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    L'Homme de Rio
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    169 critiques spectateurs

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    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    290 abonnés 2 850 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 août 2021
    jusqu'à Rio, un film sympathique, rythmé grâce à la fougue d'un Belmondo exalté et à la mise en scène experte et graphique de P. de Broca. un mélange de styles entre aventures exotiques, comédie, courses-poursuites. efficace et réussi tel une BD animée, un divertissement pour petits et grands même si daté et au prix de quelques arrangements avec les unités de temps et d'espace...
    Frederic From France
    Frederic From France

    65 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 août 2021
    Les débuts de Belmondo dans sa propre caricature "tac tac tagada", caricature qu'il ne cessera que rarement de jouer dans la suite de sa carriere. Mention spéciale aux bruitages... On passe le film à entendre des gens marcher, et quand il y a de l'eau, on devine le bruiteur qui remue ses doigts dans un lavabo. A fuir.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 794 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 juin 2021
    Parmi mes plus beaux souvenirs d'enfant c'est quand je me suis assis à la bibliothèque et je me suis plongé dans les Aventures de Tintin de Hergé. Elles avaient une qualité et une vision intemporelles tout comme l'époque à laquelle elles se déroulaient. Les personnages étaient tous étranges, mystérieux, suspicieux à l'exception du protagoniste (Tintin) et le monde était aussi simple que le bien et le mal. Les histoires étaient toujours bizarres mais en même temps laissent une idée du monde et très aventureuses. L'un des premiers était peut-être le plus grand d'entre eux est L'Homme de Rio de Philippe de Broca avec un film fortement influencé par L'Oreille cassée, Les Sept Boules de Cristal et Le Secret de la Licorne. Ce film est européen sophistiqué coloré et amusant dans son style. L'action vous saisit immédiatement et vous entraîne dans un tour de montagnes russes fantastique dans certaines des villes les plus séduisantes jamais filmées Rio et Brasilia. Belmondo est censé être en permission pour le week-end et s'absente pour sauver sa petite amie qui est kidnappée à l'aéroport d'Orly à Paris et traînée au Brésil où elle se retrouve mêlée à des voleurs de statues incas volées. Jean Paul Belmondo et Françoise Dorleac sont des interprètes très attachants et séduisants. Malheureusement Françoise Dorleac est décédée peu de temps après la sortie de ce film...
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    130 abonnés 2 326 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 avril 2021
    "L'Homme de Rio", comédie d'aventure franco-italienne réalisée par Philippe de Broca, sorti en 1964.
    Un scénario co-écrit par Jean-Paul Rappeneau, Ariane Mouchkine. Musique de Georges Delerue.
    Avec un formidable duo Jean-Paul Belmondo,/ Françoise Dorléac,
    Une très bonne comédie d'aventure, bien menée et bien réalisée.
    Voyages, humour, cascades, bagarres et rebondissements, sans aucun temps mort.
    Magnifiques décors, notamment dans la ville de Brasilia en train de sortir de terre.
    Du bon cinéma d'aventure à la française.
    stans007
    stans007

    19 abonnés 1 252 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2021
    Le scénario pourrait être signé Hergé avec dans le rôle principal Belmondo-Tintin à la recherche du trésor des Maltèques. Il nous transporte au Brésil avec de magnifiques images de Rio et de Brasilia en construction (homérique cascade de chantier) et se termine sur la déforestation amazonienne… Musique orféu-négrienne et une once d’humour permanente.
    Shiwamada
    Shiwamada

