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    Adieu, ma jolie
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    3,1
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    30 critiques spectateurs

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    pierrre s.
    pierrre s.

    426 abonnés 3 304 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2024
    Un film noir bien ficelé et dans la plus grande tradition du genre, avec privé mélancolique, enquête tordue, flic ripoux et femme fatale.
    Claude DL
    Claude DL

    90 abonnés 1 681 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 décembre 2023
    Bof ! Avec ce film ancien je m’attendais à nettement mieux. Le scénario est quasi incompréhensible et seule l’ambiance « noire » est bien retranscrite. On s’ennuie ferme : évitable.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 178 abonnés 4 173 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2023
    Elliott Kastner associé à Jerry Gershwin avait produit “Harper” (1966) de Jack Smight avec Paul Newman dans le rôle du détective passablement revisité pour lui permettre d’évoluer dans l’univers contemporain et ensolleillé de Los Angeles. Le film ayant été un succès, les deux hommes ont envie de récidiver en adaptant cette fois-ci le second roman de Raymond Chandler, “Farewell, my Lovely” paru en 1940. Raymond Chandler auquel il avait été rendu hommage dans “Harper” avec la présence au générique de Lauren Bacall. Les deux hommes convainc Lew Grade patron d’ITC et producteur quelques années auparavant du “Prisonnier” avec Patrick MacGoohan. Dick Richards réalisateur inexpérimenté est choisi pour réaliser le film. Pour interpréter Philip Marlowe, Robert Mitchum, un peu au creux de la vague à 57 ans, s’impose une fois que Richard Burton a refusé le rôle. L’acteur un peu vieillissant vient tout de même de jouer dans deux excellents films noirs : “Les copains d’Eddie Coyle” de Peter Yates suivi de “Yakusa” de Sydney Pollack. Il ne sera donc pas dépayser en se chargeant de cette enquête se déroulant dans le Los Angeles de 1941, au moment où le fameux détective accuse un sérieux coup de fatigue comme il l’explique en voix-off à l’entame du film. spoiler: Le hasard, l’amène à rencontrer un truand, grand malabar (Jack O’Halloran) mal dégrossi qui vient de purger une peine de huit ans de prison Celui-ci le charge de retrouver Velma, son ex-petite amie qui ne lui a plus donner de nouvelles depuis deux ans. Marlowe accepte mais son client est menacé par des truands qui semblent vouloir récupérer le magot récupérer lors du hold-up qui l’a amené en prison. Les affaires se compliquent et Marlowe est emmené sur de fausses pistes
    . Le scénario écrit par David Zelag Goodman (“Les chiens de pailles”) est parfaitement agencé pour que Robert Mitchum avance avec le flegme qui le caractérise dans ce dédale oàù il rencontrera moult personnages hors dont une sulfureuse Charlotte Rampling belle à se damner. Marlowe est tout-à-fait d’accord sur la question. L’ambiance des années 1940 orchestrée par le grand chef décorateur Dean Tavoularis et photographié par John A. Alonzo est tout-à-fait immersive. Le film ne sera pas un succès mais assez convaincant pour que Robert Mitchum trois ans plus tard apparaisse, toujours à l’initiative d’Elliott Kastner et de Lew Grade, dans un remake du “Grand sommeil” (1946) d’Howard Hawks. Il est ainsi le seul acteur à s’être glissé deux fois dans la peau de Philip Marlowe. Décidément, Robert Mitchum qui aura bâti soigneusement sa réputation d’acteur désabusé un peu fainéant sur les bords aura tourné plus que bien d’autres. Tant mieux !
    ferdinand75
    ferdinand75

    548 abonnés 3 868 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 novembre 2021
    Un très belle surprise que ce polar "moderne" , très bien adapté. On reste dans le style des polars des années 50's , mais avec une réalisation brillante et une touche de modernité. Mitchum est excellent , le scénario bien construit, et la brève apparition de Stallone très touchante.
    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 octobre 2021
    Adaptation d’un excellent polar de Raymond Chandler, le film se veut l’archétype des conventions du genre depuis 30 ans (nous sommes en 1975). Mais à part ce respect mémoriel, il reste bien quelconque, parfois même ennuyeux… Ce genre à bien vieilli. Mais ne boudons pas le plaisir de voir Robert Mitchum, désabusé et déginguandé à souhait, draguer la toute jeune Charlotte Rampling, déjà attirante de mystère. On y voit même un jeune costaud traverser l’écran : le futur Rambo, déjà bien bodybuildé !
    Y Leca
    Y Leca

