J'avoue ne pas avoir vu la série même si je suis fan de comics. Le synopsis avait l'air intéressant... Spawn aurait pu être un bon film fantastique mais c'est loupé. Les effets spéciaux même pour l'époque ne sont vraiment pas terribles. J'ai été très déçue.
Je l'ai vu à l'arraché chez un ami chez qui je passé vite fait (il y a plus de 20 ans) et je me suis dit qu'il fallait que je le vois entièrement et ce fut chose faite ya à peine 2 ans, enfin presque car j'ai arrêté le film au bout de 23 minutes abominable et insupportable car ce film et une TOTALE CATASTROPHE.....c'est affligeant,au début j'ai rit dû au ridicule du film puis je suis passé au désespoir et ensuite au dégoût d'une TELLE DAUBE. C'EST TOUT SIMPLEMENT UNE HONTE d'avoir réalisé et produit une telle MERDE sachant qu'il y a tant de réalisateurs qui essaie de monté des films plus qu'intéressant et qui ni arrivé pas pour tel ou tel raisons (en général dû au studio qui veulent tout diriger) enfin bref même ELEKTRA ou DARDEVIL sont 100 fois meilleur......pour vous dire !!!
Même pour un nanar ou un film kitsch, c'est vraiment très bas de gamme. On n'entre pas du tout dans l'histoire, les dialogues et expressions sont grotesques, il y a des trous dans la chronologie, les effets spéciaux sont très mauvais (incrustations 3D indignes). Seul point positif, les designs originaux du comics sont respectés.
Vos yeux ne sont pas prêts. Vous pensez pouvoir supporter toute mocheté filmique, mais vous allez faire la connaissance d'un film à 40 millions de dollars qui a tout d'un film d'étudiants (les cancres, au fond de la salle près du radiateur), absolument hideux à voir. Les effets spéciaux tels que les détourages verts qui émanent du clown (l'antagoniste dont on ne comprend pas vraiment les motivations, il retourne sa veste toutes les deux minutes) vous piquent déjà les rétines ? Attendez d'avoir découvert l'Enfer et son Démon, tout en numérique vomitif, qui vous faciliteront le transit. Spawn mérite le zéro pointé, avec son intrigue nullissime : le papounet qui revient des Enfers en héros malaimé, qui lutte contre une prophétie apocalyptique qu'il doit déclencher... Soit, mais avec Bozo qui se transforme en cafard géant, avec un Cerbère de la Porte encore plus mal fait que dans l'ancien Ghostbusters - oui, il fallait le faire - et un papounet qui n'est qu'une base à des scènes mièvres... Au secours. Spawn nous donne envie de regarder nos pieds durant une heure trente, heureusement les doubleurs sont là (l'unique raison qui nous a poussé à mettre quelques points à ce navet accompli) : Roger Carel brille de mille feux même dans ce rôle minable, Michel Vigné et Patrick Floersheim assurent, et même un petit rôle de Véronique Augereau (Marge Simpson, pour les intimes). Ils sont tous là, et ils nous ont régalé les oreilles malgré la pauvreté abyssale des dialogues qu'ils ont eu à débiter, on reconnaît bien là le pouvoir fascinant des bons doubleurs. On regrette que le visuel ne suive pas le milliardième du talent vocal offert à Spawn, on remet un coup d'oeil au Démon, et on veut se désinfecter les yeux à l'eau bénite. Fortement recommandé si vous avez des tracas intestinaux.
C’était la première réalisation de Mark A.Z. Dippé, qui s’est ensuite spécialisé dans l’animation sans grand succès à l’image de Reviens, Garfield !. Avec Alan B. McElroy, ils ont écrit le scénario pour adapter le personnage Image Comics crée par Todd McFarlane.
Le personnage de Spawn n’est pas connu comme ceux de Marvel ou DC Comics, mais a pourtant une belle réputation. Lancé en 1992 par l’éditeur Image Comics, celui-ci a eu le droit à sa série d’animation de 1997 à 1999. Depuis quelques années, la rumeur d’un reboot se fait grandissante notamment sous l’impulsion de son créateur Todd McFarlane. Jamie Foxx était désigné comme le futur rôle principal. Un clin d’œil du destin quand on sait que McFarlane a aussi travaillé sur la série de comics The Amazing Spider-Man en 1988 avant de faire Spawn.
