Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Une oeuvre amère, qui préfigure déjà la vanité désespérée des grands chefs-d'oeuvre métaphysiques antononiens à venir ("L'Avventura", "La Nuit", etc...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Julia Allouache
La dynamique amoureuse qui s'inscrit alors dans le film n'est pas sans rappeler "La Ronde" de Max Ophüls (...), la tragédie en plus.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Emile Breton
Ce film (...) n'est pas une "histoire de bonnes femmes", mais un tableau féroce de l'Italie fonçant vers le "miracle économique". Un film politique. Sans parler de ce qu'il dit des hommes de ce temps.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Si le sentiment de désastre et de tristesse qu'inspire ce film, où personne n'a réellement besoin de personne, est bien dans l'esprit d'Antonioni, sa manière, pour autant, n'y est pas tout à fait. Trop transparente encore, trop signifiante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gérard Lefort
Antonioni, alors encore balbutiant, filme à l'aune de cette pavane pour une société pourrissante : sa caméra très mobile chorégraphie le ballet des apparences, qui culmine lors d'un défilé de mode particulièrement funèbre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Inrockuptibles
Une oeuvre amère, qui préfigure déjà la vanité désespérée des grands chefs-d'oeuvre métaphysiques antononiens à venir ("L'Avventura", "La Nuit", etc...).
Critikat.com
La dynamique amoureuse qui s'inscrit alors dans le film n'est pas sans rappeler "La Ronde" de Max Ophüls (...), la tragédie en plus.
L'Humanité
Ce film (...) n'est pas une "histoire de bonnes femmes", mais un tableau féroce de l'Italie fonçant vers le "miracle économique". Un film politique. Sans parler de ce qu'il dit des hommes de ce temps.
Le Monde
Si le sentiment de désastre et de tristesse qu'inspire ce film, où personne n'a réellement besoin de personne, est bien dans l'esprit d'Antonioni, sa manière, pour autant, n'y est pas tout à fait. Trop transparente encore, trop signifiante.
Libération
Antonioni, alors encore balbutiant, filme à l'aune de cette pavane pour une société pourrissante : sa caméra très mobile chorégraphie le ballet des apparences, qui culmine lors d'un défilé de mode particulièrement funèbre.