    30 abonnés 991 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2021
    Tous les ingredients du film noir à l'ancienne sont là: intrigue absconce, reconstitution, femme fatale et Mitchum qui porte le trench et le chapeau encore mieux que Bogart. Une curiosité : Stallone en petite frappe avant sa prise de stéroïdes pour Rocky. Un superbe hommage à Howard Hawks et John Huston.
    pietro bucca
    pietro bucca

    66 abonnés 1 229 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2021
    Un polar de bonne facture, avec un beau casting. Une enquete interressante, le film est prenant. Sympathique, a voir au moins une fois.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 147 abonnés 5 132 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 septembre 2021
    Après Adieu ma belle, Voici adieu ma jolie. Ça permet de les différencier !!!
    Ok appréciera la quête, l'ambiance à l'ancienne et même C. Rampling avec un furieux air de L. Bacall.
    Malgré tout ça, c'est plutôt incompréhensible mais l'important n'est pas là. Le jeu des acteurs et la présence de RM évidemment. Ça fait tout.
    Patjob
    Patjob

    34 abonnés 594 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2021
    J’aime beaucoup Raymond Chandler. Le film n’est pas un chef d’œuvre, et, assez loin d’un « Chinatown » de Polanski, qui reste la référence du genre (le film noir dont le personnage principal est un « privé »), il ne brille ni par sa créativité, ni par sa mise en scène. Mais je l’aime beaucoup, pour sa fidélité au romancier. Pas tant à l’intrigue du roman adapté, qui, pour être intéressante, n’est que le support de la description d’un monde et des personnages qui s’y perdent, qu’à l’esprit du romancier. Les codes du genre sont tous là, accentués par le choix des images et couleurs, par la musique dramatique jazzy, et les pertinentes et savoureuses réflexions en voix off. Sous cet aspect formel assez fascinant, il y a plus profondément le constat désespérant d’une société qui n’a plus de valeurs (la corruption règne en maître) dans un contexte historique difficile (l’imminence de l’entrée en guerre). Comme dans King Kong, les amours d’un « gorille » pour une poupée sont impossibles, et les rêves n’ont plus leur place. Même les espoirs personnels qui peuvent paraître dérisoires (le record que devrait battre le champion de Base Ball Joe Di Maggio) sont contrariés par la réalité. Mais il reste, dans l’attitude et au fond du cœur de ce « privé » désabusé et parfois cynique (Philip Marlowe restera toujours un modèle du genre), une lucidité et une générosité émouvantes.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    273 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 septembre 2021
    Un polar feutré façon ancienne école, mais on est loin des classiques avec Bogart et Bacall ou, plus proche en l'espèce, du Chinatown de Polanski. En détective fatigué, Robert Mitchum en impose mais semble trop en pilotage automatique, naviguant dans une histoire aux rebondissements assez mal gérés, avec des acteurs un peu perdus dans des costumes qui n'ont pas l'air taillés sur mesure. L'écriture est un peu trop faible (notamment les dialogues) pour donner de la consistance à l'intrigue.
    Fabien S.
    Fabien S.

    544 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 septembre 2021
    Un très bon film noir des années 1970 avec Robert Mitchum et Charlotte Rampling avec l'ambiance des années 1950.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    590 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mars 2018
    Assez fidèle à l’esprit du roman de Chandler ce film est déroutant voire quasiment impossible à suivre de bout en bout. L’important n’est pas là, c’est l’ambiance reconstituée de l’époque avec une élégante mise en scène qui compte et évidemment Mitchum en Marlowe qui se fait tabasser plus souvent qu’à son tour. Je ne suis pas ici fan de Charlotte Rampling que l’on voit finalement peu et qui ne fait pas grand- chose, même dans la scène finale. Les couleurs travaillées et la bande son se remarquent surtout dans des décors aussi exigus. La révélation du film est indiscutablement Jack O’ Halloran dans le rôle de Moose Malloy, il est terriblement impressionnant. C’est plus un pastiche de film noir qu’un chef d’œuvre du genre pour séduire les cinéphiles. C’est assez facile car les histoires de Marlowe sont toujours l’occasion de faire briller l’art cinématographique, les scenarios n’imposant aucune contrainte.
    Benjamin A
    Benjamin A

    711 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2017
    Alors que Raymond Chandler redevenait à la mode dans les années 1970, Dick Richards adapte pour la troisième fois son roman où l'on retrouve le détective Philip Marlowe qui va devoir retrouver l'ex-petite amie d'un costaud qui vient de sortir de taule.