    36 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2021
    Philippe De Broca nous embarque dans une nouvelle aventure où Adrien, un jeune soldat en permission traque jusqu'à Rio les personnes qui ont enlevé sa fiancée. Ce film vaut pour le duo entre un Belmondo bondissant, fougueux dans ses gestes et ses textes, et une Françoise Dorléac ingénue et en même temps féministe. Elle doit être sauvée mais ne le veut pas vraiment, elle estime juste qu'on doit la mériter et l'homme de Rio fait tout ce qu'il faut pour. Les décors brésiliens, la complicité avec l'enfant, une histoire simple mais efficace, une forte dose d'humour de tous styles, qu'est-ce que j'aimerais qu'on soit encore capable de produire ce genre de film…
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    153 abonnés 1 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2020
    Philippe de Broca dirige Bébel pour la deuxième fois après Le bon Cartouche . 4 autres films suivront.
    On est dans la comédie d'aventures entre policier et pure comédie à travers le monde.
    C est fortement inspiré de l univers de Tintin d Hergé (La statuette ressemble fortement à la statuette de l oreille cassée ) avec dans le rôle de Tintin Bébel . D’ailleurs pour la petite histoire , Hergé a préféré l homme de Rio comme adaptation que les deux véritables adaptations (oranges bleues et toison d or )
    L acteur star joue un cabotin qui court et qui saute de partout et qui le fait bien .
    Le ton est sur-joué mais c est assumé pour donner du rythme au film .
    L’homme de Rio est un ovni cinématographique avec un scénario limité bénéficiant de dialogues recherchés et de scènes d’action poursuite superbes , une des meilleures adaptations de Tintin .
    A noter que Steven Spielberg s'est inspiré de l homme de Rio pour faire Indiana Jones .
    La scène du soleil dans le désert ressemble fortement à la scène avec les trois statuettes .
    Zeugax Ouvier
    Zeugax Ouvier

    17 abonnés 145 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 octobre 2020
    Faut s'accrocher pour suivre, film plat sans aucun humour ni bien sur second degré.
    10 ans plus tard, ils feront beaucoup beaucoup mieux
    ronny1
    ronny1

    31 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 août 2020
    Passerelle entre les aventures de Tintin et celles d’Indiana Jones « L’homme de Rio » fut une révolution dans le cinéma français. Philippe de Broca, grand admirateur d’Hergé, est très influencé par le cinéma américain. Il en reprend les codes essentiels. L’aventure effrénée, les cascades spectaculaires (assumées par Belmondo lui-même), le héros quasiment indestructible, malgré la souffrance physique, et le personnage féminin qui existe vraiment, à l’opposé des utilités sexy et décoratives des films d’espionnages britanniques, avec les James Bond girls en tête de gondole. Car la sublime Françoise Dorléac, au tempérament de feu, est à la fois une irrésistible ingénue, sensuelle et câline, mais également une excentrique capricieuse, volontaire, autoritaire et dynamique. La scène de la samba avec Sir Winston est un grand moment, qui dans le contexte résume assez bien le côté explosif de cette bombe aussi inconsciente qu’opiniâtre. Son personnage, parfois insupportable de mauvaise fois (« Tu feras toujours de moi ce que tu veux »), fleure les relents douteux de la misogyne Nouvelle Vague (De Broca étant considéré à l’époque comme une espèce de Goddard pas sérieux, donc dévalué). Le réalisateur dut batailler ferme pour l’imposer vis à vis d’une production qui s’orientait davantage sur la célébrité que sur le tempérament. Face à elle, notre (futur) Bebel national, se démène, transpire, risque sa vie, se roule dans la terre rouge de la gigantesque Brasilia en construction, là où un James Bond aurait essuyé avec désinvolture une vague trace de poussière égarée un revers de manche. Au-delà de la filiation bande dessinée d’Hergé (la pellicule d’André Séchan magnifie les favelas de Rio, la jungle luxuriante et Brasilia) et des serial movies d’avant guerre, comme dans la plupart des grands films américains, le héros paie de sa personne, avec une intensité inconnue en Europe dans ce genre de cinéma. De même, les deuxièmes rôles sont très bons, de Jean Servais à Adolfo Celi et Silmone Renant (impressionnant numéro au sein d’une séquence qui s’achève avec l’inévitable bagarre de saloon), en passant par Roger Dumas (Lebel) et Ubiracy De Oliveira (Sir Winston). En ajoutant la virtuosité permanente de la mise en scène, la musique superlative de Georges Delerue et les dialogues de Daniel Boulanger sur son scénario co-écrit avec Jean-Paul Rappeneau, Ariane Mnouchkine et Philippe de Broca, plus d’un demi siècle après sa sortie, le déroulé reste toujours aussi prenant. Car en dépit de son emballage de comédie, l’enchaînement haletante des péripéties ne faiblit pas un instant, et les quelques rares respirations permettent à peine de reprendre son souffle. C’est dire, si lors de sortie en 1964 le film fut reçu avec un certain succès (quatrième au nombre d’entrées avec 4,8 millions), mêlé de stupéfaction et d’admiration. Steven Spielberg reconnaît l’influence de « L’homme de Rio » dans la genèse d’Indiana Jones, et considère Philippe de Broca comme un très grand. Comme Hollywood l’a démontré si souvent, le cinéma de pur divertissement peut aussi produire des chefs d’œuvres tel que « L’homme de Rio ».
    Alasky
    Alasky

