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    Godzilla
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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 mars 2014
    En 1953, le maître mondial des effets spéciaux de l'époque, Ray Harryhaussen, créait un film inoubliable pour les cinéphiles : "Le monstre des temps perdus". C'était une fastueuse mise en scène d'un dinosaure congelé, libéré par une explosion atomique. L'un des plus grands cinéastes fantastiques Japonais, Inoshiro Honda, admirateur de Ray, une année plus tard, reprit l'idée et la transposa au Japon, forgeant dans la même angoisse et, pour la première fois à l'écran, toutes les terreurs du peuple Nippon : les radiations nucléaires, les monstres de la mer, Les Kaïjus. Ces traumatismes seront surexploités par la suite et feront de Godzilla un coutumier de petits Nanars sympathiques mais sinistrement ringards en regard du chef-d’œuvre de 1954, malgré ses effets spéciaux déjà dépassés pour l'époque. Il faut reconnaître que la mise en scène et les éclairages de Inoshiro Honda sauvaient l'indigence du mannequin de latex permettant à un acteur d'interpréter le monstre. Jusqu'à la reprise honorable de 1996, Godzilla perdit de sa superbe. En 2013, on frôlera la démence avec Pacific Rim. Il faut espérer que le Godzilla 2014 liera avec succès, les nouvelles technologies et un scénario haute qualité, sans superman américain qui trouve le moyen de détruire le monstre, alors que les autres scientifiques du monde entier sèchent lamentablement...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 janvier 2014
    L'origine du mythe habilement interprété par Inoshiro Honda dans un film incroyablement moderne et frais pour l'époque. La légende est née 5/5
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    82 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2014
    Cela fait 60 ans qu’il existe. 60 ans qu’il terrorise les Japonais. 60 ans qui figure au panthéon de la culture nippone. 60 ans que son nom résonne partout sur notre planète. Et 60 ans qu’il attendait un remake de grande ampleur digne de ce nom. Je veux bien sûr parler de Godzilla, le gros lézard qui revient nous voir en mai, dans un nouveau remake américain, qui s’annonce dantesque. Et pour cette occasion, je me lance le défi de voir tous les films dans lequel le Roi des Monstres apparaît. Soit une trentaine de long-métrages. Ne perdons donc pas de temps et commençons par le tout premier film ! Celui qui donna naissance à la légende qu’est aujourd’hui Godzilla ! Ou Gojira, en VO !

    Les plus réticents peuvent encore se le demander : qu’y-a-t-il de si exceptionnel dans un film de monstre qui détruit tout ? Surtout que l’histoire ne semble pas aller plus loin que ce postulat. Celui d’un énorme dinosaure que notre présence dérange, l’incitant à tout détruire sur son passage. Que ce soit faire couler les malheureux bateaux de passage, écraser une maison comme si de rien n’était, démolir un immeuble comme un vulgaire château de cartes, enflammer tout un quartier… Tout en résistant aux tirs des avions de chasse et des tanks. En supportant un exceptionnel « coup de jus » qui ne fait que l’énerver encore plus. Bref, c’est juste un gros lézard qui fait boum boum en plein Tokyo, prêt à grignoter du train. Alors, oui, qu’y-a-t-il de génial dans un tel postulat ?

    Si Godzilla existe, c’est grâce à King Kong. Le long-métrage qui a lancé la mode des monstres géants, icônes du divertissement cinématographique de série B (bien que King Kong se trouve bien au-delà de tout ça). C’est parce que King Kong a été un vif succès à l’international que les Japonais ont voulu leur propre monstre. Leur créature qui soit digne d’être à leur image. Et c’est ça, l’excellente idée de Godzilla : que le monstre soit un produit 100% nippon !

    Quand on regarder Godzilla premier du nom, nous sommes obligés de nous plonger dans le contexte historique du Japon. 1954. Année qui précède la fin de la guère ? Pour les Japonais, bien plus ! Année qui précède les désastres d’Hiroshima et de Nagasaki. Année durant laquelle les habitants vivent encore dans la peau que cela se reproduise un jour. Voilà ce que représente Godzilla : le danger nucléaire faisant son retour et causant les mêmes dégâts qu’en 1945.

