Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Curtis Harrington
Dans "Rashomon", Akira Kurosawa parvient à une mobilité de la caméra qu'on avait peut-être jamais vu depuis les "caméras volantes" de l'époque U.F.A. [et] le jeu des trois principaux acteurs est admirablement dosé. Cahiers du cinéma 12, mai 52
Le Figaroscope
par Amira Sehic
[Reprise] La spéculation intellectuelle devient un art, quand c'est le mandarin Kurosawa qui l'exprime.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Positif
par Henri Agel
L'étonnante maîtrise technique de Akira Kurosawa, la rigueur de ses cadrages, la souplesse éloquente et musicale de ses mouvements de caméra donnent aux diverses péripéties de l'action un relief et une desnité plastiques qui dégagent une authentique puissance de fascination. Positif 2, juin 52
Télérama
par Jacques Morice
[Reprise] Lion d'or à Venise et Oscar du meilleur film étranger, ce "Rashômon" est le film qui a fait connaître le grand Akira Kurosawa en Occident et découvrir tout un pan du cinéma japonais.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
[Reprise] Indispensable pour tout cinéphile et d’une incroyable modernité, ce monument mérite bien sa place au panthéon du cinéma mondial.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Télérama
par Claude-Marie Tremois
(…) ce qui nous séduit dans "Rashomon", c'est son universalisme. (…) on retrouve là la constante de tous les films de Kurosawa. Télérama, 14 mars 79
Cahiers du Cinéma
Dans "Rashomon", Akira Kurosawa parvient à une mobilité de la caméra qu'on avait peut-être jamais vu depuis les "caméras volantes" de l'époque U.F.A. [et] le jeu des trois principaux acteurs est admirablement dosé. Cahiers du cinéma 12, mai 52
Le Figaroscope
[Reprise] La spéculation intellectuelle devient un art, quand c'est le mandarin Kurosawa qui l'exprime.
Positif
L'étonnante maîtrise technique de Akira Kurosawa, la rigueur de ses cadrages, la souplesse éloquente et musicale de ses mouvements de caméra donnent aux diverses péripéties de l'action un relief et une desnité plastiques qui dégagent une authentique puissance de fascination. Positif 2, juin 52
Télérama
[Reprise] Lion d'or à Venise et Oscar du meilleur film étranger, ce "Rashômon" est le film qui a fait connaître le grand Akira Kurosawa en Occident et découvrir tout un pan du cinéma japonais.
aVoir-aLire.com
[Reprise] Indispensable pour tout cinéphile et d’une incroyable modernité, ce monument mérite bien sa place au panthéon du cinéma mondial.
Télérama
(…) ce qui nous séduit dans "Rashomon", c'est son universalisme. (…) on retrouve là la constante de tous les films de Kurosawa. Télérama, 14 mars 79