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Kubrock68
42 abonnés
1 277 critiques
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1,0
Publiée le 13 juillet 2021
Une jeune femme a rendez-vous dans un café tôt le matin avant sa première journée de travail dans un grand hotel. Le film français comme on les déteste. Aucun scénario, aucune intrigue, aucune originalité, le néant. Pourquoi produire des films comme celui-là. Le seul intérêt du film les 2 jeunes acteurs principaux virginie Ledoyen et benoit Magimel. A éviter.
C'est finalement du côté de Bresson que Jacquot revient sur sa manière d'aborder ici le cinéma. Ce portrait d'une jeune fille qui choisit la solitude, ancré dans un univers professionnel peu montré dans le cinéma français, est captivant car il ne contient pas une once de gras. Cette façon d'aller à l'essentiel, le caractère entier et décidé de l'héroïne, ses rapports avec ses collègues de travail, avec les clients qu'elle sert, avec son petit ami dont elle préfère se séparer, avec sa mère qui l'agace mais dont elle ne peut se passer, font de cette oeuvre un des films les plus attachants des années 90. Virginie Ledoyen, 19 ans, y est impériale.
« La Fille Seule » est le premier film qui voit Virginie Ledoyen occuper un premier rôle. Lorsque le film sort, cest une révélation. Lactrice de la nouvelle génération, cest elle, cela simpose alors comme une évidence. Dautant plus que ce que lui fait jouer Jacquot est loin dêtre facile. « La Fille Seule » raconte en temps réel la première heure de travail dune jeune femme serveuse dans un hôtel. Avant cela elle annoncera à son copain quelle est enceinte, pour finalement le quitter une heure après. Après avoir travaillé. Film sur le passage de lenfance à lâge adulte, « La Fille Seule » est absolument brillant dans sa mise en scène, dune tension hors du commun. Il ne se passe rien dans ce film, on apporte quelques croissants dans quelques chambres, mais en même temps tout se joue. Et le spectateur le sent, que tout est en train de jouer, que la vie de cette fille est en train de changer, de se construire et de se détruire dans un même élan. Dix ans après, « La Fille Seule » est toujours aussi percutant.
honnêtement j'ai voulu voir ce film surtout pour virginie ledoyen et je me suis tellement ennuyé que j'ai arrêté avant la fin . on a presque l'impression de voir un documentaire sur ce qui se passe dans les hôtels, donc la présence de virginie ledoyen ne peut franchement pas sauver le film .
4 708 abonnés
18 103 critiques
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0,5
Publiée le 17 avril 2021
Je ne veux pas dire qu'il s'agit du pire film que j'ai jamais vu car j'ai peur que vous ayez envie de le voir juste pour voir à quel point il l'est vraiment. Ce film à vous savez le syndrome passer a coté d'un accident mais ralentir pour y jeter un œil quand même. Car il ne se passe pas grand-chose dans ce film nous observons simplement le personnage principal en temps réel. Elle vit quelques drames et fait quelques rencontres en travaillant dans un hôtel. Elle est assez jolie mais sans plus et tout semble indiquer qu'elle est une jeune femme française normale. Il ne fait aucun doute que Ledoyen est magnifique à regarder mais les dialogues de cette histoire étaient à la fois stupides, prétentieux et ennuyeux...
Les 3/4 du film suivent le premier jour de travail de Virginie Ledoyen, alias Valérie, comme serveuse au sein du room service d'un hôtel parisien. Le titre nous met sur la fausse piste. La fille n'est pas seule mais ce met toute seule. Il est dommage de pas voir l'évolution du personnage interprété par Benoït Magimel. Ce futur papa qui semble être autant prêt, à savoir pas du tout, à accepté la parentalité avec sa compagne. Choix scénaristique qu'il faut accepter, sans pour autant l'approuver. Du coup le film choisit un angle à sens unique, où les seules scènes pertinentes sont les longs dialogues entre les amoureux.