    Car Godzilla n’est pas qu’un dinosaure. C’est une sorte de monstre préhistorique réveillé par des radiations et qui l’ont muté en quelque chose pouvant atteindre 80 à 100 mètres hauts. Pouvant cracher un souffle radioactif qui enflamme tout ce qu’il touche. Et qui, surtout, cause des dégâts aussi considérable qu’un bombe atomique. Un constat que met en valeur le réalisateur Ishirō Honda. En insistant bien sur les décors de mort que Godzilla laisse derrière lui (un amas de ruines sans vie). En prenant son temps de filmer tout ces blessés venant de sortir vivants (ou pas, tout dépend des corps que l’on voit à l’écran) via un travelling assez lent. Le tout accompagné d’une ambiance musicale souvent proche de l’apocalypse. Sans oublier tous ces petits détails qui mettent en valeur le statut « d’arme nucléaire » de Godzilla : compteur Geiser qui s’affole sur la moindre trace du monstre, autres animaux préhistoriques prenant vie comme l’immense bestiole…

    Et les humains dans tout ça ? De la simple chair à canon ? De misérables fourmis destinées à finir sous les immenses pattes du monstre ? Au premier abord, on pourrait le croire, étant donné qu’ils ne pensent qu’à arrêter Godzilla et s’enfuir. Mais encore une fois, le film surprend même de ce point de vue ! Par le biais d’un scientifique qui met au point un nouveau gaz capable d’annihiler toute créature vivante, y compris Godzilla. Ce gaz, c’est la critique que lance le film sur le nucléaire. Dénonçant le fait que l’Homme ne pense qu’à créer des armes. Ou des moins de brillantes inventions qui peuvent être utilisées à mauvais escient. C’est pour cela que le scientifique en question préfère cacher son gaz. Pour éviter qu’il ne tombe entre de mauvaise main, pour empêcher que des hommes hauts placés ne l’usent pour leur quête de pouvoir. Voilà ce qu’est le film Godzilla : un divertissement sur le papier couillon comme toute série B de ce genre, mais bourré de détails scénaristiques et visuels intéressants, voire travaillés !

    Après, l’âge du film ne joue pas vraiment en sa faveur. Notamment du côté des effets spéciaux, où l’on discerne sans mal les maquettes qui ont été utilisées pour les bâtiments en destruction. Construite à une échelle convenable pour le cascadeur interprétant Godzilla. Car oui, Godzilla est un bonhomme dans un costume rigide en latex. Qui peine à bouger les bras. Avec une tête aussi peu crédible que tout le reste (rien que le souffle nucléaire, représentée par une vulgaire vapeur). Une gueule qui s’ouvre de manière aléatoire, ne concordant pas souvent au mythique cri de la créature (créé à partir d’un gant en cuir frotté contre des cordes de contrebasse). Sans oublier des comédiens qui en font un peu trop par moment (une femme apeurée, jetant sa tête en arrière, les mains cachant ses yeux, et cela juste pour quelques poissons désintégrés).

    Et puis, touchons quelques mots sur la version américaine du film. Car oui, il y a un montage de chez l’oncle Sam ! Pour que le film puisse être accepté par le public américain, qui jugerait scandaleux de voir ces Japonais « se plaindre » de ce qui leur est arrivé. Et pour cela, des séquences avec un journaliste yankee (joué par Raymond Burr) qui se permet de narrer ce qui se passe à l’écran (alors que nous n’en avons pas besoin) et d’apparaître à l’image quand bon lui semble. Des scènes qui n’apportent aucun intérêt au film lui-même, si ce n’est le plomber. Voilà comment gâcher un film quand le défaut en question ne le concerne pas directement !

    Résultat pour ce Godzilla datant de 1954 : on est loin d’être avec un chef-d’œuvre entre les mains, les rides ayant fait leur affaire sur le film et cette sensation que les Japonais ont fait ce film à la va-vite (oubliant quelques effets sonores et prenant un mec en costume plutôt que de faire de la stop motion comme pour King Kong). Mais quand on voit le thème principal qu’aborde le film et la manière dont il le fait, on ne peut nier le côté « film d’auteur » que possède ce Godzilla. Oui, vous avez bien lu ! Car Godzilla, c’est ça : un film de monstre hautement intelligent, qui se permet d’émettre des critiques et de dénoncer la nature humaine. Avec ces atouts en mains, Godzilla avait tout pour devenir une légende. Et ainsi naquit le premier kaijū eiga, le film de monstres géants qui terrassent sur son passage et qui donna naissance à plusieurs rejetons qui connaîtront des succès similaires : Mothra, Gamera, Rodan… 60 ans qu’il règne en maître sur ce genre !
    Fantasy54
    Fantasy54

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2013
    Tout d'abord, je n'ai pas mi 5/5 puisque les effets spéciaux sont datés, certes ça donne un certain charme au film mais ça fait perdre aussi (dans un sens!) le côté réalité du film. Dans tous les cas c'est vraiment une énorme leçon d'humanité à recevoir de la part d'Inoshiro Honda. Il manque peut-être de l'émotion mais c'est acceptable comparé au montage du film qui serait à revoir...mais on va dire que c'est parce que ce film date de 1954(!) On ressent vraiment la peur du Japon à cette époque(Hiroshima, Nagasaki) pour le nucléaire et le fait d'associer cela à Gojira(Godzilla!) est une brillante idée. Quand à cette phrase : spoiler: On ne reverra plus jamais Godzilla...!
    Est-ce vrai ? (On peut dire la même chose de la bombe nucléaire !? Malheureusement...
    Flamme-010
    Flamme-010