Ce qui fait le plus mal avec ce raté, c’est que le personnage de Spawn en soi est génial. Il représente une violence souvent mise de côté par les grosses industries. Son design est vraiment classe, en tout cas dans les comics. Cet aspect démoniaque peut être terrifiant et son potentiel est gigantesque.
Seulement, dans ce cas-ci, c’est une purge à voir. Visuellement, le résultat est tout bonnement immangeable. On pourrait même dire que c’est une honte d’avoir osé livrer cela. Pour ne rien arranger, Michael Jai White n’a aucun charisme du tout pour interpréter Spawn. Son jeu d’acteur est ridicule, à l’image de son personnage pas du tout construit. Il y avait pourtant tant de choses à faire avec. Il n’est cependant pas le seul à couler. L’unique point positif dans tout ce marasme reste le clown. Avec ses phrases tyranniques, il arrive à déclencher quelques rires.
C’est tout le contraire du rythme qui est d’un ennui pas possible. Malgré le fait qu’il ne dure que 1h30, ce qui en soi n’est pas long pour lancer un personnage et lui construire une intrigue, Spawn arrive à enchaîner les temps mous. Il faut dire qu’avec un scénario ultra-brouillon, le résultat aurait difficilement pu être correct. Le nombre de passages sans aucune logique est considérable. C’est à se demander si ce n’est pas fait exprès pour plomber la franchise auprès du grand public. Une chose est sûre, le reboot ne pourra pas faire pire que cela.
Maintenant que le visionnage est fait, à choisir entre revoir le film et me vider les globes oculaires avec de l'acide, j'opte pour l'acide. Tout est mauvais. Les "incrustations" 3D sont mauvaises, a se demander si ils n'ont pas refiler la 3D à un stagiaire. L'imagerie de synthèse n'est ni faite ni à faire (pour comparaison, Jurassic Park 1993, the Mask 1994, Jumanji 1996, 5e Element 1997, Mars Attack 1996, Terminator 2 1991). L'enfert ne représente rien de descriptible, le roi démon ressemble à un clébard errant malade, la gorde de démon qui attendent d'envahir la terre sont des éléments randoms vert.
C'est hideux !
L'histoire bateau mais bon, adapter un film de comics donc on va pas demander la lune. Ils arrivent tout de même à rendre ça inintéressant.
Le jeu d'acteur est ... mon dieu mais quelle horreur... Sans rire, John Leguizamo est exaspérant dans son rôle de clown débilissime, Martin Sheen n'est clairement plus au niveau de ce qu'il avait pu faire par le passé. C'est surjoué sur tous les rire "diabolique" de grand méchant, et Michael Jai White fait de même surjoue toute ses répliques avec une bonne grosse voix roque pour montrer qu'il est pas là pour rire.
Même avec 1h30 à perdre, ce film n'en vaut pas la peine. Allez sur Youtube pour la BO à la limite mais même là, ça casse pas 3 pattes à un canard.
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0,5
Publiée le 20 septembre 2021
Je ne suis pas sûr que la bande dessinée Spawn puisse vraiment être adaptée au cinéma. Pour résumer vous avez un tueur à gages de la CIA assassiné qui conclut un pacte avec le diable et qui revient sous la forme d'une créature difforme dotée d'étranges pouvoirs et doit faire face à un démon psychotique sous la forme d'un clown. Peut-être que Sam Raimi ou Guillermo Del Toro auraient pu faire un tel film mais hélas pour nous tous ils ne l'ont pas fait et le résultat est une production inepte. Michael Jai White est tout simplement mauvais dans le rôle principal. Son interprétation de Spawn n'est pas particulièrement héroïque ou anti héroïque ou sympathique il ne dégage rien. L'enfer et le diable Malebolia sont risible vraiment risible. Ils auraient pu au moins animer la bouche du diable pour qu'elle bouge en synchronisation avec sa voix et si c'est ça l'enfer ça me fait juste rire. Martin Sheen dont nous savons tous qu'il est un bon acteur ajoute peu au personnage de Wynn. Cette intrigue n'est pas dans la bande dessinée mais même si elle l'était elle aurait été idiote. Des médecins vont-ils vraiment insérer une bombe dans le cœur de quelqu'un sans se dire bon sang ce type va mourir un jour et qu'il n'y a donc aucun doute que cette bombe explosera et tuera des gens autour ce jour la. Enfin le seul aspect positif de Spawn et que si je vais en enfer je sais que je peux m'attendre à un endroit rempli de personnages de dessins animés et que j'aurai du bon temps là-haut...
