un film à voir, au moins pour la culture ou pour le plaisir.
    natlin 06
    natlin 06

    32 abonnés 326 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2019
    un bon film avec belmondo dans ces premieres annees, le ton est donne deja , de cascades, de la baston, le tout avec beaucoup d'humour, du belmondo de classe deja,
    Ricco92
    Ricco92

    230 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2019
    L’Homme de Rio est souvent considéré (par Hergé lui-même) comme une adaptation cinématographique des aventures de Tintin. En effet, le film de Philippe de Broca reproduit le mélange d’aventures et d’humour des albums autour du reporter belge. Jean-Paul Belmondo, encore plus que dans Cartouche, est devenu un représentant du cinéma d’action à la française. À pied, dans les arbres, en moto, en voiture, en bateau, en avion ou en parachute : il nous offre un véritable festival de cascades (qu’il effectue en majorité lui-même). Toutefois, l’aspect humoristique est plus poussé que dans les bandes dessinées d’Hergé et le duo Belmondo-Françoise Dorléac est souvent source de rires. Comme à son habitude, de Broca cherche surtout à développé un aspect léger où l’action n’est jamais liée à la violence spoiler: (un bateau explose mais son pilote voltige dans les airs au lieu d’être brûlé vif)
    et où le vraisemblable ne possède qu’un aspect secondaire spoiler: (Adrien arrive toujours à rattraper ses adversaires même quand ceux-ci sont en voiture et lui à pied ! ; il réussit à monter dans l’avion pour Rio de Janeiro sans réel contrôle…)
    . De plus, le film joue beaucoup de l’exotisme, ce qui le rend très distrayant même si certains aspects peuvent laisser montrer des aspects plus dramatiques spoiler: (les héros sont sauvés grâce à la déforestation mais celle-ci laisse les indiens y habitant sur le bord de la route)
    . Ainsi, même si on peut trouver le film un peu long par son aspect redondant spoiler: (c'est une course-poursuite non-stop)
    et regretter les nombreux faux raccords (qui cherchent visiblement à donner une certaine forme de rythme), L’Homme de Rio est donc un film très divertissant qui ne cherche pas véritablement à dépasser ce statut mais qui réussit parfaitement dans son registre au point d’avoir remporté du succès même aux États-Unis (il a même été nominé à l’Oscar du meilleur scénario original) et d’avoir été une source d’inspiration des aventures d’Indiana Jones, revendiquée par Steven Spielberg lui-même.
    marmottefurieuse
    marmottefurieuse

    10 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2019
    Difficile de ne pas penser à l’œuvre d'Hergé dont notamment "l'Oreille Cassée" (la civilisation précolombienne, le vol au musée) les trois statuettes façon Licorne avec chacune un parchemin comme dans le Secret de la Licorne ou encore les Sept boules de cristal (la malédiction qui a touché un explorateur, les victimes plongées dans un sommeil profond avec un produit injecté). Difficile également de ne pas voir dans la scène où le professeur Catalan découvre le trésor de la civilisation Maltèque (inventée) une inspiration pour la scène de la découverte de l'idole avec Harrison Ford en Indiana Jones et du temple qui s'effondre. Pour le reste nous avons droit à une comédie sans temps mort avec Jean-Paul Belmondo plein d'énergie et de fougue qui saute, plonge, poursuit, cours, se bat et réalise ses acrobaties... Quant à Françoise Dorléac, elle incarne parfaitement la jeune femme quelque peu tête en l'air, dépassée par les évènements. Une comédie d'aventure très agréable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 mai 2018
    Viens de la revoir pour la énième fois. Que dire ? Un chef d’œuvre dans son genre qui est multiple. Évocation de l'univers de Tintin sans doute. Pas (peu) de temps morts, des acteurs idéaux dans une mise en scène et un scénario parfaits, bref LE BONHEUR ! ! !
    dougray
    dougray

