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Un visiteur
3,5
Publiée le 24 novembre 2011
Un réalisme romantique plutôt impressionnant, un film aussi profond que la mer dont il est question a la toute fin. Histoire intéressante mais qui tourne un peu en rond, néanmoins, personnellement je ne me suis pas lassé car la beauté des plans n'en aura pas fini de m'enchanter : quelle splendeur ! Les acteurs sont d'un très haut niveau ( notamment et surtout Holly Hunter dans un rôle qui n'est vraiment pas facile à tenir ). Une histoire en elle même banale mais maîtrisée. Bon voir très bon film.
La musique, la musique merci...pour ces notes de musique. Lspoiler: a passion a t elle toujours raison ?
Une belle histoire ou chaque acteur est parfait dans sa composition.
Succès à Cannes comme aux Oscar, La Leçon de Piano a permis à sa réalisatrice, Jane Campion, d'acquérir une notoriété mondiale. Elle dépeint ici la vie d'une femme muette, Ada, qui a comme moyen d'expression le piano. Elle part avec sa fille en Nouvelle-Zélande épouser un homme qu'elle n'a jamais vu. Lors du débarquement, son instrument est récupéré par un ami de son mari et elle se retrouve obligée de se soumettre à ses exigences pour récupérer son bien. La réalisatrice insuffle une dimension romantique à son film, cela se sent à la vue des images et des personnages. Les premières sont somptueuses, Campion montre la beauté simple des paysages de la Nouvelle-Zélande (la plage, magnifique). Les deuxièmes sont servis par d'excellents acteurs qui expriment beaucoup d'émotions sans efforts. Holly Hunter est bluffante, elle arrive parfaitement à jouer silencieusement, avec seulement ses traits tirés et son regard comme moyen d'expression. Keitel, Neill et Paquin sont aussi très justes. La musique, composée presque uniquement des morceaux de piano, donne un ton à la fois mélancolique et vaillant au film. Au final, il n'y a que deux reproches minimes à faire. La sous-intrigue avec les maoris est un peu brouillonne et pas très explicitée. Quant aux scènes montrant les fameuses leçons, elles auraient pu être plus longues. Je trouve qu'on ne ressent pas assez longtemps la tension sexuelle de la situation, ce qui est bien dommage. La Leçon de Piano est une oeuvre envoûtante qui mérite sa Palme d'Or.
Une histoire pas vraiment surprenante mais touchante, interprétée par des acteurs inspirés: si Holly Hunter captive le spectateur en faisant passer tant d'émotions dans son silence, Sam Neill est remarquable dans son rôle de mari trompé et impuissant. La musique contribue largement à l'atmosphère du film, qui se veut une réflexion sur la condition féminine et l'expression des sentiments. Certains trouveront qu'il s'agit d'un "pensum" un peu indigeste, mais faisons foin de celà: La Leçon de Piano est un beau film.
La leçon de piano est un très beau film, qui nous laisse un peu sans voix quand vient le générique. L'histoire est touchante et l'histoire d'amour est très belle, la musique est culte et les acteurs sont juste excellents dans leur rôle. Le film est un film qui nous bouleverse sans savoir pourquoi. La leçon de piano est un film à voir au moins une fois.
Terriblement lent et long, même si la photographie et la musique sont très belles et soignées. Sans m'avoir emballée, ce film reste je pense un des meilleurs films en costumes.
Un film aussi mauvais que lady Chatterlay, des longueurs pas possible, avec un scénario qui change toute les 5 minutes, on ne comprend rien à la pseudo psychologie du personnage principal, on s'ennuie... Bref, je ne conseil ce film à personne.
Aussi fade et sans saveur que l'est la couleur grise omniprésente dans ce film. J'ai perdu deux heures de mon temps qui m'auraient été bien plus utile si j'avais fais une sieste.
Je me sens un peu stupide étant donné la foultitude de bonnes critiques de la presse et des spectateurs à propos de ce film ! En effet j'ai vraiment pas accroché au film. Les acteurs et leur histoire, ou leur interprétation ne mont pas touché. Je n'ai pas ressenti les sentiments des personnages. Ca ne sexplique pas, je ne suis pas rentrée dedans. Affaire de goût certainement, c'est très personnel.
