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chrischambers86
13 984 abonnés
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3,0
Publiée le 10 mai 2011
"il faut vivre dangereusement" est en fait une citation du grand Nietzsche (on nous le fait d'ailleurs savoir à deux trois reprises dans l'histoire). D'après le roman "Les suicidès du Printemps" de Raymond Marlot, le seul et unique film de Claude Makovski est un cocktail alliant le suspense et la comèdie! Claude Brasseur et la regrettèe Annie Girardot forment un duo plein de complicitè et de fantaisie! Brasseur en dètective privè assiste même à une scène d'orgie, à un strip-tease sensuel et à une pendaison d'une femme nue! Sans oublier que dans "la chambre des glaces", Mylène Demongeot se montre diablement sexy et sèduisante! En même temps, on voit apparaître dans ses annèes là et dans chaque film, quel qu'en soit le sujet, une ou plusieurs scènes d'amour profitant de la libèralisation quasi intègrale des moeurs! Cette comèdie policière, à l'intrigue alambiquèe, multiplie ègalement les clins d'oeil avec un final pour le moins explosif...
Typique des années 1970 ce film affiche une décontraction sexuelle assez réjouissante, et puis quand Mylène Demongeot et Sydne Rome montrent leurs atouts, on ne va pas bouder notre plaisir. Le souci c'est qu'à part ce qui précède le film n'a rien à nous offrir, la faute à un scénario inintéressant et incompréhensible et à une réalisation brouillonne et sans rythme.
"Il faut vivre dangereusement", comédie policière française réalisée en 1974 par Claude Makovski, producteur, acteur et scénariste, dont c'est le seul long métrage. Adaptation du roman " Les suicidés du printemps" de Raymond Marlot, paru en 1972. Un beau duo avec Claude Brasseur et Annie Girardot. Avec aussi Mylène Demongeot et l'acteur Bouboule, (fidèle ami d'enfance de Coluche) . Une comédie burlesque typique des années 70.
Typique des mauvais films des années 70. Aucune recherche scénaristique. Un humour lourdingue et surtout des femmes déshabillées en veux-tu en voilà............ histoire de faire raccord avec la nouvelle morale..... au demeurant rien de choquant sauf qu'il y a ce petit air de regret des bordels qui accompagne souvent ces films........ bref, un film juste pour réunir l'excellente Annie Girardot et la gloire montante de l'époque Claude Brasseur...... parce qu'à par çà, je ne vois aucunes raisons de réalisé ce téléfilm.........
4 728 abonnés
18 103 critiques
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1,5
Publiée le 28 avril 2021
Il faut vivre dangereusement est une tentative louable de sortir le thriller français des sentiers battus et c'est ce qu'il fait d'une certaine manière car il précède certains aspects du genre dans les années 80. Les deux principaux protagonistes sont très présents à l'écran et ils sont la principale raison de le regarder aujourd'hui. Tout d'abord son scénario est confus et l'intrigue la recherche d'un super diamant se perd dans une série de meurtres, les quelques conquêtes de Brasseur et la bonne cuisine de Girardot. Le réalisateur essaie de construire une atmosphère inhabituelle comme la scène de l'hôpital mais cela ne sert pas toujours le propos. La scène de l'orgie pour gens chics avec masques restera la seule chose étonnante pour un film de 1974...
L'intrigue du film tourne autour d'un diamant: «Le grand Mongol" "Le grand Mongol" fait rêver, mais sa représentation est multiple dans le film... Ce n'est pas vraiment "le Grand Mongol" que recherche Sherlock Holmes dans le roman "Le signe des quatre". D'abord , Lory dans le train, plie une photo représentant une « Rose des vents ». Le spectateur ne saura que bien plus tard qu'il s'agit du diamant "Le grand Mongol". Puis Léone montre à Richard Diquet une photo du diamant dans un catalogue .Il y est taillé de façon très différente et n'évoque pas la "rose des vents" vue au début. La pierre précieuse fait travailler l'imagination...Peu après Lorraine porte un Foulard aux motifs rappelant la photo du diamant vue dans le catalogue...