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Ghighi19
67 abonnés
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2,0
Publiée le 19 février 2021
Difficile de donner une suite à une film très réussi. C était les années 80 et donc une autre époque. Le seul intérêt de cette suite poussive vient de LA révélation dans le scénario du lien entre Lorie Strode et Mickael Myers...
Halloween 2 est une suite logique au premier film. On y retrouve les acteurs principaux du premier pour y amener une fin qui devait être le dernier film d'u' saga pourtant qui va perduré. Aucune surprise au niveau de la trame de l'histoire l'effet de nouveauté en moins.
Une bonne suite, moins subtil, plus tourné vers l'action avec des meurtres violents et sanglant !! Certains passages font toujours leur effet de surprise avec un suspense bien géré !! Par contre j'ai trouvé le final moyen et vite expédié et l'interprétation générale du film reste encore le point faible comme le 1er volet !! La BO , elle, reste toujours le point fort avec des notes crispantes , faisant monter la tension
Halloween 2 (1981) est la suite directe du slasher culte de John Carpenter, ce dernier délaisse la réalisation (pour se recentrer sur l’écriture et la production). Il confie les manettes à Rick Rosenthal, pour qui il s’agira de son tout premier long-métrage.
Ce qu’il y a de bien avec cette suite, c’est qu’elle est le prolongement direct du précédent opus, le film continu à l’endroit même où s’achevait La Nuit des masques (1978) et ce, avec la même distribution (raison pour laquelle il est souhaitable d’enchainer les 2 opus à la suite).
On retrouve donc Donald Pleasence & Charles Cyphers aux trousses du serial killer, face à une Jamie Lee Curtis qui doit redoubler d’effort pour lui échapper. La mise en scène nous réserve quelques moments de suspens, avec cette traque sans fin au sein de l’hôpital. Les meurtres y sont plus variés et plus sanglants, la narration est bien plus soutenue que dans le précédent volet, permettant ainsi d’avoir droit à une suite digne de ce nom, à la fois honnête et réussie !
Quant à Rick Rosenthal, on le retrouvera près de 20ans plus tard, aux manettes d’Halloween : Résurrection (2002).
Vu Halloween 2 L'histoire commence là où le premier volet se terminait c'est pas très élaborer car sa reste un slasher sa tue et sa tue Mickaël Myers va retourner ciel et terre pour tuer Laurie Strode hospitalisé sa reste tout de même a voir
Suite tout aussi nul que le 1er film de carpenter, le film dure 1h30 mais il paraît tellement plus long, on s'ennuie tout au long du film, les meurtres sont ridicule, il n'y a pas d'histoire, le film a extrêmement mal vieilli et cette musique qui maintenant n'est plus seulement agaçante mais est devenu horrible..
Film juste mythique ! Je trouve que ce film est le plus représentatif des films trash des années 80.: Ambiance sombre, sang partout, sans oublier la bande son qui est la meilleure de tous les films d'horreur de tous les temps... Je l'ai préféré au 1er moi
Les suites plus mauvaises que leur original, c'est connu, sont souvent de niveau inférieur. Ce qui est fort cependant avec ce volet, c'est qu'il garde la même ambiance que le précédent (ambiance avec laquelle je n'accroche pas, soit dit en passant). Mais pour le reste, on s'approche davantage du slasher lambda dans sa forme. Le tout servi par un jeu d'acteur risible (la VF n'aide pas) et des incohérences. Bref, très décevant. Décidément, quand on confie un volet de la franchise à Rick Rosenthal, il a des difficultés à en faire quelque chose de bien, comme nous en témoigne "Halloween Résurrection" ^^
À c'est dommage il était bien partie avec ce Halloween 2, mais ce qui m'a dérangé c'est cette fin minable, michael myers passe pour un gogole.. laurie strode est juste devant elle, il n'arrive pas à la tuer et c'est tellement mal fichue et idiot cette fin, c'est baclé même pourtant les acteurs étaient la mais non c'est raté, c'est mauvais.
Il est pas mauvais mais pas aussi bien que le premier ! A voir pour la continuité mais rien de plus. Après on ne s’ennuie pas pour autant mais moins de surprise
Une suite qui se déroule directement après la fin du premier, une approche positive dans l'ensemble. Le film assume ici son côté slasher dans un hôpital bien étrangement vide. Des patients absents et peu de personnels infirmiers, de quoi permettre à Michael Myers une sacrée partie de plaisir avec les quelques quidams qu'il va rencontrer.. On retrouve logiquement le casting principal du premier film pour une meilleure continuité de la trame. Le film devait normalement marquer la fin du meurtrier psychopathe.
En 1978,John Carpenter réalisa un classique du film d'horreur:La nuit des Masques souvent copié mais jamais égalé.
Trois ans plus tard,une suite est mise en route et c'est une suite qui commence directement dès la fin du premier opus.Nous allons suivre Jamie Lee Curtis à son arrivée à l’hôpital d'Haddonfield après l'agression de Myers contre sa personne.
Michael Myers est l'un des plus célèbres tueurs du cinéma d'horreur qu'Hollywood ait crée avec Freddy,Jason et Chucky entre autres.Il est le mal à l'état pur,l'incarnation du tueur impitoyable et invulnérable qui prend toujours un malin plaisir à faire souffrir ses victimes.