    242 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 avril 2018
    Souvent cité comme un incontournable de la filmo du grand Jean-Paul Belmondo, "L’homme de Rio" faisait, pourtant, partie de mes gros retards de cinéphile. Sans doute étais-je trop attaché à l’image du Bébel flic qui, quoi qu’on en dise, a fait sa légende… Quoi qu’il en soit, ce retard est, désormais, rattrapé… et, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on se trouve devant un film particulièrement atypique qui ne manquera pas de dérouter le spectateur, à plusieurs niveaux. Le ton, tout, d’abord, surprend avec ses élans volontairement absurdes, voire cartonnesques, qui permettent à sa star de briller par ses cascades (comme toujours spectaculaires) et d’enfoncer définitivement le clou de l’acteur physique terriblement sympathique. Belmondo est, comme toujours, un formidable électron libre, à la fois séducteur et maladroit, viril et drôle, charismatique et faillible… et, surtout, il parvient à imposer son style si décontracté à son personnage, marque de fabrique qui ne le quittera plus tout au long de sa carrière. Même lorsqu’il est outrancier (notamment pendant le premier tiers du film), Bébel convainc, ce qui n’est pas un mince exploit. Il faut dire que le reste du casting est au diapason, à commencer par l’excellent Françoise Dorléac, dont le jeu très marqué (et très drôle malgré le côté "demoiselle en détresse" un peu trop présent) sied parfaitement à l’ambiance du film et offre un contre-poids intéressant à la star. Quant à Jean Servais, il campe un méchant merveilleusement classieux et impose le respect par le seul son de sa voix. Certes, le jeu de ce trio vedette apparaîtra forcément suranné pour la jeune génération, tout comme la lourdeur de certains gags qui ont vieilli prématurément le film. Il participe, néanmoins, au charme inclassable du film, qui parait tout droit sorti d'une BD. D'ailleurs, ne nous y trompons pas... Si "L’homme de Rio" est devenu un classique, c’est avant tout grâce à la mise en scène enlevée de Philippe de Broca et son histoire qui lorgne ouvertement vers les grands récits d’aventures pour la jeunesse (à commencer par "Tintin"). L’exotisme du récit, riche en paysage de rêves et en intrigues mystérieuse teintées d’archéologie, s’inscrit parfaitement dans son époque. Mais, plus étonnant, les références dont il se réclame ("Tintin", donc, mais également Hitchcock pour le côté plus "policier") ne l’ont pas empêché de se montrer, par moment, d’une épatante modernité… au point d’avoir redéfini les codes du cinéma d’aventures (notamment américain). Comment ne pas penser à Indiana Jones (lors de la séquence finale) ou à James Bond (qui n’en n’était qu’à son second opus lors de la sortie du film) ? Difficile d’imaginer, aujourd’hui, un film français avec une telle influence mondiale… Ce n’est pas par hasard si "L’Homme de Rio" ne cesse de se bonifier au fur et à mesure que l’histoire avance et s’enrichit de toutes ces références, sans jamais se prendre au sérieux. Les plans de début et de fin de film résument parfaitement cet état d’esprit. Une fois encore, tout n’est pas parfait dans ce film qui, une fois n’est pas coutume dans le filmo de Bébel, s’adresse en priorité à un jeune public et a, dès lors, tendance à se laisser aller à une certaine facilitée, par moment, sur le plan de l’humour. Il n’en demeure pas moins un spectacle incroyablement dépaysant (surtout en 1964, date de sa sortie) et un film d’aventure incontournable pour les fans de Belmondo.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    201 abonnés 2 519 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2018
    L'homme de Rio est un très bon film de Philippe de Broca mêlant avec succès humour et action.
    Le film a un petit air d'Indiana Jones avant l'heure. À croire que Spielberg s'était un peu inspiré de ce film. Les décors sudaméricains sont extrêmement immersifs et donne vraiment envie de s'aventurer là-bas.
    Bébel est excellent, impeccable dans ce registre. Françoise Dorléac est très bien aussi.
    L'action est plutôt réussie est reste divertissante à regarder aujourd'hui. L'humour marche très bien grâce à la bougonnerie de Belmondo et la fraîcheur de Dorléac. Les péripéties sont très nombreuses et on ne s'ennuie pas un seul instant.
    Un des classiques à voir de la filmographie de Belmondo.
    Michael R
    Michael R

    107 abonnés 1 270 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 décembre 2017
    La comédie d'aventure par excellence, façon Tintin, avec un Bebel sur ressort et un Brésil de carte postale.
    Newstrum
    Newstrum