Le film est pour le coup relativement mauvais. Le jeu d'acteur est mauvais, le scénario n'est pas bon et les effets spéciaux absolument insupportables. On va dire que c'est adapté à des enfants de 6 ans mais plutôt dans les années 90...
Affligeant !!! Si comme moi, vous êtes curieux car passé à côté, ne perdez pas votre temps. Comment est-ce que ça a pu sortir au cinéma un jour. Même en sortie CD, j'aurais pas osé. Vraiment rien ne va: ni le scénario, le jeu d'acteur (à part le clown), la FX à gerber et même pour l'époque y'a beaucoup mieux. Les méchants sont pourris. Ils ont mis tout le pognon dans le costume ça se voit mais pour quel résultat désastreux.
Ça atteint un tel niveau de nullité que ça en devient génial. Mais c'est malheureux de voir un matériaux de base passionnant piétiné à ce point. On retiendra ce clown démoniaque en mode The Mask et ces hideux effets spéciaux à faire decoler la rétine
Regrettable adaptation qui enterra le HellSpawn pour longtemps. Il est difficile de trouver des points positifs, même le costume n'est pas assez travaillé, quand à son côté polymorphe à la "venom" le rendu est hideux. Faut il vraiment parler de la séquence en carton pâte qui se déroule en enfer ? Non. Spawn a été fait trop tôt, les effets spéciaux de l'époque ne permettait pas des rendus corrects sur les phases numériques. Choisir un réalisateur novice était risqué et ils ont payé leur paris au prix fort. L'intrigue est éminemment simpliste, mais pour ça le matériaux de base des comics n'est pas non plus un summum de complexité. Reste l'affiche jolie. Todd surprend nous !!
L’infructueux succès commercial peut expliquer, premièrement le budget serré donnant ces maquillages cheap et ses effets spéciaux PlayStation pour une production des années 90 quand même. Il y en a eu des bons comme l’impressionnant visuel diptyque, les inoubliables réalisations comiques des comics « Batman » de Joël Schumacher, deuxièmement le scénario du plus sombre des super-héros qu’est « Spawn », l’effrayant envoyé des ténèbres dont la rédemption a un prix, après sa vie mortelle d’agent assassin pour le compte gouvernemental secret. La chose Seigneur Satan ne l’a pas loupé et attend de lui comme il se doit de servir en contre-partie, sa vie devenue immortelle maudite contre la sienne, c’est le pacte de l’Enfer, les parents n’emmèneraient certainement pas leurs enfants de moins de 12 ans voir cette violente séance ciné, le doux conte « E.T l’extraterrestre » est préférable. Ce départ de l’intrigue ténébreuse tonitruante se termine en queue de peloton, la destinée de l’issue manque le coche du chef-d’œuvre, fabuleux ou exceptionnel. C’est une lutte philosophique telles les variétés de bandes dessinées américaines, l’interminable bataille du bien contre le mal, une métaphore métaphysique Manichéenne, ça en jette un coin, à l’autre image des super-héros contre les super-villains en vain. Le personnage du corpulent clown maléfique joué par John Leguizamo est rigolo, ce n’est pas un navet et aurait pu être réalisé plus génialement. Contentons nous de la scène finale spacieuse cape des limbes tortueuses héroïques, la musique satanique de Marilyn Manson et heavy metal compagnie va comme un gant à ce film assassiné par la critique donc oublié. Rien à voir avec « Mortal Kombat » qui en est différent puisque c’est un jeux vidéo à la base, il y a une histoire derrière ses combats sans pitié littéralement, puisée de la BD de Todd McFarlane, en attendant le reboot qui serai la bienvenue.