Bon revenons à nos moutons et parlons de ce deuxième opus de cette saga très inégale. Carpenter ne réalise pas ce film mais en donne la direction à un de ses protégés: Rick Rosenthal. Ce qui ne l'empêche pas d'écrire le scénario,de composer la musique et d’être un des producteurs.
Le premier opus prenait le temps de poser l'histoire avant d'arriver au carnage final ou Myers se fait une joie de dézinguer tout ces ados libidineux. La dans cette suite,le ton est donné: Les meurtres s'enchainent des la fin du générique du début et sont souvent ingénieux et originaux. Au tout premier visionnage on est surpris par une révélation qui sera le leitmotiv de la saga. Donald Pleasance reprend son rôle mythique du Dr Loomis et a vraiment une haine viscérale envers Myers.
Ce deuxième opus est de mon avis personnel,une excellente suite,presque aussi bonne que l'original avec néanmoins des scènes de meurtres plus explicites et plus graphiques.
J’espère que cette critique vous plaira et que vous prendriez autant de plaisir à la lire que j'en ai eu à la rédiger
Halloween 2 reste une suite efficace où Rick Rosenthal me livre un ensemble qui ne me déçoit pas. La réalisation est parfaite, l'atmosphère pesante et l'ambiance y sont, le suspens est bien présent et les musiques ambiancent super bien.Le gore se révèlent plus et donne un super point au film. Le scénario est réussi, une Jamie Lee Curtis et un Donald Pleasence attachants, un antagoniste effrayant qui garde toujours sa démarche bizarre et son masque déformé.
CONCLUSION : Halloween 2 reste un chef-d'oeuvre, une suite haletante où les scènes m'ont données des frissons. Le thème original reste sublime même si il est moins bien contrairement au premier.
Parmi les nombreuses suites qu’à connu la franchise « Halloween », ce deuxième opus est sans doute celui pour qui j’ai le plus de tendresse. Il ne révolutionne pas la saga mais cette suite directe au premier film reste efficace malgré ses maladresses et ses incohérences comme lors de la scène d’ouverture dont de nombreux détails changent par rapport au premier film. Qu’importe, même si il n’est plus à la réalisation (il garde sa casquette de scénariste et producteur), ce volet sens bon le John Carpenter. Rick Rosenthal s’en sort avec les honneurs avec certains plans que je trouve intelligent. Tant pis pour les facilités et le manque de crédibilité, il y a une vraie rythmique à l’écran. « Halloween 2 » reste à mes yeux un excellent divertissement qui se savoure pour ce qu’il est et même si il ne fait pas preuve d’originalité, c’est l’un des opus qui s’en sort le mieux.
Quand il met en scène "Halloween" en 1978, John Carpenter n'imaginait pas que ce qui ne devait être qu'un petit film d'horreur de série B, allait provoquer une onde de choc mondiale à l'origine de la création d'un sous-genre, le "slasher" devenant une franchise rentable qui quarante plus tard est encore très vivace. S'il n'est pas très chaud pour prendre la direction d'une suite attendue par tous les fans, les deux producteurs qui lui ont mis le pied à l'étrier, Mustapha Akkad et Irwin Yablens ne l'entendent pas de cette oreille. Les tractations sont difficiles car les appétits sont aiguisés par les bénéfices potentiels. Un procès sera même intenté par Irwin Yablens à Carpenter. Toutefois, l'affaire se règle à l'amiable, John Carpenter acceptant d'écrire le scénario en échange de son retrait du poste de réalisateur. C'est Rick Rosenthal dont Carpenter avait beaucoup apprécié le court-métrage fantastique "Toyer" qui passe derrière la caméra pour son premier long métrage. Mais Carpenter décidément peu enthousiaste peine à trouver l'inspiration. Il finit par se rallier à l'idée la plus simple et la plus évidente de situer l'action juste après la fin du premier épisode quand Michael Myers (Dick Warlock) se relève après avoir reçu plusieurs balles tirées par son psychiatre, le docteur Loomis (Donald Pleasance). Haddonfield n'en n'a donc pas fini avec le bogeyman qui va encore sévir dans les rues tranquilles de la petite bourgade avant de rejoindre l'hôpital où a été conduite Laurie Strode (Jamie Lee Curtis) après son affrontement épique avec le tueur psychopathe dont on apprend qu'il est en réalité son frère caché . Astuce trouvée par Carpenter pour justifier l'obsession de Myers à vouloir larder de coups de couteaux la pauvre Jamie Lee Curtis, particulièrement passive dans ce second épisode. Dès lors c'est dans le huis clos des couloirs déserts de l'hôpital que Mike Meyers va trouver parmi le personnel de nuit de quoi rassasier quelque peu sa folie meurtrière. Le scénario ne brille pas par son originalité comme en conviendra Carpenter lui-même et la réalisation plutôt plate et sans relief de Rick Rosenthal n'arrange rien à l'affaire. Comble de maladresse, Rosenthal parvient à rendre quelquefois ridicule le grand acteur qu'était Donald Pleasance, l'obligeant à en faire des tonnes pour marteler la dangerosité d'un Mike Myers que le réalisateur novice n'utilise pas aussi bien qu'il l'avait été dans "La nuit des masques" où John Carpenter savait exactement comment le placer dans le décor pour rendre sa simple présence mutique effrayante. Cette suite très peu appréciée de la critique spécialisée car trop sage et peu imaginative aura tout de même été profitable. La saga pouvait dès lors continuer.