Mais comment Harvey Keitel a-t-il pu accepter un rôle dans ce film? Parce que ce film arrive quand même à mêler ennui, trivialité, et surtout, à la fin, n'importe quoi... L'histoire de cette femme muette arrivant en Nouvelle-Zélande pour se marier avec un homme qu'elle ne connaît pas, qui vend son piano malgré sa protestation sourde contre un terrain, et essaye de le reprendre par un marché de "catin", il n'y a pas d'autres mots... Durant la première heure, passe encore, hormis les immondices qu'elle joue au piano, car on se demande jusqu'où elle ira, si elle trompera son mari. Le tout sans aucun plan qui vaille le détour mais bon, cela reste somme toute potable. Mais la deuxième heure, c'est un grand moment. Entre le mari qui va jusqu'à assister à leurs ébats, la rupture sous la pluie torrentielle et bien d'autres coups de théâtre que vous ne pourrez même pas imaginer tellement on frise le mélodrame complètement niais. Et le tout enrobé d'un vide monumental, saupoudré de scènes inutiles! On se demande comment le film peut durer 1h55 alors que le scénario est si mince!
Histoire improbable pour mélodrame pompeux, "La leçon de piano" (1993) n'évite aucun poncif du genre, rebondissements incensés évidemment et fin ridicule. Par insuffisance d'avoir déjà bien nivelé vers le bas, Jane Campion a en prime la prétention de savoir placer une caméra. Qu'importe si c'est le cas car la musique omniprésente, épuisante, lui ôte notre admiration de sa mise en scène. Et le film se veut poétique! Ou est la poésie là dedans, si ce ne sont les deux tirades d'extrêmité, d'une banalité affligeante ? En plus, qu'est-ce que c'est vulgaire! Cela dit la réalisatrice néo-zélandaise a touché son public (et Cannes) avec son machin, à croire qu'il était en mal de niaiserie! Une étoile pour la photo... et puis Non! L'arnaque palmée de la décennie précédente.
Le résumé de l'histoire parle de lui-même : une muette débarque sur une plage néo-zélandaise avec sa fille et son piano (nous sommes donc dans le pur réalisme romantique) pour y rejoindre un mari qu'elle n'a jamais vu. Un voisin s'empare de l'instrument pour faire du chantage sexuel à la coincée qui donnera son corps pour récupérer son piano *à queue* (s'ouvrant par là-même à la sensualité, très fort !).
Une espèce de fablette stupide qui prétend militer pour la libération sexuelle de la femme (en 1993... Jane Campion a dormi très tard). Attention à la symbolique : le piano, c'est l'âââââaame de la mutique, sphinx ouvrant sur son vagin à condition d'en percer l'accord ! Et un seul, au milieu d'une horde de mâles sauvages et stupides, y arrivera... Passons sur le dénouement de l'affaire, qui vaut tous les spectacles comiques du monde.
Comment ce machin érotico-nunuche, lourdingue, simplet, misandrique, insulte au cinéma, au piano, à la femme, à l'homme, mal joué, mal écrit, mal réalisé, navrant de clichés, accompagné d'une partition qui est au piano ce qu'André Rieu est au violon, comment ce machin a-t-il pu extasier le tout-Cannes et un public nombreux à travers le monde, c'est un mystère que l'histoire du cinéma n'a pas totalement résolu.
Peut-être le mystère du nanar planqué sous les atours du chef-d'œuvre, et qui parvient à berner des trombes d'ahuris, le mystère d'une muette hystérique émoustillant un parterre d'aveugles idiots !
La première partie du film m'a suffit. Holly Hunter est absolument insupportable. Ce n'est pas parce que le personnage est muet qu'il faut surjouer comme ça ! La petite fille joue aussi très mal, tout comme Sam Neil que j'apprécie pourtant. Dommage, une étoile pour les musiques magnifiques au piano...
Certainement la preuve que le nombre de récompenses que peut recevoir un film n'est pas proportionnel à sa qualité, Une jeune femme prise de passion pour un instrument de musique est contraint de se marier avec un colon, malheureusement elle perdra son piano donc elle se prostituera pour le récupérer ! Finalement vous ne savez pas quoi, elle tombera amoureux de son agresseur et délaissera son mari ! Ce film est malheureusement souvent associé au féminisme alors qu'il n'en défend pas du tout les principales convictions ! Tous les personnages sont médiocres, la fin aussi banale que l'intégralité du film qui est trop long pour ce récit si peu qualitatif, j'écrirai un meilleur scénario le soir accoudé à ma table de chevet, quelle idée de montrer un personnage qui tombe amoureux de son violeur au cinéma.
Une ambiance envoutante, parfois à la lisière du fantastique. Un drame bouleversant. Une performance d'actrice exceptionnelle (Holly Hunter). Une oeuvre majeure, sans hésiter !