AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,8
2002 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur L'Homme de Rio ?
5
36 critiques
4
54 critiques
3
55 critiques
2
14 critiques
1
8 critiques
0
3 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Bon, commençons par ce qui ne va pas : le scénario et ses incohérences, certaines cascades à 2 balles (bon, on est en 1968, on ne va pas être trop exigeant), des faux-raccords en pagaille : tout cela pourrait entacher le film. Et bien, pas complètement. Je pense en grande partie grâce à la présence de Bébel. Il va, il virevolte, il saute, il amuse et cela rend ce film distrayant. On passe un bon moment, en ayant pris bien soin de mettre son cerveau de côté.
De plus on découvre des paysages exotiques, et même Brasília, la capitale brésilienne au début de sa construction, alors qu'elle n'est que peu habitée. Cela a du d'ailleurs faciliter le tournage.
A voir par les amateurs de comédie et de Bébel bien entendu.
De plus on découvre des paysages exotiques, et même Brasília, la capitale brésilienne au début de sa construction, alors qu'elle n'est que peu habitée. Cela a du d'ailleurs faciliter le tournage.
A voir par les amateurs de comédie et de Bébel bien entendu.
Yves G.
J'ai découvert la meilleure adaptation de Tintin au cinéma ! Il s'agit de "L'homme de Rio" qui ressort au Champo
Mené à un rythme infernal, ce film de Philippe de Broca emprunte son scénario à "L'oreille cassée". Jean-Paul Belmondo n'est pas journaliste au petit Vingtième mais soldat de 2ème classe. Il n'a pas de fox-terrier à poil dur mais une fiancée que des individus patibulaires kidnappent en plein Paris. Il court la sortir de leurs griffes jusqu'à Orly et se retrouve ... à Rio de Janeiro. S'engage une folle poursuite jusqu'à Brasilia - qui sortait à peine de terre - sur les traces d'une mystérieuse statuette indienne.
On ne souffle pas un seul instant aux côtés de Bebel et de sa fiancée, Françoise Dorléac (tellement plus piquante que sa blonde de sœur). On court, on plonge, on escalade, on rebondit, on évite les coups de feu et les coups de poings.
On a bientôt 77 ans ... mais on a toujours 7 ans !
Mené à un rythme infernal, ce film de Philippe de Broca emprunte son scénario à "L'oreille cassée". Jean-Paul Belmondo n'est pas journaliste au petit Vingtième mais soldat de 2ème classe. Il n'a pas de fox-terrier à poil dur mais une fiancée que des individus patibulaires kidnappent en plein Paris. Il court la sortir de leurs griffes jusqu'à Orly et se retrouve ... à Rio de Janeiro. S'engage une folle poursuite jusqu'à Brasilia - qui sortait à peine de terre - sur les traces d'une mystérieuse statuette indienne.
On ne souffle pas un seul instant aux côtés de Bebel et de sa fiancée, Françoise Dorléac (tellement plus piquante que sa blonde de sœur). On court, on plonge, on escalade, on rebondit, on évite les coups de feu et les coups de poings.
On a bientôt 77 ans ... mais on a toujours 7 ans !
Un film sympathique porté par un duo en alchimie à l'écran : Belmondo et Françoise Dorleac. Un film d'aventure pour petits et grands mais qui a énormément de problème techniques découpage, faux raccords etc mais cela doit sans doute participer au charme du film.
Les années 60, Bebel, Françoise Dorleac, le Brésil, le service militaire, le pied quoi, comme ce film. Mon meilleur Belmondo.
quel divertissement ce film , et Bebel toujours aussi classe avec sa gueule de gentleman boxeur ,ça n’arrête pas une minute mise en en scène classique mais efficace
La meilleure vraie-fausse adaptation de « Tintin ». Mise en scène alerte et audace formelle dans les scènes d’action, proches de l’abstraction, Philippe de Broca en impose et opère la rencontre explosive entre cinéma hollywoodien (ampleur de la mise en scène, richesse visuelle, rythme effréné) et nouvelle vague (liberté de la narration, vitalité du filmage en décors naturels, Belmondo et son jeu décalé). Un sentiment d’allégresse domine, irréel et fantaisiste, une volonté forcenée de sortir de la monotonie quotidienne qui se fait presque déchirante. Le film bénéficie grandement d’un Belmondo virevoltant et cabotin, dont on ne se lasse pas d’admirer la grâce. Si le rythme s’essouffle parfois (surtout dans la dernière demi-heure) et les seconds rôles ne sont pas toujours à la hauteur, l’ensemble a une tenue impressionnante pour l’époque (il tient sans mal la comparaison avec Goldfinger de la même année, par exemple – avec un réjouissant sens de l’absurde en plus). Certes, « L’homme de Rio » a un peu vieilli, mais se regarde toujours avec plaisir… si l’on a su garder son âme d’enfant. A noter l’influence du film sur Spielberg qui reprendra, entre autres, le dispositif lumineux final pour découvrir l’emplacement de l’Arche dans « Les Aventuriers… »
Un bon film d' aventures Français dépaysant , avec de beaux paysages de l'Amérique du Sud , du suspens , de l' action et un peu d' humour .
Jean Paul Belmondo y fait lui même ses cascades impressionnantes et spectaculaires .
Jacky Chan , grand fan de Jean Paul Belmondo , s' en ai inspiré pour faire à son tour , ses propres cascades dans ses films .
