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    L'Homme de Rio
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    Michael78420
    Michael78420

    44 abonnés 1 338 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 décembre 2021
    C'était sûrement génial en 1964, mais vu en 2021, c'est vraiment moyen. Alors bien-sûr, on est content de voir Jean-Paul Belmondo dans ses œuvres, faisant toutes sortes de cascades et faisant succomber les femmes par son charme irrésistible. Mais la mise en scène à beaucoup vieilli. À tel point qu'on se croirait dans un Tintin ! Soudain le héros se retrouve au pied d'immeubles sans vie au milieu de nulle part. On ne comprend pas toujours où il va. Il court après des voitures en dépit du bon sens. Une scène de bagarre générale frise le ridicule. Belmondo a-t-il sauté en parachute ? Malgré les inspirations suscitées par L'Homme De Rio (OSS117 : Rio Ne Répond Plus, Les Aventuriers De L'Arche Perdue) difficile de l'apprécier si on ne l'a pas vu dans les années 1960-1970.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    116 abonnés 1 593 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 novembre 2021
    1964 et pourtant d’une modernité absolue, ce film révèle les qualités incroyables de mise en scène dont fait preuve le jeune Philippe De Broca, un cinéaste français sous-évalué. D’un scénario assez maigre, d’un budget ridicule et avec une équipe super réduite, il parvient à faire un film d’aventure haletant de bout en bout ; une obsession guide ce film, maintenir le rythme. Tourné comme une course poursuite de 1h40, il fait preuve sans cesse d’invention au niveau de la mise en scène afin de ne pas lasser le spectateur. On suit donc Belmondo et Dorléac de Paris à Rio pour clore à Brasilia en pleine construction dans une sorte de frénésie autour d’un mystérieux trésor et de statuettes amérindiennes. Déjà rien que pour les scènes tournées à Brasilia, ville en pleine construction qui deviendra capitale, c’est magique. Ensuite, Philippe de Broca, et sans chauvinisme puisque Spielberg dira s’être inspiré de ce film pour créer Indiana Jones, pose les bases du film d’aventure moderne. Belmondo réalise ici parmi ses cascades les plus périlleuses en mode Tintin des 60’s. La faiblesse du scénario par contre finit par limiter l’intérêt du film à un exercice de style.
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    benoit_lb
    benoit_lb

