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Teresa L.
19 abonnés
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0,5
Publiée le 3 mai 2013
C'est mauvais mais pas seulement. Truffaut a très bien compris l'effet apporté par l'enfance à l'écran et il en abuse. Le déficit de sincérité est aggravé par un manque sidérant de suite dans les idées; ainsi le film fait penser à une succession de sketches avec un fil conducteur plus qu'à un film doté d'un scénario clairement élaboré. Du coup Stévenin fait ce qu'il peut mais ce n'est pas suffisant. Démagogique et menteur. Un coup bas.
A Thiers, la fin de l’année scolaire approche à grands pas. Durant cette courte période, on va suivre un groupe de garçon de milieu sociaux divers et vivant des réalités très diverses au sein de structures familiales hétéroclites. Ce film est une collection de vignettes et de petites saynètes sur l’enfance ordinaire, une ébauche de film chorale en quelques sortes. Il présente de fait une photographie de la condition de l’enfant dans cette société des années 70 en s’appuyant uniquement sur des comédiens amateurs. Le résultat, en termes de crédibilité du jeu, n’est que très rarement concluante ; c’est toujours le problème lorsque l’on laisse tourner la caméra en espérant tomber sur une pépite. Aussi en se privant d’un personnage principal contrairement à ses autres films sur l’enfance (« L’enfant sauvage » ; « Les 400 coups »), François Truffaut livre une étude sociologique quasi documentaire. Le romanesque est quasiment inexistant. On vire volte d’une famille à l’autre. Julien Lecloux est le seul personnage romanesque et incarne la gravité d’un film souvent léger mais surtout l’enfance volée. Apparemment dans ce personnage, Truffaut, à l’enfance malheureuse, a mis beaucoup de lui-même : entrée frauduleuse au cinéma, petits larcins,… Ce film patchwork est donc d’un intérêt limité mais présente bien une époque, celle de mon enfance. Pas indispensable.
Un regard tendre sur l’enfance ou la façon dont ils vivent le monde à leur échelle. Truffaut disait qu’à la longue, lors du tournage, ce film était devenu le leur. C’est un peu ce que l’on ressent dans le sens où c’est la vie des enfants qui est dépeinte ici avec les adultes qui gravitent autour. Elle n’est pas plus facile que celle des grands, la preuve avec l’histoire finale, mais c’est touchant et plein de grâce.
Une chronique de l'enfance attachante, infusée d'éléments autobiographiques de la jeunesse de Truffaut et portée par une interprétation pleine de spontanéité.
L’argent de poche. Ce n’est pas un film à voir au cinéma mais il passe très bien le soir sur la chaine de télévision Arte. C’est un film réalisé par François Truffaut. Il faut certes les supporter les films de François Truffaut. Mais là, comme c’est un film qui date, il fait maintenant appel à la nostalgie. C’est très bien réalisé. Il y a beaucoup d’acteurs et d’actrices amateurs, mais comme ils sont bien dirigés, ce film parait authentique. La vie française et des français dans les années septante. Mais il faut attendre la scène dans le cinéma pour s’apercevoir que les images de la France sont celles des années soixante. La France durant la guerre d’Algérie. Le mélange des classes sociales dans une ville de grandeur moyenne. Des scènes de vie qui s’accumulent. Du coup, ce film reste apaisant. Les comédiens restent attachants. L’acteur principal, le jeune garçon, c’est Bruno Staab, dans ce film c’est un jeune gamin, il deviendra plus tard Jetsetteur puis sera victime d’un terrible accident de la route. La vie. L’argent de poche. Nous avons qu’une jeunesse effectivement.
le côté irritant de ce filme de film au demeurant sympathique, c'est le caractère purement amateur et manifestement assumé par le réalisateur de tous les acteurs. Trop de scènes sont soient surjouées et donnent le sentiment que le texte est récité que ce soit chez les enfants qui souvent semblent prendre ça à la rigolade, ou les adultes plus laborieusement appliqués. Sinon, le film n'a pas vraiment de trame ni de scénario, plutôt un enchainement de saynètes dont certaines sont savoureuses, dans la France giscardienne des années 70 en pleine mutation. Tourné dans une ville où moi-aussi, j'ai été élève. J'ai reconnu, les rues, le cinéma, mais guère mes profs qui étaient un peu moins bienveillants avec les élèves. Le style reste celui de Truffaut, encore nouvelle-vague, bien moins travaillé que dans les 400 coups. Un film de ciné club.
