Mon compte
    Le Septième continent
    Note moyenne
    3,8
    326 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Septième continent ?

    46 critiques spectateurs

    5
    10 critiques
    4
    10 critiques
    3
    11 critiques
    2
    9 critiques
    1
    3 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    peter W.
    peter W.

    42 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 avril 2017
    Haneke dissèque de sang froid ce fait divers dramatique avec un pessimisme dangereusement contagieux. Je ne dirai pas que j'ai adoré le film mais c'est tout de même la naissance d'un vrai style.
    Louis Morel
    Louis Morel

    46 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 février 2014
    Premier choc de Haneke, perturbant et immersif, "Le Septième continent" fait l’effet d'une bonne grosse gifle cinématographique.
    velocio
    velocio

    1 299 abonnés 3 132 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 février 2014
    Ce premier film de Michael Haneke fut un véritable choc. Vu dans la salle de la MJC Picaud à Cannes durant le Festival 1989. Au début, la salle était pleine. A la fin du film, il restait le 1/3 des spectateurs. Mais qu'importe, c'est un chef d'oeuvre et Haneke un maître.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 décembre 2013
    Ayant adoré plusieurs films de Haneke: Funny Games et US, le Ruban blanc, Amour et la Pianiste, je me suis mis en quête de ses plus anciens films afin de mieux cerner l’œuvre globale du réalisateur autrichien. J'ai bien saisi le but d'Haneke dans ce film, la froideur des plans, les répétitions, les longs plans fixes... tout ça vient donc de là, depuis le début !
    Cependant, j'ai trouvé le film beaucoup trop lent et trop abstrait. Trop axé cinéphile, je n'ai pas encore ce niveau il faut croire !

    Je l'ai regardé jusqu'au bout, mais cela a été difficile par moment ...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 9 août 2013
    Je m'attendais à un chef-d'oeuvre, je n'ai que...Et bien rien, absolument rien et voila bien le problème de ce film. Tout d'abord, je ne comprends pas l'interdiction au moins de 16 ans totalement injustifiée. Aucune scène de violence ou à caractère sexuelle rien... Serait-ce à cause de la scène des poissons que l'on voit agoniser ( réellement ) ? Avec un pareil avertissement, je m'attends à être bouleversé ou même choqué ou du moins marqué par ce que je vais voir à l'écran et là...Vide, creux, sans saveur, inutile...Le propos de Haneke est tellement simple...Oh la la, c'est pas bien, la société elle est moche pas belle, c'est une société de consommation...C'est insultant à la fin ! Aucune interprétation possible, le juge Haneke nous livre sa version des faits, sa vérité à lui. Surtout que les faits " racontés " dans le film sont véritables. Il n'est pas dit - du moins à ma connaissance - que la vraie famille ce soit suicidée pour ces raisons ! Je laisse malgré tout une étoile et demi pour la longue scène de destruction matérielle ( et animale malheureusement ) ainsi que pour le jeu des acteurs, parfait pour cette histoire glaçante mais rendue banale et indigeste par Haneke.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 avril 2013
    Le septième continent, premier film de la trilogie de la glaciation, est un tour de force. Absolument novateur, Michael Haneke propose un film qui, dans sa construction, pulvérise le conservatisme iconique du septième art, du moins dans la perception générale de ce qu'attend un spectateur moyen. Les scènes du quotidien se répétent à travers le portrait ennuyeux d'une famille bourgeoise autrichienne - pensons à la bourgeoisie flaubertienne auquel Haneke se raproche - où la propriété et l'objet sont un rempart au vide civilisationnel. C'est acheter sa vie et le confort au prix de la médiocrité. Les personnages, désincarnés, illustrent un mode de vie de masse à l'occidental, européen, dans son incapacité à trouver le bonheur dans une société matérialiste. Mais la force du film, c'est dans sa volonté de ne rien expliquer : nous sommes face à notre propre vide existentiel, vide qui se termine dans le plus grand drame. Bouleversant, Haneke n'apporte aucune réponse à son film, à l'acte final, décisif. C'est une relecture de la tragédie grecque, notre tragédie moderne. La réponse, si chacun la trouve en lui, est déjà un acte de réflexion sur soi même. Refuser de le regarder, c'est ne pas chercher à comprendre, à regarder tel un miroir notre propre contemporanéité, soit, et c'est bien le pire, de la refuser comme réalité partielle. L'argent, la famille, le relation humaine, tout est détruit dans un acte incompréhensible sur le plan de l'objectivité. Car, comme dans l'esthétique du Nouveau Roman, Haneke ne prétend pas à l'objectivité narrative, balzacienne, où tout est expliqué artificiellement. La vérité est plurielle et c'est ce qui la rend encore plus terrifiante. Le septième continent, en plus d'être un chef d'oeuvre, est aujourd'hui, à l'heure noire de notre crise démocratique en Europe, un film d'une grande actualité. C'est beau, glaçant, terrifiant. C'est, tout simplement, l'oeuvre d'un des plus grands cinéastes de notre temps.
    FaRem
    FaRem