    2 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 novembre 2021
    En 1964, Belmondo n’était pas encore Bebel, mais Rio n’était déjà plus la capitale du Brésil, titre qu’elle avait abandonné quatre ans plus tôt à Brasilia qui poussait lentement au milieu de nulle part selon les plans d’Oscar Niemeyer. Lorsqu’il crée « L’homme de Rio », Philippe de Broca n’a alors qu’à l’esprit d’en faire un film d’aventure divertissant à l’exotisme prononcé, qui devait trouver son public dans les salles françaises. Près de soixante ans ont passé : « L’homme de Rio » n’est aujourd’hui pas seulement ce récit d’aventures sous les Tropiques qu’avait imaginé son auteur, il est devenu une véritable légende mais aussi un témoignage hors pair du passé, de ce Rio coloré et rieur des années 1960, de ce Brasilia en construction, concentré de soleil, de poussière et de ciment frais et de cette Amazonie sauvage jusqu’alors épargnée par l’homme. Revoir Belmondo courir au petit matin en smoking blanc et mocassins sur le parvis de la Cathédrale de Brasilia, jouer au funambule quelques instants plus tard entre deux immeubles en construction avant de zigzaguer entre les différents bâtiments ministériels de l’Axe monumental au volant d’un vieux zingue fauché font partie de ces moments de cinéma qui restent gravés dans la mémoire. Retrouver Françoise Dorléac, formidable en fiancée encombrante plus préoccupée par la couleur de sa voiture de location (forcément rose avec des petites étoiles vertes) que par le danger qu’elle court en étant malgré elle placée au centre du jeu macabre des statuettes volées, ne peut que susciter l’émotion. Une actrice dont on aurait aimé que la carrière soit aussi longue et couronnée d’éclats que celle de sa jeune sœur.
    Une fois tournée la page nostalgie, concentrons-nous sur le film, cocktail millimétré d’action et d’humour où les course-poursuites, les scènes de bagarres et les cascades s’enchaînent à un rythme endiablé. Belmondo n’a jamais le temps de souffler : il saute, il court, il plonge, il nage, il emprunte mille et un moyens de locomotion, il improvise au quart de seconde. L’efficacité de la mise en scène de De Broca et la fluidité du montage permettent de tenir le spectateur en haleine de bout en bout. Les scènes superficielles n’existent pas. Le duo Belmondo – Dorléac fait mouche à chaque instant et apporte au film toute sa fougue, sa jeunesse et sa fraîcheur, bien aidé en cela par une multitude de personnages secondaires dont on apprécie la justesse de l’interprétation que ce soient Jean Servais en manipulateur froid, machiavélique et déterminé ou Adolfo Celi en pionnier brésilien du béton armé aussi sympathique que naïf. En revanche, le jeu de Daniel Ceccaldi en flic parisien benêt prête à l’agacement.
    Les films d’action ou les comédies populaires à la française ont toujours eu un côté franchouillard qui ont fait leur marque de fabrique. On retrouve ce côté franchouillard avec d’autant plus d’évidence dans « L’homme de Rio » que le personnage d’Adrien Dufourquet qu’interprète Belmondo, bidasse bisontin en manque de repères dans ce Brésil gigantesque dans lequel il vient d’être précipité malgré lui, éprouve sans cesse le besoin de comparer ce qu’il découvre à ce qu’il connaît. Ce côté franchouillard s’éclipse néanmoins lors des dernières scènes du film pour laisser la place à un message plus universel sur le poids de l’action de l’homme sur la nature, message qui résonne avec d’autant plus d’acuité soixante ans après au regard de l’état alarmant de notre planète. Ainsi la tribu d’indiens qui observe d’un œil hagard des engins monstrueux percer une route en plein cœur de leur territoire fait aujourd’hui écho à la destruction perpétuelle de la forêt amazonienne. De Broca avait-il un côté précurseur que nous ne soupçonnions pas, en plus d’être un metteur hors pair de films d’action ? Télérama qualifie régulièrement « L’Homme de Rio » de « plus grand film de divertissement français de tous les temps ». Ils ont certainement raison.
    noizet
    noizet

    4 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 octobre 2021
    quelle pantalonnade ! ce n'est ni un film comique ni un film d'aventure.
    il y a un miracle toutes les 5 minutes, qui sauve le héros chaque fois qu'il est en difficulté
    Belmondo dans le rôle du brave type qui n'a âs inventé l'eau tiède devient vite lassant.
    sa petite amie qui boxe dans la même catégorie est tioute aussi agaçante.
    le scénario est digne d'une bande dessinée pour enfants de 10 à 12 ans.
    je laisse donc ça aux enfants ...
    Sava Pa
    Sava Pa

    6 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 octobre 2021
    Que c'est mal joué, que le scénario est simpliste !
    Belmondo fait du Belmondo, Françoise Dorleac est très belle, les autres acteurs sont mauvais pour la plupart.
    J'ai vu ce film il y a très longtemps, j'ai essayé de le revisionner sans parvenir à passer la première demi heure.
    L'arrivée à Rio et l'errance sans intérêt de Bebel pendant 10 minutes m'ont achevé.
    1.5 pour les références à Tintin, et c'est généreux.
    shuffleup
    shuffleup

    3 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 septembre 2021
    Les débuts du Bebel bondissant.
    Scénario au rythme effréné, inventif, bourré d'idées, abracadabrant, et très drôle. On pense beaucoup à Tintin, un peu à James Bond, à cause des décors naturels. Une baston dans un bar louche préfigure celles de Bud Spencer.
    Pour l'aspect archéologique, quelques plans révèlent bien l'inspiration de Spielberg pour son Indiana Jones.
    Philcroc
    Philcroc