Le scénario apparait bien vague !? mais avec le temps le film est devenu le témoin d'une époque et d'un lieu en particulier, l'école communale (bon pas vraiment à la pointe, 1975 et pas encore mixte). Un film par ailleurs pas désagréable avec ses petites histoires plus ou moins amusantes.
Regard tendre de Truffaut sur le monde de l'enfance et de la pré-puberté avec l'éveil de la sexualité. La majorité du film se passe dans le cadre de l'école primaire dans les classes de garçons. Les enfants jouent bien leur rôle dans la majorité des cas et les adultes ont des rôles secondaires à l'exception de l'instituteur. Celui-ci n'a pas toujours le ton juste dans ses monologues.
Un film qui sincèrement in se demande ce qu'il raconte et ce qu'il apporte au cinéma, cet en effets il ne se passe rien , absolument rien du tout, certes il y a des scène drôle et plutôt pas mal mais sans plus car on se demande même d'où viens le titre qui n'a absolument aucun rapport, et le film manque de rythme a certain moment même les autre film de Truffaut sont du même genre surtout je ne vois pas en quoi ça réalisation révolution le cinéma d'autre à l'époque on fait mieux ou pareil. Quelque que scène qui servent à rien et qui n'apporte rien d'autre qu'on a même l'impression qu'elle on était rajouter pour faire durée le film plus longtemps. Un film tourner dans la ville de Thiers dans ma région donc forcément il fallais que je vois ce films .
résumer: Un film qui sincèrement in se demande ce qu'il raconte et ce qu'il apporte au cinéma, cet en effets il ne se passe rien , absolument rien du tout, certes il y a des scène drôle et plutôt pas mal mais sans plus car on se demande même d'où viens le titre qui n'a absolument aucun rapport, et le film manque de rythme a certain moment même les autre film de Truffaut sont du même genre surtout je ne vois pas en quoi ça réalisation révolution le cinéma d'autre à l'époque on fait mieux ou pareil. Quelque que scène qui servent à rien et qui n'apporte rien d'autre qu'on a même l'impression qu'elle on était rajouter pour faire durée le film plus longtemps. Un film tourner dans la ville de Thiers dans ma région donc forcément il fallais que je vois ce films .
Un film qui sincèrement in se demande ce qu'il raconte et ce qu'il apporte au cinéma, cet en effets il ne se passe rien , absolument rien du tout, certes il y a des scène drôle et plutôt pas mal mais sans plus car on se demande même d'où viens le titre qui n'a absolument aucun rapport, et le film manque de rythme a certain moment même les autre film de Truffaut sont du même genre surtout je ne vois pas en quoi ça réalisation révolution le cinéma d'autre à l'époque on fait mieux ou pareil. Quelque que scène qui servent à rien et qui n'apporte rien d'autre qu'on a même l'impression qu'elle on était rajouter pour faire durée le film plus longtemps. Un film tourner dans la ville de Thiers dans ma région donc forcément il fallais que je vois ce films .
résumer ; A Thiers, dans le Puy de Dôme, une poignée d'enfants vivent les dernières semaines de l'année scolaire en attendant les vacances avec impatience: Bruno, Patrick, Laurent, Mathieu ou encore Franck, sans oublier Martine...Tous vivent à leur rythme et donnent une âme à ce village où les deux instituteurs, Melle Petit et M. Richet, tentent tant bien que mal de capter leur attention à l'approche de la colonie de vacances.
Un film agréable, cette petite chorale prend tout son sens dans les ultimes instants de cette composition. Ce discours prononcé par Jean-François Stévenin devant sa classe m'a vraiment ému. On entend la les mots de Francois Truffaut, on y voit une fois de plus sa bienveillance et son regard attendrissant sur cette jeunesse. Les parallèles avec l'actualités se font de plus en plus ressentir à mesure que je découvre son oeuvre. Cette chronique est aussi très amusante, les enfants sont merveilleux et font sourires. Une imagination débordante et une douceur s'écoule tout au long de ce long métrage, on ne peut que s'en délecté.