    8 601 abonnés 9 506 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2013
    Un film si bien bien noté et pourtant si vide, il ne s'y passe rien les dialogues sont insignifiants il faut attendre 1h pour que le synopsis se met en place pour arriver à un résultat décevant, ça se laisse quand même regarder.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 octobre 2012
    Michael Haneke aime le choc, la froideur de l'émotion. Alors quand il réalise un film, même si c'est son premier long pour le cinéma, il y met de toute sa passion, et développe un thème qui lui cher : le mal être de la famille bourgeoise. Le septième continent est d'ailleurs le premier volet de ce qu'Haneke appelle la trilogie de la glaciation émotionnelle. Inutile de vous faire un dessin pour vous expliquer l'atmosphère du film. Haneke parvient à vous rendre mal à l'aise, tant la mise en scène, dépourvue du moindre sentiment, est glaciale, et tant le sujet devient de plus en plus malsain. Très peu d'explications quant aux raisons exactes ayant poussé cette famille entière à se couper du monde spoiler: et se suicider quasi collectivement.
    Au sein de cette famille règne un malaise constant, une perpétuelle monotonie, installée par l’enchaînement saccadé des scènes, conférant au rythme un caractère routinier, mais aussi par les faits et gestes des personnages, qui dans toute une première partie, se répètent avec une précision mécanique.

    Haneke évoque également l'influence des médias dans la famille : la télévision joue alors un rôle important, et occupe une très large place dans le film, puisque les trois membres s'agglutinent constamment devant elle. Alors que leurs attachements se dégradent peu à peu (ils coupent les ponts avec tout ce qui les retient au système), le seul sentiment d'affection qu'ils éprouvent est destiné à de vulgaires poissons d'aquarium, qui semblent longtemps tourner en rond dans leur bocal, s'ennuyer eux aussi de leur vie, tout comme ce père, cette mère, et cette jeune fillette, tous isolés dans leur ennui et la banalisation de leur vie.

    Enfin, il y a cette image, qui se répète à plusieurs reprises, celle d'un paysage paradisiaque, qui change visiblement de la vision pessimiste qu'ont cette famille du monde qui les entoure. Une vision qui se restreint d'images en images, puisqu’au fur et à mesure, il se crée une restriction, une barrière entre ce monde et eux. Ils ne le voient plus qu'à travers des vitres (de leur voiture, de leur maison, ou de leur télévision). Haneke a donc construit une famille emprisonnée entre les murs de la monotonie, une famille sans vie réelle, sans points d'attaches, spoiler: presque déjà détruite, évaporée. Et c'est dans la froideur la plus absolue que le cinéaste les emporte, les torture, et finit par les faire disparaître.


    La caméra se pose toujours au bon endroit et au bon moment, faisant fréquemment du hors-champ un choix judicieux pour souligner la distance entre le spectateur, témoin de l'horreur, et les protagonistes. Il se dégage alors une énième froideur, amplifiant justement cette glaciation émotionnelle du récit.

    Un premier film extrêmement travaillé, classé au patrimoine des films à réflexion, et au panthéon des oeuvres chocs. Un grand exercice de mise en scène, très dense, très complexe, prouvant tout le talent de Michael Haneke. Cinéphiles : à vos marques, prêts, Hanekez !


    Plus de critiques, et de papiers ciné sur http://lestempscritiques.wordpress.com
    Nicothrash
    Nicothrash

    365 abonnés 3 025 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 octobre 2012
    Premier volet de la trilogie "la glaciation émotionnelle", c'est celui que j'ai regardé en troisième cet après-midi pluvieux et triste, autant dire que cette demie journée avec Michael Haneke ne m'a pas égayé mais c'est le but pour ce dernier. Sur le fond, c'est dur et implacable, ce conformisme à outrance qui ôte tout sentiment vrai et toute joie finit par pousser à prendre des décisions extrêmes, on comprend la vision du réalisateur mais le problème est que quand on connait un temps soi peu sa filmographie et notamment cette trilogie, on se rend rapidement compte que le cheminement est toujours le même, une longue descente vers la folie. Au final on s' habitue à ces longs silences, à ces longs plans séquences, à ce découpage grossier et à la longue l'impact n'est plus le même sur la durée, seules les fins trouvent une réelle force et l'ensemble paraît toujours un peu long. A voir au moins une fois comme la plupart des films d' Haneke mais le re-visionnage me semble difficile.
    ml-menke
    ml-menke