    45 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2021
    Tout d'abord un grand moment pour le cinéma français que la sortie de "L'homme de Rio" en 1964 ! Quelle claque avec cette production française hollywoodienne et ce grand film d'aventure réalisé par Philippe de Broca ! Entre les aventures de tintin, ceux de l'Arche perdue ou d'un James Bond de la même époque...Cet OFNI (objet filmé non identifiable) nous emmène avec bonheur sur les traces bondissantes de Belmondo à l'autre bout du monde : au Brésil magnifiquement filmé et rien que pour cela on en a plein les yeux, en suivant cette histoire si bien rythmée d'enlèvement et de statuettes maltèques avec plein de rebondissements, de cascades et de retournements de situation . Il faut parler aussi de la présence merveilleuse de Françoise Dorléac, si tôt regrettée pour le cinéma français qui partage l'aventure aux côtés de Bebel en formant un couple plein de vie, de surprises et d'humour. Enfin, quelques superbes plans avec une belle photographie, une musique et le reste du casting à la hauteur en font un très grand film de divertissement français à voir au moins une fois.
    Alain D.
    Alain D.

    530 abonnés 3 230 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2021
    Salut l'ARTISTE. En hommage à sa disparition, le petit écran rediffuse "L'Homme de Rio". En course à pieds, a moto, à vélo et même en avion, quel plaisir de retrouver notre Bébel national au Brésil, dans ses cascades folles. Même s'il a quelque peu vieilli, ce film d'aventure mouvementé réalisée par Philippe de Broca en 1964, nous offre une belle prestation d'acteur de Jean Servais, et une histoire bien rythmée signée Jean-Paul Rappeneau.
    Ducerceau
    Ducerceau

    13 abonnés 582 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 septembre 2021
    Une histoire à la Tintin, entre OSS 117 et Indiana Jones. Avec un Belmondo jeune et flamboyant qui court partout après une Françoise Dorléac encore pleine de vie. Et on nous fait visiter le Brésil avec Rio et surtout Brasilia en pleine expansion du tourisme de masse. Sans oublier de dénoncer déjà le massacre de la forêt amazonienne. Ceci dit, se mettre à 4 pour écrire un scénario aussi faible...
    Michael
    Michael

    18 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2021
    Film d aventure à la Française des années 60 .
    Comme souvent la collaboration Belmondo De Broca fonctionne à merveille , l.un.filme avec maestria tandis que l autre illumine l écran.
    Il n y aucun temps mort , un.humour bien présent du début à la fin.
    Belmondo campe un personnage digne d une bande dessinée et formé avec Françoise Dorleac un duo irrésistible au milieu des paysages brésiliens.
    Une vraie reussitte
    Alexcherbourg
    Alexcherbourg

    19 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 septembre 2021
    Film bourré d invraisemblances, les acteurs eux-mêmes ne semblent pas y croire. Ils sont mauvais du début jusqu'à la fin. Il est vrai que le film part mal avec le jeu outrancier de Daniel Ceccaldi qui à défaut d être drôle est totalement ridicule. Le personnage de Françoise Dorleac est la caricature de la potiche nunuche. Le film ne vaut d être vu que pour sa culture personnelle. En effet, Steven Spielberg qui adore le film en a fait de nombreux emprunts dans ses Indiana Jones.
    LAvisDuNeophyte
    LAvisDuNeophyte

    3 abonnés 423 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 septembre 2021
    Beaux paysages d'aventure façon Tintin ou Indiana Jones. Pas d'immense intérêt sinon. La chute est drôle.
    Fabien S.
    Fabien S.