    16 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 octobre 2013
    Véritable chef-d’œuvre du cinéma fantastique à replacer dans le contexte de l'époque, celui de la reconstruction du Japon après la Seconde Guerre Mondiale. L'esthétique noir et blanc fascinante, l'ambiance tragique et les scènes de destructions n'ont rien perdu de leur impact en près de 60 ans. Ce Godzilla original reste l'un des meilleurs symboles cinématographiques de la folie des hommes et des effets néfastes de ses armes sur l'environnement...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 avril 2013
    Gojira: un chef d'oeuvre qui nous prouve que le génie au cinéma n'a pas d'âge.

    1. Le scénario est novateur pour l'époque. Le monstre est une immense métaphore de l'arme nucléaire dont fut victime le pays. La psychologie des personnages est intéressante, réaliste et s'inscrit parfaitement dans la culture Japonaise.

    2. La bande son est de qualité...le thème principale est juste inoubliable.

    3. Le jeu d'acteur est fantastique.

    4. Le montage est excellent, le noir et blanc confère une ambiance apocalyptique qui plaide beaucoup en la faveur du film.

    Un film comme on n'en fait plus, certes les effets spéciaux sont dépasser mais l'intensité des émotions reste omniprésente. Un chef d'oeuvre qui a ouvert la voie à une saga légendaire du cinéma qui fut d’ailleurs extrêmement hétérogène en terme de qualité.
    real-disciple
    real-disciple

    82 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 novembre 2012
    Godzilla est le King Kong nippon. Bien qu'il soit fait avec des bouts de maquette, il ne se fiche pour autant pas du monde car le spectacle est garanti avec les attaques du monstre en ville. Un monstre crée par les essais nucléaires alors que pour King Kong c'était le côté exotique qui primait. Mais il est moins impressionnant dans ses effets spéciaux que le chef d'oeuvre King Kong qui a vingt ans de moins.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 avril 2012
    Maintenant c'est vrai qu'il pourrait ètre plus regarder par des enfants, ce film est quand mème un des symboles (cheap certes) de l'impact que Hiroshima et Nagasaki à eu sur le Japon. Le monstre en plastique culte Godzilla, représente une force que personne ne peut controler car elle est trop puissante. Mème lorsque l'inventeur sait qu'il a une arme bien supérieur à Godzilla, il ne veut d'abord pas l'utiliser parce que on l'utiliserai comme la bombe et elle ferait d'innombrable morts. Il revient sur ça parole mais meurt avec le secret de son arme. Par contre ceux qui veulent du divertissement, vous pouvez toujours y aller.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 juin 2011
    Premier d'une très longue saga de films, à ce jour la plus longue de l'histoire du cinéma, ce film de monstre mettant en scène pour la 1ère fois le célèbre Godzilla reste, avec le King Kong de 1933, la référence absolue de ce genre de films.

    Bien que datant de 1954, le film a plutôt bien vielli, avec des effets spéciaux corrects pour l'époque (et qui sont paradoxalement plus réussis que certains des suites à venir, peut être que c'est le noir et blanc qui fait ça ...). Ponctuée de scène spectaculaires, doté d'une réalisation correcte et d'un rythme assez soutenu tout le long du métrage, ce film ne se contente pas d'être un simple film de monstres. Certes, le gros méchant lézard déturit une ville et se fait traquer puis tuer, mais derriere ce film, on peut voir un message et une dénonciation des effets dévastateurs du nucléaire par un Japon meurtri par les évènements tragiques d'Hiroshima et Nagasaki, survenu 9 ans plus tôt.
    Le film a une athmosphère plus sombre, sérieuse et adulte que l'image qu'on se fait de lui, déformée quelque peu par plupart de ces suites (du moins, celle de la période années 60-70), bien plus fantaisistes ...

    Les acteurs sont assez bons, sans que ce soit des prestations légendaires non plus, la musique est pas mal aussi, mais si j'avais ne serai-ce qu'un seul reproche à faire à ce film, ce serait la fin de son scénario qui est à mon goût trop prévisible (Je pense que tout spectateur ayant été normalement attentif à la vision de ce film aura rapidement deviné comment et par quels moyens les japonais vont tenter de se débarasser du monstre). Cependant, cette fin, bien que prévisible reste très réussie, et soulève d'ailleurs certains enjeux et question intéressantes face à la manière de résoudre la problème initial (Régler un mal par ce même mal résoudra t'il vraiment le problème ? C'est d'ailleurs en ce sens que Godzilla Raids Again, la toute première suite sortie l'année suivante, se révèle intéressante). Le tout permettant d'apporter une petite morale qui a le mérite de ne pas être lourde.