    40 abonnés 551 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 juin 2012
    Film qui touche tous les pays riches et montre la dépendance à la société de consommation. Une destruction qui ne mène pourtant pas au néant. Sans donner de réponse au mystère autrichien, Haneke expose l’ambiguïté du choix de cette famille bourgeoise.
    LUET M
    LUET M

    37 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 juin 2012
    Premier volet de la trilogie de la Glaciation Emotionnelle, 'Le Septième Continent' choque, déroute et dénonce très férocement la société de consommation actuelle, les modes de vie imposés par un système qui rend prisonnier chacun de ses membres. Ce système est parfaitement décrit, métaphoriquement, par les scènes du car-wash - appareil qui emprisonne les occupants du véhicule, exécute les tâches automatiquement sans que quelqu'un n'ait à bouger un doigt et qui semble permettre à cette famille de "se laver" pendant un court moment d'une honte ou de leur tristesse, une idée que l'on retrouve dans 'Benny's Video'. En effet, cette famille qui a tout ce qu'elle souhaite est pourtant extrêmement triste, car elle se sent justement prisonnière de ce système consumériste qui agit à sa place, la force à agir de manière monotone, lui impose des choix. La vie de ces trois protagonistes est vide de sens, tout ce qui l'entoure est artificiel, les parents ne dialoguent quasiment plus, laissant cette tâche à la télévision. Les seuls espoirs sont les subites et brèves preuves d'humanité que le frère d'Anna et la petite fille Evi montrent durant le film (scène du dîner et celle de la destruction de l'aquarium). Leur seule volonté sera de fuir ce monde : Evi essaie tant bien que mal en simulant la cécité, les parents cherchent à déménager vers un paradis inconnu. Par une froideur incroyable, Haneke pousse le désespoir de cette famille au plus haut point, c'est-à-dire vers la mort (on retrouve ce principe dans 'Funny Games'). Dans ses longs plans fixes, ses détails, Haneke montre que rien dans sa manière de filmer n'est laissé au hasard, et force (ou aide) au contraire le spectateur à identifier ce qu'il souhaite montrer. Une oeuvre parfaite.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 mars 2012
    Premier film d'Haneke et on retrouve tous les ingrédients de son génie, à l'exception de l'adversaire, car le sujet reste concentré dans la meme famille. Une nouvelle fois il faut atteindre la fin du visionnage pour apprécier à sa juste valeur ce film. Grande leçon sur notre époque, la narration tourne essentiellement autour de la petite fille. Très subtil.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 octobre 2011
    Qui sont les personnages principaux du "Septième Continent" ? Les membres de la famille idéale que le spectateur suit pendant trois jours, entre 1987 et 1989, et qui sont presque toujours filmés de dos ou de loin, ou bien les objets de tous les jours qu'ils utilisent, manipulent, portent, fabriquent, mangent, observent, conduisent, cassent, vendent, etc., et sur lesquels la caméra s'attarde longuement ? Les plus humains, ici, ne sont pas forcément ceux qu'on croit. (Y a-t-il seulement de l'"humanité" dans ce film ?) Le portrait à charge que dresse Haneke d'une société névrosée, obsédée par la peur du vide mais pourtant gangrenée par la vanité, dans laquelle seule la consommation à outrance et l'aliénation par le travail permettent d'éviter – temporairement – le vide, en a d'autant plus de poids. Aucun des personnages du film n'est heureux, et chacun prend à rebrousse-poil le rôle qui lui a été assigné par la société. Du père et mari rassurant, protecteur et responsable qu'il était, Georg se change en l'un de ces rouages sociaux interchangeables, en un genre de monstre froid et sans âme, désincarné, mettant autant de zèle dans l'exécution du « projet » familial qu'il mettait d'énergie au travail. Anna, employée consciencieuse, sœur consolatrice, mère et épouse nourricière, devient la triste expéditrice de lettres convenues, l'éleveuse dépassée et pas fiable d'une petite fille de qui elle attend du réconfort à force d'être incapable de lui en donner de façon authentique, une femme soumise par la force des choses. (Mais ces parents-là sont-ils condamnables ? Car avaient-ils le choix ?) Eva est peut-être celle qui « colle » le mieux à son image, l'image d'une enfance innocente et « naïve » : c'est elle qui, la première, feint ouvertement un aveuglement qu'elle est la seule à reconnaître, contrairement à ses parents qui le partagent mais sont incapables de l'envisager de façon posée. C'est elle qui, dans le film, dit « Non ! », elle qui s'est attachée à quelque chose de vivant.