Avec " L'argent de poche" Truffaut signe son second film sur l'enfance après les " 400 coups", j'avoue que je suis resté sur ma faim avec ce film, Truffaut donne l'impression de ne pas avoir réellement de scénario et semble préférer parler de l'enfance comme elle se déroule c'est a dire sans plan.Ce qui peut passer pour une bonne chose à des effets néphastes sur le film car il en perd en interet, on a pas droit a une histoire ou a une vraie trame mais à plein de petites scènes collées les unes aux autres ce qui donne parfois un effet " être et avoir" qui ne serait pas déplaisant si le film était un documentaire. On ne doute bien sur pas de la sincérité et de l'envie de Truffaut de faire ce film mais certains choix semblent discutables. Quant au jeu des acteurs il semble inégal quand on compare les acteurs, certains enfants sont bouleversants de sincérité, de roublardise ou d'humour ( la petite qui se jette par la fenetre, le " tombeur" etc) et d'autres ne semblent pas oublier qu'ils récitent un texte ( Patrick), même Jean François Stévenin dans son rôle d'instituteur social surjoue un peu a certains moments sauf son monologue à la fin du film où grâce a un texte bien écrit et un bon jeu réussit à nous passionner. Malgré ses défauts le film réserve de très belles séquences comme les passages où apparait la petite fille que j'ai précédemment cité ou la scène du cinéma a 4 qui rappelera des souvenirs a pas mal de monde ;-).
Sensible aux choses de l'enfance, François Truffaut y consacre un film qui se trouve être moins une histoire qu'un sujet. Cette chronique provinciale s'articule autour d'un quartier, d'une école primaire, d'un cinéma, tout un microcosme chaleureux où défilent et se croisent les enfants, leurs parents, leurs instituteurs. Le récit se fonde sur maintes anecdotes évoquant l'univers de l'enfance en général -la candeur, l'espièglerie, la découverte- et des situations particulières, tel ce garçon privé de l'amour d'une mère et amoureux de celle de son camarade, tel cet autre, cas social ordinaire et accablant. Avec son tact et sa gentillesse, son humour et sa connaissance, le cinéaste brosse de justes portraits qui proposent un reflet sociologique -savoureux a posteriori- des années 70. C'était l'époque des robes courtes pour les filles (et les mères) et des cheveux recouvrant les oreilles pour les garçons (et les pères). Si le fim souffre peut-être de sa dispersion volontaire et de ne pas s'appuyer sur une intrigue unitaire, il parvient néanmoins à restituer la grâce et la vitalité de l'enfance, tout en exprimant une certaine manière de vie provinciale paisible et sans complexité. Au final, Truffaut, dans son postulat, déplore le statut de l'enfant, négligé par les adultes en dépit de sentiments et d'une vie sociale tout aussi tangibles que ceux de leurs ainés.
Comédie chorale qui met essentiellement en scène des dizaines d'enfants. C'est mignon, rafraichissant et bien tourné. Mais il manque un fil directeur qui fasse en sorte qu'on soit moins dans une succession de saynètes, certes attendrissantes et légères, plutôt que dans une histoire structurée dans laquelle on s'investisse davantage. L'argent de poche sert de prétexte et de titre, mais ce n'est pas du tout central ici. Au bout du compte, que retient-on de ce film ? Une retranscription de la vie d'enfants à l'école mais rien d'autre. L'humour est à peine prononcé. De plus, la scène où l'enfant tombe du balcon et survit est irréaliste, et on voit clairement qu'on utilise une poupée durant la chute, cela gâche ce qui se voudrait une retranscription fidèle et réaliste de la vie juvénile.
Quatre cents coups - L'enfant sauvage - L'argent de poche. Trilogie sur l'enfance, sujet qui tient à coeur au cinéaste. Si le premier cité la propulsé au sommet, c'est parce qu'il est un marqueur de son temps. Et rien de mieux que la jeunesse pour mettre en avant les préoccupations d'une époque. Mais comme l'enfant sauvage, l'argent de poche donne l'impression d'être une simple relique de l'avènement Doinel. Rébellion oui, enfant roi aussi, mais pour autant rien de révolutionnaire dans le cinéma de François Truffaut.