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7eme critique
533 abonnés
2 778 critiques
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2,0
Publiée le 21 juin 2018
"Au clair de la lune, mon ami Pierrot !" Ce cinquième opus ne sera certainement pas un épisode mémorable de la saga. On s'ennuie assez de ce scénario, et on ne pourra pas non plus dire que les effets-spéciaux soient de bonne qualité. On soulignera également, sur cet opus, un certain pompage sur "Star wars" (avec la présence d'une espèce de Cantina, des personnages au physique similaire, etc...).
Star Trek 5 : L'Ultime Frontière est un des films les plus oubliables de la saga Star Trek (si ce n'est le plus oubliable). Le film échoue à aborder le sujet (assez complexe) de la religion de cet univers. Le sujet était manifestement trop ambitieux pour l'essai à la réalisation de William Shatner qui peine à exploiter le potentiel philosophie de celui-ci. Le final a malheureusement bien mal vieilli (et le design du faux dieu est un peu risible). Il y a tout de même quelques bonnes trouvailles. scénaristiques (comme la révélation du traumatisme de McCoy) mais elles sortent trop rarement du lot.
Plutôt qu'un film, j'ai eu l'impression de regarder un épisode un peu amélioré de la série initiale. Des moyens plus sophistiqués pour créer un univers acceptable en 1989, mais le problème, c'est que l'équipage a bien vieilli. Tout spécialement le docteur McCoy qui est vraiment décati. Et même si le début veut faire croire que Kirk reste un athlète capable d'escalader en solo une paroi verticale, les acteurs ne sont plus crédibles pour être dans un vaisseau galactique. Globalement l'histoire manque d'actions, sans être mauvaise pour autant.
Assez mal aimé cet épisode ne ma pas paru si mauvais que ça. Il ressemble à un des vieux épisodes de la série. En mieux réalisé. l'humour potache fonctionne parfois, et l'histoire ravira tous les athée du monde , le vrai point faible ce sont plutôt les effets spéciaux bien moins bons que dans les épisodes précédents.
Je n'ai jamais été attiré par l'univers Star Trek. Avec un oeil lointain cela me donnait l'impression d'être très kitch et un peu trop gentil. Ce n'est pas ce cinquième épisode des aventures du capitaine Kirk et de Spock sur grand écran qui me fera changer d'avis, car c'est typiquement les reproches que je lui ferais. De plus j'ai trouvé ce film très mou, il ne se passe pas grand chose, je n'ai même pas été pris par le côté bestiaire extra terrestre qui aurait pu être amusant.
1er ou 2ème 8 cos de la saga, ce volet à surtout été une avalanche d'échanges et de petites réflexions sur les comportements des uns (Spock principalement, sans surprise) et spoiler: le retour sans fin des rivalités entre l'Entreprise et les Klingons. Un volet long au démarrage dont l'objectif fut les retrouvailles de notre Vulcain avec un parent, on aurait pu croire au père mais finalement, le beau-frère, un homme mentalement déranger, perdu dans sa personnalité mais surtout obséder par la conquête de l'ultime frontière de la galaxie. Au lieu d'aller à ces extrémités, pourquoi ne pas viser son centre ? A vrai dire c'est vrai qu'à chaque fois, la s.f. se concentre sur les contrées lointaines, se crêper le chignon sur les planètes "jumelles" de la Terre, de nouvelles civilisations pour entrer en contact et finir, à coup sûr, de façon masochiste, sur une confrontation musclée. Là, ce centre devient un réel enjeux "biblique", limite religieux puisque tout du long, on comprend de la part de ce beau-frère, que le milieu, jamais vu et visiter, devient presque une quête du St Graal. Puis la guéguerre avec les Klingons qui s'immisce et qui, contre leur gré, deviennent, sous l'impulsion d'un haut "général", l'allié ultime. Un long final visuellement identique aux premiers récits, dommage, dont l'entrée galactique ultra coloré et de "style peinture", désert quasi américain puis ce visage XXL, représentant cette "divinité", ce centre pour finalement se révéler en temp qu'ennemi, dévoreur de monde. Un 5ème film évoluant tranquillement mais qui, verbalement, retrouve ses mauvaises habitudes mais visuellement, réussis son évolution. A voir les prochains, simplement.