    Par cette seule richesse d'interprétations, "Le Septième Continent" mérite d'être vu, et vu comme autre chose que comme une œuvre de « jeunesse » d'un futur réalisateur de très grands films – comme le sont parfois les œuvres de « jeunesse ». Car Haneke trouve le rythme parfait pour ce sujet, fait de répétitions angoissantes à force de mettre en scène le vide, et de brusques ruptures qui rendent l'image aussi décousue et fragmentée que la vie de ses personnages. Du côté du cadrage, il vide l'écran de tout ce qui pourrait faire sens pour les personnages (l'écran serait-il l'aquarium dont les poissons seraient le sens ?), si bien que ce sens, dont ils sont plus ou moins consciemment à la recherche, se situe hors-champ – peut-être à la montagne, dont le spectateur ne verra que le départ du séjour que les personnages y ont fait. En tout cas, ni les objets ni l'argent régulièrement filmés en gros plan ne peuvent en tenir lieu. La signification que le spectateur (cette fois) doit chercher n'est jamais, elle non plus, entièrement à l'écran. Le champ pose des questions : pourquoi Anna pleure-t-elle dans la voiture ? quel est ce paysage de plage filmé à quatre reprises dans le film ? quelle décision a amené Georg à démissionner ? Dans quel but achète-t-il tout ce matériel de bricolage ? Il y répond parfois – le matériel de bricolage. Mais c'est la plupart du temps au spectateur de fournir les réponses, en reconstituant ce qui se passe pendant les noirs qui séparent les scènes, en déduisant ce qui se passe hors-champ, en cherchant du côté des symboles, en faisant concorder des indices ou tout simplement en faisant sa propre interprétation, sa propre réponse à des questions qui en tolèrent, voire en exigent, davantage qu'une. C'est aussi à cela que sert la lenteur des films de Haneke.
    Dans "Le Septième Continent", on écoute la radio sans y prêter la moindre attention, et les téléviseurs continuent de fonctionner quand les familles modèles sont hors d'état. Ils captent les regards, quoi qu'ils diffusent. Ils ont un équivalent moins tape-à-l'œil, mais qui pousse tout autant à la passivité : la vitre. On regarde les poissons à travers le verre d'un aquarium, ce qui est plutôt joli. On regarde les yeux d'autrui à travers une loupe d'ophtalmologue – on connaît le proverbe à base d'yeux, de paille et d'une poutre... On regarde les machines à travers les vitres d'une voiture qui passe dans une station de lavage automatique – tentative de purification par l'eau, le savon et les brosses rotatives ? –, ce qui est sinon dangereux, du moins oppressant. On regarde les morts sur le bas-côté d'une route à travers le double écran d'une vitre de voiture et d'une grosse averse, ce qui peut mener à des remises en cause dramatiques. Les personnages n'avaient peut-être pas le choix de regarder le monde à travers un filtre ou non, pris qu'ils étaient dans le tourbillon d'un genre de "destin" moderne. Nous l'avons. Le film date de 1989 et ferait un tabac maintenant...
    timM32
    timM32

    10 abonnés 331 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 octobre 2011
    L'histoire est très troublante, et c'est raconté avec une telle horreur qu'elle en devient fascinante. Haneke oblige, la lenteur instaure une ambiance particulière au Septième Continent (tout comme ses autres films d'ailleurs), et on sombre dans la folie comme cette famille. Ce long métrage n'est pas sans effet; il est impossible d'en ressortir indemne, ou alors on à vraiment aucun sentiment.
    Trelkovsky
    Trelkovsky

    70 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2010
    C'est avec certes peu d'originalité mais avec beaucoup de savoir-faire que Michael Haneke dépend avec précision et lucidité ce qu'est la routine : le fruit d'un conformisme voulu, d'une certaine liberté sacrifiée sur l'autel du matérialisme. Puis arrive la troisième partie du film : le détachement violent de la société et de toutes ses valeurs. Et pourtant, la mise en scène de Haneke reste la même. Froide (et même glaciale), acérée, dénuée de tout sentimentalisme ... A aucun moment "Le septième continent" ne suscite l'espoir : c'est surtout l'image de nous mêmes, individus condamnés au conformisme ou voués à la mort. Une effrayante réussite.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top