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mathilde's imagination
1 critique
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1,5
Publiée le 22 août 2022
Je ne comprend pas que tellement de monde aime ce film , les agressions sont très romantisées , de plus le film et assez violent psychologiquement , mais il n’y a aucune restriction d’âge . Le seul point positif sont les musique qui sont très bien choisis .
Palme d'or en 1993, La leçon de piano brille par une réalisation somptueuse et un duo d'actrices exceptionnel. La thématique peut en revanche déranger. spoiler: Ada McGrath, isolée avec sa fille au milieu des tribus aborigène de Nouvelle-Zélande, subit le chantage d'un homme souhaitant s'attirer ses faveurs en échange de son piano (seul élément lui permettant de s'épanouir). Il s'agit tout simplement d'agressions sexuelle successives, le personnage d'Ada exprimant très clairement son non consentement, mais aboutissant tout de même à un amour passionnel...
Au delà de cette maladresse scénaristique, à replacer dans un contexte social moins sensibilisé à ces questions, le film est un joyau cinématographique.
Palme d'or à Cannes, " la leçon de piano" est sans doute le film le plus connu de sa talentueuse réalisatrice, même si ce n'est pas le meilleur.
Au XIX e siècle, Une écossaise aphasique,veuve et mère d'une petite fille, se rend en nouvelle Zélande afin d'honorer une proposition de mariage.
Le film aborde plusieurs thèmes dont le principal me paraît être la répression sociale axée autour d'une société qui ne se fixe pas pour but l'accomplissement et l'épanouissement des êtres qui la composent.
Bien interprété par l'ensemble de la distribution et très bien filmé, la seconde partie manque tout de même un peu d'inventivité scénaristique.
Je préfère et de loin de Jane Campion " portrait de femme" , selon moi son chef-d'oeuvre.
Tout semble bien commencer lors des premières minutes du film quand soudain tout part en vrille !
En gros Ada (personne muette dépourvue d’émotions visible) est vendue à son mari. Sauf que son piano est resté sur la plage. Du coup un vieux gars mal intentionné prénommé George se dit : « Oh tient un piano et une mada me qui va avec ! ». Donc il décide de marchander pour avoir des cours de piano mais le filou il fait tout sauf faire du piano ! Pour la faire courte il tente de la violer et elle va finir par être consentante. PAUSE : à se moment là il faut noter que la fille de Ada a tout vu et que la dernière case qui lui manquait s’est envolé (elle essaie de planter un chien et juste après elle le console, normal !).
(EN APARTÉ : la naine essaie de pécho des arbres avec son gang de potes sous la surveillance des adultes, du coup comme le mari était pas content elle est partie les laver.)
Il est important de préciser que le mari comme de par hasard se retrouve devant la maison a scruter salement sous le plancher Ada et Georges.
Accrocher vous c’est pas fini !!
En colère mais ayant apprécié ce qu’il a vu, il demande des compte à sa femme ainsi, il va essayer de la violer (et on sait pas si elle est consentante car elle va le voir le soir). Puis après avoir enfermé toute la famille chez lui, pour ne pas que Ada déserte pour aller chez Georges, dès qu’il les libère elle envoie sa fille (la traîtresse) envoyer une touche de piano (preuve d’amour) à Georges Mais comme elle est bipolaire bah elle va pas voir Georges mais elle va aller cafter au mari. Furax il prend sa hache et coupe un doigt à Ada.
Après une X-ième tentative de viole (ou viole) elle se barre avec Georges dans un bled inconnu comme des vinking sur leur bateau, sans oublier le piano ! Au milieu de la mer elle décide de jeter le piano a l’eau (encore et toujours en silence) mais l’autre gourde plonge avec le piano dans une tendre et longue et lente danse aquatique faisant un parallèle entre le piano et Ada.