En voyant l'affiche d'allociné sur ce film, j'ai pensé à "Rosetta" des frères Dardenne, un cinéma comme je l'aime. En voyant le film, ho surprise, je ne me suis pas trompé, car oui, généralement ce type de préjugé m'induis en erreur et me conduit à la déception, mais pas là! Quelle justesse dans la description faite des "jeux de rôles" institués dans une équipe d'employés de l'hôtellerie (de l'hôtellerie comme ailleurs) Le chef strict mais juste d'une justice bien établie, le joyeux désespéré, le vicieux, la collante, la mégère apprivoisée, et la fameuse responsable des ressources humaine prise entre deux antagonismes, ressources et humanité. Au milieux, la belle, séduite, jalousée, haïe adorée mais jamais abordée autrement que par son apparence. La mise en scène permet à Benoît Jacquot de maltraiter l'image de la belle, de la profaner pour la réduire à une humanité aigre-douce. Il a fallu dépouiller le film de tout artifice pour atteindre l'intimité de la beauté archétypale de Virginie Ledoyen. Ce blasphème explique la note de ceux qui ont regardé ce film pour la beauté de l'actrice.
ce film « réglé sur le temps réel » sur un scénario à minima va, grâce aux qualités du réalisateur, au-delà du « seul challenge de sa construction temporelle », jugeant que ce « cinéma-honnêteté », qui fait notamment selon lui référence au travail de Chris Marker, décrit tout à la fois le « poids de réalisme social » et le questionnement romanesque autour de l'« énigme de la fille qui élude tous les affects », rôle porté par l'« excellence » du jeu de Virginie Ledoyen
13 955 abonnés
12 478 critiques
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2,5
Publiée le 25 juin 2009
Tout en arpentant les rues et les couloirs sans fin d'un hôtel dont elle dècouvre les codes, le personnel impitoyable et les clients parfois bizzares, une jeune femme de chambre doit choisir son destin! Cette radiographie de la solitude, mais aussi de la comèdie du travail, est filmèe en temps rèel par Benoît Jacquot! Au-delà de l'excercice de style, il rèalise un portrait de femme à l'eau-forte auquel Virginie Ledoyen apporte son autoritè et sa grâce! Une oeuvre passionnante où l'on prend plaisir à suivre ses travellings rèpètitifs mais surtout où l'on accompagne au fil du film cette hèroïne, à l'ènergie et à la dètermination dèbordante! A dècouvrir...
Le souvenir que je garde du film et de voir Virginie Ledoyen en femme de chambre marcher encore et encore.C'est la marche de cette femme seule dans sa vie affective et professionnel que montre Jacquot.L'histoire est simple mais le rythme donné par la camera en fait quelque chose de captivant.
Je retiens de ce film les excellentes prestations de Virginie Ledoyen et de Dominique Valadié, la description de l’ambiance de travail dans un hôtel de luxe et le portrait attachant de femmes-mères qui décident de ne pas s’encombrer d’un homme. Composé de deux époques en temps réel, ce film actuel sonne juste.
Un milieu de travail excellemment décrit, sinon en effet ce fameux "snobisme typique des domestiques" !; mis à part le fait que le film se mute ensuite en une histoire commune et/ou semble dévoué à la gloire de V.Ledoyen: Pourquoi pas ?..
le cinéma français dans toute sa splendeur et tel que je le supporte pas. Une histoire minimale qui ne donne pas envie que ce soit les dialogues entre Virginie Ledoyen et Benoit Magimel ou ceux entre mère et fille, tout est déprimant et entre on suit Virginie Ledoyen qui marche et marche encore....long et vide . A éviter,
J'dois pas avoir vu le même film que les gens qui ont mis une critique positive parce que perso, je l'ai vu il y a d'ici quelques années et c'est resté ma référence en tant que mauvais film. Que dis-je mauvais... J'ai jamais eu autant l'impression de perdre de précieuses minutes de ma vie. Quoi que vous puissiez faire c'est mieux que de regarder ce film, il ne se passe absolument RIEN. Je m'en suis même servie comme punition de paris perdus, c'est dire!
Le scénario est minimal: une jeune fille décide d'assumer seule l'enfant qu'elle porte; on la suit dans l'hôtel où elle s'active ...Un peu répétitif et monotone...heureusement, c'est court et il y a Virginie Le Doyen