    491 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2021
    Un très bon film d'aventure de Philippe de Broca avec Jean Paul Belmondo et Françoise Dolerac, la sœur regrettée de Catherine Deneuve.
    RODRIGUOH
    RODRIGUOH

    1 abonné 24 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 septembre 2021
    film malheureusement très misogyne. Misogynie qui n'apporte absolument rien ni l'histoire ni propos. Le reste est bien.

    La cinématographie est impeccable, visuellement c'est une claque. Les plans sont grandioses et colorés. a l'inverse le son est un échec complet, les dialogues sont parfois étranges et les sfx sont très modestes lors des scènes où ça bouge pourtant beaucoup.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 481 abonnés 7 303 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 septembre 2021
    Le soldat de 2è classe Adrien Dufourquet avait sans nul doute imaginé occuper sa permission d’une toute autre façon, aux côtés de sa fiancée. Au lieu de cela, il se retrouve malgré-lui au cœur d’une traque haletante entre Paris, Rio et l’Amazonie.

    Pour leur deuxième collaboration, Philippe de Broca & Jean-Paul Belmondo quittent l’univers du film historique (Cartouche - 1962) pour celui de l’aventure, à travers un road-trip entrainant la star dans une course folle pour contrecarrer des voleurs à la recherche de statuettes précolombiennes.

    Grand classique pour certains, panthéon du film d’aventure pour d’autres, je dois bien l’admettre, non seulement j’ai toujours eu du mal avec Jean-Paul Belmondo mais je suis aussi et surtout, resté hermétique au film pendant quasi toute la durée de ce dernier. Pourtant, je dois bien l’admettre, L'Homme de Rio (1964) est un sympathique film d’aventure familial, il n’y a aucun doute là-dessus. Le souci se trouve ailleurs, notamment dans la mise en scène où le film met un certain temps pour se lancer, avant de nous entraîner dans une traque bêtement étirée et sans discontinue (on est dans le registre de la comédie j’en ai bien conscience, mais ça n’a pas fonctionné avec moi). Ajouter à cela les innombrables coupes de prises que l’on ne cesse de voir tout au long du film, aussi bien lors de la poursuite à moto que dans la jungle où Bébel s’élance de lianes en lianes. Sans parler des nombreux passages dénués du moindre dialogue (la longue poursuite sur le chantier ou dans la jungle), pourquoi ?

    Bien évidemment, les fans de la première heure de Belmondo ne pourront que tomber sous son charme, il nous apparait charmeur, beau parleur & inépuisable, il était l’acteur désigné pour ce rôle, il n’y a pas de doute. Il est sans cesse à 100 à l’heure, il cavale, saute, vole, nage, il en deviendrait presque épuisant. S’en est même impressionnant de faire le calcul des innombrables modes de transport qu’il utilise dans film pour retrouver sa chère et tendre (moto, avion, tracteur, tramway, ski nautique, voiture, vélo ou encore bateau). Impossible de ne pas repenser à certaines bandes dessinées et plus particulièrement à Tintin (rien de très surprenant à cela, quand on sait que Philippe de Broca avait failli réaliser la première adaptation live du célèbre reporter), les similitudes sont nombreuses, pour peu que vous connaissiez les albums par cœur, vous devriez aisément les reconnaître.

    C’est rythmé, les paysages sont superbes, entre l’Amazonie et Brasília (qui était encore au stade de la construction, les plans sont assez dingues), les références sont nombreuses tout au long du film et malgré tout cela, je dois le reconnaître, j’ai trouvé le temps long plus d’une fois. Rares sont les fois où je parvenais à esquisser un sourire (excepté la scène de la bagarre dans le bar), sans doute est-ce le trop plein d’humour bon enfant qui, à la longue, finissait par me lasser…

    Rappelons enfin que ce film aura au moins eu le mérite d’avoir inspiré Steven Spielberg lorsqu’il réalisa Indiana Jones et les Aventuriers de l'arche perdue (1981), ça, c’est un gage de qualité. Il ne me reste plus qu’à le revoir d’ici quelques années en espérant m’en faire un tout autre avis.

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