On espérait que c’était la fin mais forcé d’admettre qu’il restait du temps, le calvaire a continué et Ada ayant compris après 1h qu’elle allait mourir, elle a enfin réagit cette gogole. Elle remonte (par la bonté du saint esprit) et coule des jours heureux avec Georges quelque par. Elle apprend à dire des sons et refait du piano grâce à Georges (Pas malin) qui lui a fait une prothèse en métal qui donne le tempo sur le piano car il a oublier de mettre le truc qu’on met sous les chaises pour pas qu’ça couine
A ne surtout pas regarder avec sa classe et son prof de math ;)
Comment ce machin érotico-nunuche, lourdingue, simplet, misandrique, insulte au cinéma, au piano, à la femme, à l'homme, mal joué, mal écrit, mal réalisé, navrant de clichés, accompagné d'une partition qui est au piano ce qu'André Rieu est au violon, comment ce machin a-t-il pu extasier le tout-Cannes et un public nombreux à travers le monde, c'est un mystère que l'histoire du cinéma n'a pas totalement résolu.
Peut-être le mystère du nanar planqué sous les atours du chef-d'œuvre, et qui parvient à berner des trombes d'ahuris, le mystère d'une muette hystérique émoustillant un parterre d'aveugles idiots !
Jane Campion utilise la nature néo-zélandaise comme décor à ce film d’amour entre une muette pianiste Ada (Holly Hunter) et un illettré proche des Maoris Baines ( Harvey Keitel). La cinéaste décrit avec beaucoup de sensibilité cette relation d’abord forcée qui devient par la suite de l’amour. Un film avec beaucoup de sensualité mais avec un scénario finalement assez classique. La bande son est très belle mais il faut aimer le piano. Une déception, je m’attendais tout de même à beaucoup mieux même si le film est loin d’être mauvais
Magnifique. Que dire un film comme on en fait plus. L'actrice principale devient de plus en plus belle à nos yeux au fur et à mesure que les minutes progressent... Et quel scénario original !
Palme d’Or du festival de Cannes en 1993 puis lauréat du César du meilleur film étranger, ce long-métrage de Jane Campion s’appuie sur une trame scénaristique relativement banale. Néanmoins, la réalisatrice fait preuve d’un esthétisme et d’une grande sensibilité dans sa mise en scène qui lui permet de produire une œuvre largement au-dessus de la moyenne. En nous plongeant dans la Nouvelle-Zélande sauvage du XIXème siècle, on a le droit à une sorte de huis-clos autour d’un piano. Holly Hunter (Oscar de la meilleure actrice pour son rôle) interprète une femme muette venue d’Ecosse épouser un colon (Sam Neill). Sa passion pour la musique va l’entrainer dans une histoire d’adultère avec un homme illettré (Harvey Keitel). Cette liaison interdite, d’abord subie puis profondément désirée, fait l’objet d’une description intelligente où sensualité et musicalité s’entremêlent. Bref, un drame romantique de grande qualité.
"La leçon de piano" de Jane Campion avait obtenu une très bonne réception critique à sa sortie en 1993. Le film retrace l'arrivée d'une fille et de sa mère, muette mais grande pianiste, en Nouvelle-Zélande dans le cadre d'un mariage arrangé. Le film est assez original et dépeint avec justesse les sentiments de la jeune femme qui tombe amoureuse du voisin de son mari. Les acteurs et notamment le duo Holly Hunter et Harvey Keitel sont assez brillants. Le film tient aussi pour présenter de manière intéressante le lien entre sentiments et sexualité. On pourra juste regretter que les ficelles de l'histoire soient un peu trop grosses et que la fin ne soit pas très crédible. "La leçon de piano" reste un classique qui mérite d'être vu au moins une fois.
hummm j'ai lu pas mal de commentaires sur ce film ... trop sophistiqués à mon gout ! Ce film donne l'ambiance d'une époque, de la rudesse, des bons moments cachés, de l'espoir d'un meilleur
Très long. Beaucoup, beaucoup de longueurs. Le film se voudrait beau mais ne suscite que l'ennui. Très cliché surtout, l'histoire n'a rien d'original. C'est l'histoire d'amour type, avec le mari jaloux et les deux amants qui voudraient rester ensemble.