    En résumé, Godzilla premier du nom ce révèle être un vrai petit chef d'oeuvre dans le registre des films de monstres, surpassant à mon goût son adversaire poilu américian, le très réussi King Kong. C'est un bon divertissement agréable a suivre grâce à ses différents niveaux de lecture, sans aucun conteste le meilleur de la saga (bien que certaines de ses suites sont également très réussies), qui mériterai d'être plus connu, et d'être débarassé de l'image négative générée par certaines de ses suites foireuses ...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 mai 2011
    Le roi des monstres à l'éclat préhistorique revient (d'ailleurs en fait une femelle): Haut de 3 étages et sème destruction, terreur, et désolation partout, même dans le village du coin ou réside quelques scientifiques mais surtout des ptérodactyles plus ou moins glamour. Chef d'euvre culte, et en tout cas d'actualité.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 072 abonnés 3 968 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 mai 2011
    Je suis déçu, je m'attendais à une sorte de King Kong japonais, ou bien à un film kitch, mais en fait c'est ni l'un ni l'autre, c'est un bête film de monstre, avec un scénario très basique, des faux enjeux, mouais, ça diverti une heure trente, mais franchement j'ai trouvé ça décevant. ça manque d'émotion, dans King Kong la bête on s'y attache un peu quand même. Du coup mouais, j'ai même pas grand chose à dire, juste que je m'attendais à un truc vraiment bon et qu'au final c'est assez bateau.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 septembre 2010
    9 ans seulement après les bombardements d'Hiroshima et Nagasaki, Inoshiro Honda transposait le traumatisme nucléaire de tout un peuple à travers ce classique du cinéma. Godzilla incarne toute la douleur et toute la peur de l'arme atomique dans un film où l'esthétique somptueuse en noir et blanc et le thème musical inoubliable ne font que renforcer la noirceur du scénario. Contrairement à ses multiples suites, ce premier opus ne souffre d'aucun compromis dans le fond (l'histoire est chargée politiquement) comme dans la forme (les scènes de destruction sont ultra-réalistes et le monstre jouit d'une puissance iconique indéniable). Un chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 février 2013
    Simplement une légende du cinéma: inégalé et inégalable...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 août 2010
    Chef d'œuvre incompris car Godzilla ou plutôt GOJIRA au japon, est une œuvre charnière dans l'histoire du cinéma il créa un genre typiquement occidental et repris une fois par Eugène lourier avec Gorgo, le kaiju eiga film de monstre géant largement inspiré par king kong mais donc la principale caractéristique est le procédé du suit-motion ou plutôt du gars dans un costume de monstre (utilisé encore aujourd'hui avec je sais pas aliens par exemple) ce genre plutôt précédé de Dai qui veut dire géant car le monstre concerné est géant est détruit des maquettes représentant les buildings. Derrière ce procédé novateur pour l'époque et qui peut paraitre bien désuète aujourd'hui se cache une puissance évocatrice que jamais je ne reverrais dans un film. Godzilla est dans ce film une métaphore pure de la bombe Hiroshima et Nagazaki avec beaucoup d'imagerie la rappelant (les dégats causé par Godzilla, le flash blanc sur les victimes du début avant l'explosion...) les blessures que porte encore l'archipel nippon. Outre le côté intellectuel du métrage le film reste néanmoins un bon film popcorn avec des destructions malgré tout bien faites (prendre en compte l'époque) et je le dit sans l'ombe d'un doute même un film comme transformers n'arrive pas à faire le degré de destruction que ce Godzilla propose. Un film sombre et pessimiste que seul quelques suites arriveront à égaler (GMK). Ne jugez pas trop hâtivement ce chef d'œuvre inégalé et inégalable. Attention cependant à prendre le montage japonais le vrai montage car ce film a eu à l'époque de sérieuse coup pour le public occidentaux réduisant (voire effacer) les allusions aux deux bombes, les américains ne voulant pas se sentir coupable de la naissance de se monstre mythique et magnifique !
    fastsnake
    fastsnake

    3 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 juin 2010
    Un film culte de chez culte pour moi, lorsque je l'ai vu à... Même pas 8 ans! Bien sûr je n'y voyais qu'un gros film de monstre (même pas kitsch pour moi à cet époque, c'est dire!) qui m'a poussé à voir toutes les suites... dont beaucoup beaucoup perdent leur intérêt sous-jacent il est vrai: celui d'une véritable fable, traduction d'un grand traumatisme post-nucléaire qui mettra très longtemps avant d'être directement abordé.

    Un de mes grands films cultes, bien plus que King Kong pour moi. En Asie, bien souvent imité, mais pour sûr jamais égalé!
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