William Shatner décide de prendre les commandes de la réalisation de ce 5ème opus, à la suite de Leonard Nimoy, mais sans grand génie, malgré une bonne idée de départ. C’est ainsi que le capitaine Kirk et son équipage se dirigent vers l’ultime frontière pour y rencontrer l’être suprême que les humains appellent Dieu. Il faut regarder ce film au second degré car certaines scènes sont assez ridicules ou tendent vers le mauvais goût. Les effets spéciaux, que dis-je les trucages, sont kitsch à mourir et viennent ternir un peu plus l’aura de cette saga intergalactique. La psychologique des personnages et la quête métaphysique relèvent d‘un pastiche pour les nuls sans une once de subtilité. Aucun souffle épique, aucune réelle profondeur. Je mets cependant 3 étoiles pour les accumulations de moments involontairement drôles et parce que je suis bon public.
Avant de regarder ce film, j’avais peur d’avoir lâché l’affaire avec le précédent volet mais finalement, je suis plutôt surpris par ce cinquième opus car je le trouve vraiment pas mal. En effet, j’avais trouvé le quatrième assez mauvais et là, j’ai trouvé le scénario simple mais très efficace dans sa narration et la réalisation très belle et onirique.
Le film a un scénario de base qui se tient ; si on développe un peu plus cela, nous pourrons dire que c’est peut-être classique mais néanmoins plutôt cohérent. Effectivement, l’histoire est très intéressante ; il y a quand même des moments de mou mais, j’ai trouvé cela relativement prenant. Et cette fois-ci, il y a moins de personnages mais ils sont tous suffisamment développés et assez attachants. Leur évolution est tout à fait cohérente avec ce que le film montre et malgré un récit assez basique, je trouve que la narration est carré et va droit au but.
Bon, c’est indéniable, ce film a quand même très mal vieilli mais il y a énormément de bonnes choses. Ce qui est très frappant concernant la réalisation, c’est la photographie qui est très belle ; chaque lieu à sa couleur et son ambiance. Sur l’intégralité du film, le cadrage et les mouvements de caméra sont très planants et sont en adéquation avec ce qu’elle montre. En somme, la mise en scène est cohérente avec l’ambiance globale. Au même titre que la direction photographique, la musique est variée et est très marquante, elle ne se cantonne pas aux thèmes originaux mais se réinvente selon les ambiances et les tons que prend le film. Certes, une vieille réalisation, mais une vieille réalisation plutôt correcte et maîtrisée.
Pour finir, je conseille cet avant-dernier film de la saga d’origine ; simplement, le film est correct et reste sur ce qu’il sait faire tout en se réinventant un peu.
"Star Trek V: L'ultime Frontière" est le cinquième volet de la saga "Star Trek". Un film plutôt sympa, un scénario intéressant, j'ai trouvé qui manqué un peu d'action, manque de rythme et j'aurais bien aimé qui y est un peu de suspense.
Ecrit par Gene Roddenberry, David Loughery et Harve Bennett et co-écrit et réalisé par William Shatner, "L’Ultime Frontière" est une quête spirituelle qui enseigne que ce que nous cherchons au loin se trouve souvent dans nos cœurs.
Si le fond est intéressant, la forme est malheureusement beaucoup moins convaincante. Car ce cinquième épisode de la série originale n'a spoiler: ni l'esprit de "The Voyage Home", ni sa maîtrise technique .
Industrial Light & Magic avait fourni les effets spéciaux des trois films Star Trek précédentsspoiler: et les producteurs voulaient qu'ils continuent leur travail sur "The Final Frontier", mais tous les meilleurs techniciens d'Industrial Light & Magic - ILM étaient occupés à travailler sur "Indiana Jones et la Dernière Croisade" et "SOS Fantômes II" .
Ainsi, et avec des budgets et des délais limités, la décision fut prise de spoiler: créer autant d'effets que possible soit sur scène, soit grâce à des astuces de caméra, puis d'ajouter des effets spéciaux à prix réduit pour économiser du temps et de l'argent .
Ces aléas impactent le film, qui spoiler: offre une bonne introduction, mais qui pèche à la conclusion en ne parvenant pas à trouver un écho efficace, et en laissant un goût d'inachevé. C’est donc, à mon humble avis, la partie la plus faible de la pentalogie originale .