Une histoire d’amour qui propulsa la simple réalisatrice de Nouvelle-Zélande au rang de Reine du cinéma. Une palme d’or historique, un amour qui se développe pour cette réalisatrice mettant en avant la femme et les intrigues émotionnelles de façon unique et belle. Mais cette reconnaissance est-elle méritée pour cette simple leçon de piano? Encore aujourd’hui le constat reste le même car cette œuvre est incontestablement un chef-d’œuvre. Cela pour plusieurs raisons, bien sûr. Campion eu sa chance de prouver son talent avec ce film et c’est avec intelligence et subtilité qu’elle le fit! On trouve un film où la beauté de l’image épouse une intrigue de désir et de passion. La Nouvelle-Zélande est ainsi le terrain de jeux de la cinéaste où l’on voit évoluer une femme muette accompagnée de sa fille arriver sur cette terre sauvage et hostile. Par sa nature et ses habitants, du moins ce mari qui apparaît comme nonchalant et désagréable. L’effort n’aboutit pas et seul le piano compte. L’intrigue se concentre sur un objet, on ne pense qu’à lui et tout est amené par lui. Il mène la mélodie qui amène passion, haine, tristesse. Jusqu’à disparaître. Pourtant il reste et marque pour toujours des personnages en quête de libertés. La note fatale laisse apparaître la délivrance d’un personnage torturé par le silence et le désir, Jane démontre avec virtuosité toutes les nuances dans les personnages qu’elles développent. Par ce film, une grande cinéaste née.
WTF !! Mais quel horreur ce film .... relations malsaines et personnages irréalistes et totalement incompréhensible !!! Mais au secours XD Une vraie purge !!! Zappé directement sauf si vous raffolez du ciné prétentieux et surfait ;) (Les notes et les commentaires sur ce film me laisse sans voix)
Je suis dubitatif face à ce film, longtemps seule Palme d'or réalisé par une femme... et je crains qu'on ne se souvienne de cette Palme en particulier (alors qu'on a oublié la plupart des films récompensés, y compris celui avec lequel La leçon de Piano a partagé son prix) c'est plus pour le sexe de son auteur que pour sa qualité.
J'ai trouvé ça assez insupportable du début à la fin tant je suis resté hermétique face à ce qui était proposé... Ces personnages qui n'arrivent pas à communiquer, la fille muette qui dit parle grâce à sa musique... tout ça m'a semblé d'une profonde banalité.
Mais le pire c'est je crois les scènes avec Harvey Keitel, car autant le personnage de Sam Neill est exaspérant à être un idiot à ne pas se rendre compte que sa femme, avec qui il espère coucher, veut son piano resté sur la plage, autant la pseudo délicatesse des scènes Keitel m’écœure au plus haut point. C'est fade, ça se tourne autour du nombril, c'est sans vie, sans passion, sans intensité, ce qui fait qu'on voit bien où veut venir le scénario, ce n'est pas comme si le film était original à ce niveau là, c'est juste qu'on y arrive platement, sans aucune émotion... et lorsque ça arrive on se dit : ah... ok... c'était vraiment ça... le film tente vraiment de nous faire croire que cette fille froide était en fait follement amoureuse...
Et puis il faut parler du jeu d'acteur de Holly Hunter, qui est tout ce qu'il y a de plus exaspérant... après faut dire que vu le personnage insupportable qu'elle se tape à interpréter ça ne devait pas être facile... J'ai l'impression qu'elle ne savait pas comment jouer une muette, donc on se demande tout le temps si en fait elle n'est pas juste bête.
C'est encore un de ces films qui durerait 30s si jamais les personnages faisaient l'effort de communiquer...