    Ambiance nocturne et lumineuse, fond sonore jazzy puis la voix-off de Robert Mitchum, dès les premières secondes, Farewell, My Lovely reprend tous les codes du film noir et applique la recette du genre à la lettre tout le long du film. C'est d'ailleurs là le petit problème que représente cette adaptation tant tout est attendue avec des codes qui sont ici utilisés avec excès. Rajouté à cela une intrigue pas toujours bien exploitée (on s'y perd un peu trop facilement sans que la tension ne soit régulièrement au rendez-vous) et on a de quoi obtenir quelques regrets.

    Rien de bien préjudiciable pour autant, Dick Richards posant une atmosphère noire, parfois même glauque, qui reste prenante de bout en bout, avec un vrai charme qui s'en dégage tandis qu'un Robert Mitchum impérial campe un Marlow désabusé, vieillissant et qui va se retrouver au cœur d'une intrigue qui le dépasse totalement. Autour de lui, Richards met en place une galerie de personnages où se mêleront femme fatale, flic ou autre dur à cuire, avec un soupçon d'ambiguïté planant sur chacun d'eux et sur le récit.

    On navigue entre fumée de cigarettes, meurtre et vapeur d'alcool, et cela, Richards le met bien en avant et nous immerge totalement au cœur du récit, usant d'une réalisation classique, sobre mais efficace. La photographie très lumineuse participe aussi à l'ambiance générale de l'oeuvre tandis que l'affrontement entre Mitchum et Rampling est bien exploité et tient toutes ses promesses, permettant à l'oeuvre de prendre de plus en plus d'ampleur plus on avance dans le récit.

    Nouvelle adaptation de Raymond Chandler, Farewell, My Lovely, permet à Dick Richards de signer un pur film noir dans la lignée de ceux de l'âge d'or hollywoodien et, sans être transcendant, c'est réussi et il arrive à nous plonger dans cette enquête ainsi que dans une atmosphère sombre à souhait.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 706 abonnés 12 423 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2016
    Troisième adaptation du roman de Chandler! Cette version de 1975 fut prècèdèe par "The Falcon takes over" d'Irving Reis avec George Sanders en 1942, et "Murder, my sweet" d'Edward Dmytryk, avec Dick Powell en 1944! Pour cet impeccable exercice de style qui s'enracine au limon du film noir amèricain d'antan, le rèalisateur Dick Richards n'a pas jouè la carte du pastiche comme le firent avant ou après lui Robert Altman, Roman Polanski ou Carl Reiner! Robert Mitchum (formidable acteur de la nonchalance) et Charlotte Rampling (jolie comme une culotte de dentelle) sont bien sûr les deux cartes maîtresses de son jeu. "Farewell, My Lovely" est dôtè d'une magnifique atmosphère de film noir et la musique de David Shire s'avère excellente, accompagnant Marlowe dans une enquête à rebondissements, sans pour autant oublier les exploits sportifs de Di Maggio! On notera que Sylvester Stallone (un an avant le succès mondial de "Rocky") fait deux très brèves apparitions dans le film : spoiler: d'abord il est dans le plumard de la fille de Frances Anthor, la « patronne » d'une maison close, puis il pose le canon de son revolver sur la tempe de Mitchum!
    Bien meilleur que le film de Dmytryk! Même la V.F est au top...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 septembre 2015
    GÉNÉRAL : spoiler: Les problématiques morales d’un détective privé.


    ASPECTS POSITIFS : spoiler: Plusieurs choix du personnage principal vont dans la bonne direction.


    ASPECTS NÉGATIFS : spoiler: Milieu de l’action très sombre et destructif.


    PISTES DE RÉFLEXION : spoiler: Ce film est la 3e adaptation cinématographique, qui est plus proche du roman de Raymond Chandler que la célèbre adaptation avec Dick Powell (Murder, My Sweet). Contrairement à Murder, My Sweet, la femme fatale est moins humaine et la fin se termine sur une possibilité que le détective s’occupe du jeune, dont le père a été assassiné à cause de lui. Le réalisateur est le même que celui du film The Culpepper Cattle Company. On remarque d’ailleurs que les deux films se terminent sur une note positive. Dans la majorité du film, le détective rencontre des personnages qui sont à l’opposé de lui. Les personnages ne semblent pas avoir de choix positif dans la vie et souvent portent en eux les éléments d’autodestruction qui les hantent. C’est pourquoi, tout au long du film, aucun personnage sauf son ami personnel ne peut l’épauler. Même les policiers sont très négatifs et sont sauvés à la fin lors de la scène où le lieutenant dit que c’est un véhicule de police et de mettre les sirènes. Cette scène est un tournant dans le film, car le lieutenant qui nous apparaissait sympathique, mais non impliqué, épaule le détective.
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