    314 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mai 2020
    Un plaisir que ce film d'aventure au coeur des paysages brésiliens. C'est divertissant, rythmé, drôle par moments, et toujours efficace. Belmondo enchaîne les cascades et Françoise Dorléac est sublime et pétillante. Ça fonctionne encore aujourd'hui, avec un côté vintage sympa.
    CH1218
    CH1218

    175 abonnés 2 810 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mai 2020
    Dépaysant, drôle et trépidant, il y a beaucoup de Tintin dans « l’Homme de Rio ». Tel un grand sportif dans la fleur de l’âge, Jean-Paul Belmondo n’arrête pas une seule seconde, prêt à tout pour retrouver sa fiancée, Françoise Dorléac, dans ce Brésil des années 60. Le film de Philippe de Broca n’est ni plus ni moins que l’un des plus grands classiques du cinéma d’aventure made in France. A tel point qu’un certain Spielberg s’en est inspiré pour son premier Indiana Jones.
    Stephenballade
    Stephenballade

    373 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 avril 2020
    Si je vous dis "L’homme de Rio", ça évoque quoi pour vous ? Belmondo, bien sûr ! Bébel : aaaah Bébel… Assurément, voilà notre Bébel national dans un rôle taillé sur mesure offert par un certain Philippe de Broca qui, au cours de sa deuxième collaboration avec l’acteur (il y en aura cinq en tout), obtiendra là son plus grand succès en salles. Il faut dire que Bébel est jeune, en pleine forme et ça se voit. Outre son apparence encore un tantinet juvénile, il n’y a qu’à le voir évoluer : plein de fougue, il marche d’un bon pas, fonce tête baissée dans l’action, et tout cela grâce à la relative insouciance de la jeunesse ; du Bébel pur et dur, comme on l’aime, en pleine possession de ses aptitudes physiques, littéralement bondissant, lui qui faisait lui-même toutes ses cascades. Mais ça évoque aussi une époque où le cinéma français se portait à merveille, un cinéma français qui osait du divertissement avec de l’aventure et du dépaysement, ici avec une influence apportée par les bandes dessinées d’Hergé (c’est-à-dire Tintin). On saura plus tard que Steven Splielberg en personne s’inspirera de "L’homme de Rio" pour concevoir son premier Indiana Jones, à savoir ""Les aventures de l’arche perdue". En attendant, le spectateur est mis tout de suite dans l’ambiance (brésilienne, dois-je le préciser) par un générique très coloré sous un air de samba. L’histoire débute pourtant à Paris pour une implantation efficace de l’histoire, mais pas seulement. Le genre se trouve lui aussi bien lancé, car le scénario ne s’étale pas dans les détails en allant directement à l’essentiel, ce qui a pour avantage de donner tout de suite du rythme au déroulé de l’histoire. Même un petit vieux ne va pas être déçu du voyage à l’aéroport, aussi court soit-il ! Une certaine nostalgie peut se dégager en voyant ou revoyant ce film, pourtant plombé par des scènes pas vraiment bien faites (on voit bien que ce sont des pétards simulant les impacts de balles quand Adrien se fait tirer dessus au lieu de rendez-vous), ou des erreurs scénaristiques (une portière de voiture ouverte sur un plan, fermée sur le plan suivant, laissée de côté par le héros perché sur un vélo de fortune). Les dialogues ne sont pas toujours très fins. Quant à l’alcool, vis-à-vis duquel des mises en garde sont aujourd’hui légion, il est décliné comme une véritable potion magique lors de la bagarre générale. De quoi rappeler d’une certaine manière les légendes de l’Ouest américain avec ses bagarres dans les saloons. Oui, une petite touche américaine déjà amorcée par l’apparition de la chanteuse Lola (Simone Renant). Malgré quelques petites choses perfectibles, notons quand même une prestation haute en couleurs de Françoise Dorléac alors que le réalisateur a dû batailler ferme avec les producteurs pour l’imposer, pour parvenir à une belle réussite. En effet, autant elle ne manque pas d’air en début de film, autant elle se lâche comme si elle avait été vraiment droguée. Et quand je dis qu’elle se lâche, c’est un euphémisme ! C’est à croire qu’elle révèle des côtés insoupçonnés de sa personnalité. En tout cas, de son personnage. Et puis on notera quelques phrases succulentes de double sens, comme un fameux « bouclez-la ». On notera aussi une construction assez habile, dans le sens que le casse qui lance le film nous fait partir sur une chasse au trésor pour dériver sur une affaire bien plus lucrative. Sans compter que le long métrage brouille plutôt bien les pistes sur l’auteur du larcin. Mais, à être au Brésil, comment ne pas résister à montrer l’air de rien les ravages de la déforestation massive de l’Amazonie ? Voilà que Philippe de Broca associe le divertissement et l’aventure avec un message écologique ! C’est succinct, mais ça a le mérite d’être dit. Nous étions en 1964, mais rien n’a changé. Et comme pour édulcorer cette banderille, de Broca finit par une petite note d’humour sarcastique en mettant en comparaison les aventures du compagnon d’armes d’Adrien avec celles de ce dernier, sans que celui-ci ne les révèle. Assurément un bon film, certes perfectible mais au moins, "L’homme de Rio" a le mérite de nous offrir un bon divertissement sans avoir à trop réfléchir.
    Roger KUSTNER
    Roger KUSTNER

    69 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 avril 2020
    Un film qui a très mal vieilli...
    Il était probablement considéré comme plus amusant à son époque, mais les facéties grotesques s'enchaînent au point d'en devenir lassants !
    brianpatrick
    brianpatrick

    78 abonnés 1 564 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 avril 2020
    Magnifique. L'un des plus grands films Français. Bon, peut être parce que je suis un fan absolu de Belmondo. Donc jugement pas paritaire. Mais bon, magnifique tout simplement.
    Roub E.
    Roub E.

    804 abonnés 4 887 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mars 2020
    Dans l'homme de Rio Bebel se la joue Indiana Jones avant l'heure car il est difficile de ne pas voir tous les points communs de tons, d'ambiances et de notes d'intentions entre le film de De Broca et l'archéologue de Lucas et Spielberg qui débarquera sur les écrans 20 ans plus tard. A découvrir aujourd'hui, le film est un excellent divertissement, qui souffre souvent il faut le reconnaître d'un montage calamiteux mais ou il reste une volonté d'amuser, de divertir, de faire voyager qui fonctionne toujours. On suit un Belmondo qui saute, nage, se casse la gueule, re nage, pilote un avion, une moto (même si pour le coup sa doublure est trop voyante) et distribue mandales et bourres pifs dans une mémorable scène de baston dans un bar . C'est du cinéma populaire au sens noble du terme qui souffre par moment de son âge mais qui souvent reste bluffant et efficace.
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