    49 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2017
    Un grand classique du film d'aventure français avec un Belmondo virevoltant et une Françoise Dorléac charmante. Philippe de Broca y mélange les péripéties des albums de Tintin (il y a dans ce film une douzaine de références, au bas mot, aux BD d'Hergé) et ces jeux de l'amour qui font le sel de son cinéma. Voir ma critique complète sur mon blog : newstrum.wordpress.com
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    160 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 août 2017
    Le mètre-étalon de la comédie d'aventure moderne. Librement inspiré des Aventures de Tintin (en pagaille : L'Oreille cassée, Le Secret de la Licorne, Les 7 Boules de cristal,...), à l'origine des futurs Indiana Jones et autres OSS 117 signés Hazanavicius, « L'Homme de Rio » parvient à concilier grand spectacle et divertissement de haute volée, grâce à l'interprétation pour le moins excellente de Belmondo (qui réalise seul ses cascades, toutes plus improbables les unes que les autres) et de la regrettée Françoise Dorléac, qui portent à eux deux le film : Bebel (Adrien) en jeune homme athlétique et jamais à cours de ressources, embarqué malgré lui dans des aventures extraordinaires, et Dorléac (Agnès) en jeune femme impertinente, un brin agaçante (c'est ce qui fait son charme), objet de la quête de son compagnon, qui ira la chercher jusqu'au fin fond de l'Amazonie. Tout est réjouissant dans ce long métrage : le charme juvénile des deux principaux acteurs, un méchant machiavélique, les péripéties incroyables et les rebondissements incessants, les vues extraordinaires de la forêt amazonienne ou de Brasilia, encore vide et en construction à l'époque... mais surtout l'humour ravageur qui règne tout au long du film. La façon dont les héros ne se prennent pas au sérieux restera inimitable (excepté justement dans les Indiana Jones, et peut-être dans les 2 ou 3 premiers Pirates des Caraïbes), et confère au long métrage une fraicheur inaltérable : même s'il fait aujourd'hui très daté, « L'Homme de Rio » est toujours aussi bon... comme les Tintin ! Intemporel en somme, ce qui, pour un film de divertissement, sonne comme une réussite rare et appréciable ! Daniel Craig et Matt Damon, remballez vos affaires, rien ne remplacera un bon vieux Bebel, prêt à assommer une douzaine de brutes patibulaires à main nue ou à passer d'un immeuble à l'autre suspendu à un unique câble, à 30m de hauteur, pour sauver sa belle des griffes d'un odieux personnage, et ce à l'autre bout de la planète !
    Tristan A.
    Tristan A.

    14 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 août 2021
    Simplement culte !!!! L'homme de Rio est la plus grande réussite de Philippe de Boca, et surement le premier film qui commença à exposer Jean-Paul dans son personnage de Bébel. On y retrouve donc Adrien incarné par un Belmondo encore juvénile ( pas sans rappeler un singe en hiver ou à bout de souffle) et Agnès jouée par la fantastique Françoise Dorléac. Le film nous entraîne dans une chasse aux statuettes, avec des décors d'un Brésil des années 60 juste magique. Belmondo ( et ses cascades mythiques) met en valeur les paysages de Copacabana et de l'Amazonie ou la construction de Brasilia. on suit donc cette histoire avec des étoiles dans les yeux et en voulant découvrir le Brésil de 1963. Pas étonnant donc que ce film inspira un certain Spielberg pour faire ses Indiana Jones, ou qu'il adoré de Bobby Kennedy :)
    WalkthisWay
    WalkthisWay

    23 abonnés 670 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juillet 2017
    Le film a certes vieilli mais n'en demeure pas moins un classique du cinéma d'aventures français. Le héros que joue Belmondo, un peu comme le fait Tintin en bande-dessinée, traverse divers lieux, divers décors à l'autre bout de la planète en tentant de résoudre une énigme. Sans révolutionner le genre, le film est un pur divertissement.
    Yves S
    Yves S

    18 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2017
    Excellent créatif amusant aventureuxa du grand cinema populaire avec des acteurs remarquables dont bien sûr jean paul belmondo et Francoise Dorleac
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