Philippe de Broca s'est inspiré des Bandes Dessinés de Hergé : " Les aventures de Tintin " pour faire ce film .
Et Steven Spielberg s' est inspiré à son tour de ce film " L' homme de Rio " , pour faire le film : " Les aventuriers de l' arche perdue " ( Le premier Indiana Jones ) .
Un nouveau genre du cinéma d' aventures était né !
Jean Paul Belmondo y fait lui même ses cascades impressionnantes et spectaculaires .
Jacky Chan , grand fan de Jean Paul Belmondo , s' en ai inspiré pour faire à son tour , ses propres cascades dans ses films .
Philippe de Broca s'est inspiré des Bandes Dessinés de Hergé : " Les aventures de Tintin " pour faire ce film .
Et Steven Spielberg s' est inspiré à son tour de ce film " L' homme de Rio " , pour faire le film : " Les aventuriers de l' arche perdue " ( Le premier Indiana Jones ) .
Un nouveau genre du cinéma d' aventures était né !
Un grand divertissement populaire comme les productions françaises ne savent plus nous en offrir. Porté par Belmondo dans la force de l'âge, le film étonne par l'ambition de ses cascades, l'humour et la cocasserie qui l'habitent, ainsi que par le charme mutin de Françoise Dorléac. On regrettera la mise en scène souvent sacrifiée aux coïncidences pour faire avancer le récit à tout prix. Mais cette facilité n'empêche pas "L'Homme de Rio" de faire plaisir, surtout au regard des œuvres navrantes et ennuyeuses proposées aujourd'hui par le cinéma français.
Le scénario pourrait être signé Hergé avec dans le rôle principal Belmondo-Tintin à la recherche du trésor des Maltèques. Il nous transporte au Brésil avec de magnifiques images de Rio et de Brasilia en construction (homérique cascade de chantier) et se termine sur la déforestation amazonienne… Musique orféu-négrienne et une once d’humour permanente.
Après le superbe "Cartouche", De Broca et Belmondo signe "L'homme de Rio", film d'aventure digne d'une des meilleures BD de Tintin. Scénario qui se tient, humour sympa, paysages magnifiques, péripéties trépidantes, tous ce qu'il faut pour passer un excellent moment de détente. Un petit joyau du cinéma français.
Rien à ajouter que ce qui a déjà été dit, simplement dire que ça fait au moins dix fois que je le regarde avec le même bonheur. Sa note est haute, faisons la monter encore !!!
C’était censé être le film à l’origine du mythe de Indiana Jones mais c’est en fait une campagne publicitaire promotionnelle pour le Brésil notamment les images ternes de Brasilia, le film a vieilli notamment dans ses effets spéciaux mais reste un film d’aventure distrayant des premiers années de Belmondo
Difficile de ne pas penser à l’œuvre d'Hergé dont notamment "l'Oreille Cassée" (la civilisation précolombienne, le vol au musée) les trois statuettes façon Licorne avec chacune un parchemin comme dans le Secret de la Licorne ou encore les Sept boules de cristal (la malédiction qui a touché un explorateur, les victimes plongées dans un sommeil profond avec un produit injecté). Difficile également de ne pas voir dans la scène où le professeur Catalan découvre le trésor de la civilisation Maltèque (inventée) une inspiration pour la scène de la découverte de l'idole avec Harrison Ford en Indiana Jones et du temple qui s'effondre. Pour le reste nous avons droit à une comédie sans temps mort avec Jean-Paul Belmondo plein d'énergie et de fougue qui saute, plonge, poursuit, cours, se bat et réalise ses acrobaties... Quant à Françoise Dorléac, elle incarne parfaitement la jeune femme quelque peu tête en l'air, dépassée par les évènements. Une comédie d'aventure très agréable.
quelle pantalonnade ! ce n'est ni un film comique ni un film d'aventure.
il y a un miracle toutes les 5 minutes, qui sauve le héros chaque fois qu'il est en difficulté
Belmondo dans le rôle du brave type qui n'a âs inventé l'eau tiède devient vite lassant.
sa petite amie qui boxe dans la même catégorie est tioute aussi agaçante.
le scénario est digne d'une bande dessinée pour enfants de 10 à 12 ans.
je laisse donc ça aux enfants ...
il y a un miracle toutes les 5 minutes, qui sauve le héros chaque fois qu'il est en difficulté
Belmondo dans le rôle du brave type qui n'a âs inventé l'eau tiède devient vite lassant.
sa petite amie qui boxe dans la même catégorie est tioute aussi agaçante.
le scénario est digne d'une bande dessinée pour enfants de 10 à 12 ans.
je laisse donc ça aux enfants ...
Simplement culte !!!! L'homme de Rio est la plus grande réussite de Philippe de Boca, et surement le premier film qui commença à exposer Jean-Paul dans son personnage de Bébel. On y retrouve donc Adrien incarné par un Belmondo encore juvénile ( pas sans rappeler un singe en hiver ou à bout de souffle) et Agnès jouée par la fantastique Françoise Dorléac. Le film nous entraîne dans une chasse aux statuettes, avec des décors d'un Brésil des années 60 juste magique. Belmondo ( et ses cascades mythiques) met en valeur les paysages de Copacabana et de l'Amazonie ou la construction de Brasilia. on suit donc cette histoire avec des étoiles dans les yeux et en voulant découvrir le Brésil de 1963. Pas étonnant donc que ce film inspira un certain Spielberg pour faire ses Indiana Jones, ou qu'il adoré de Bobby Kennedy :)
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse