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DanDan
87 abonnés
272 critiques
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3,5
Publiée le 22 avril 2020
Un grand Film d'Henri Verneuil..légèrement vieillit mais qui balance bien même si c'est en noir et blanc..Les plans de Cannes, sa Croisette , le Palm Beach sont super..et le duo Jean Gabin et Alain Delon est superbe..Alain Delon au summum de son art..L'intrigue est bonne et la cadence est bonne..À ne pas rater et a le revoir avec plaisir..
J'ai trouvé qu'il manquait un petit quelque chose à ce film... Un classique, oui, mais peut-être à conseiller surtout aux inconditionnels de Gabin ou Delon...
MELODIE EN SOUS-SOL (1963): Le casse d'un casino. Le boss, Charles, joué par l'acteur Jean Gabin, un homme que l'on ne contredit pas car le tranchant de ses paroles lui donne toujours raison. Son acolyte, Francis, personnage élégant au charme foudroyant, qui mieux qu' 'Alain Delon pour vêtir le costume de ce gentleman cambrioleur, un physique aux traits parfaits. Des dialogues de Michel Audiard, chaque mot claque comme une cartouche qui rythme et donne le tempo des scènes où le faces à faces peuvent devenir très musclés. Des images en noir et blanc enveloppées par une musique jazzy des années 70, agréable aux tympans qui nous fera glisser dans un holdup rocambolesque bien mené du début à une fin inattendue. Un excellent moment de cinéma.
Ça fait du bien de revoir un bon vieux film à l'ancienne avec de grands acteurs français et pas les phasmes du cinéma actuel. Le début et la fin sont excellents et même si le rythme ralentit un peu au milieu du film, l'ensemble est une fable assez savoureuse qui parle très bien de cette période de mutation que sont les années 60.
Film de casse des années 60 qui vaut pour son duo d'anthologie Gabin-Delon. Ce dernier n'a pas eu à forcer sa nature pour jouer le jeune voyou. Il est "Delon" avec une grande élégance. Par contre Gabin cabotine en portant des lunettes de soleil en pleine nuit. Le casse est capillotracté, tout comme le final, scène marquante dont chacun se souvient.
Ces films permettent au moins de voir ou revoir les paysages et les villes des années 60. A ce propos, le début du film est un témoignage de première. Pour ce qui est de l'intrigue, c'est du solide sans être génial. La réalisation est de la même trempe et bien datée. Gabin et Delon quant à eux ne s'éclatent pas vraiment. On remarquera accessoirement le nombre de cigarettes que les deux personnages fument : impressionnant. Pour les inconditionnels.
En 1963, Henri Verneuil signe un film policier bien ficelé. C’est surtout l’occasion de confronter deux grandes gueules du cinéma français de l’époque. En effet, le scénario prend le temps de camper les personnages principaux avec d’un côté la vieille génération (un Jean Gabin en patriarche colossal) et de l’autre la jeunesse impétueuse (un Alain Delon complétement électrisant). Assortie de dialogues signés Michel Audiard, l’histoire retrace la minutieuse préparation du braquage d’un casino à Cannes. Humour et tension alternent dans un faux rythme qui semble aujourd’hui nostalgique. Bref, un véritable classique.
Splendide ce film de braquage avec à la caméra Henri Verneuil, les dialogues de Michel Audiard, et la superbe interprétation du duo de stars que sont Jean Gabin et Alain Delon (notamment de la part de Delon. Le scénario est bien ficelé avec cette fin magistrale.
Quatre grands noms pour une « Mélodie en Sous-Sol » : Jean Gabin, Alain Delon, Henri Verneuil et Jacques Audiard. Non exempté de vraies longueurs et/ou de passages inintéressants, on prend tout de même du plaisir à suivre les préparatifs de ce casse d’un casino de la Croisette cannoise. Le dernier tiers est parfaitement recommandable et se conclut sur un final assez surprenant.
Le film devait sans doute être pas mal mais en le regardant, je m'endormais toutes les 30 secondes. Heureusement qu'il y avait par moments répétés le son d'une note de jazz stridente où encore le téléphone qui sonnait tout aussi bruyamment pour me réveiller tout aussi rapidement et me surprendre. Dommage.
Un film plein de qualités : scénario, mise en scène, dialogues, acteurs, photo NB, BO de Michel Magne... tout est soigné et professionnel, parfaitement maîtrisé. Le seul reproche serait le long travelling approximatif de l’arrivée d’Alain Delon en voiture sur la Croisette...
Les dialogues d’Audiard font mouche à tous les coups, et lorsque Gabin entame sa sérénade, tout le reste est mis de côté pour se laisser porter par un plaisir non dissimulé. Le jeune Delon tient sa place même s’il est très facilement surclassé par son ainé. La construction est intelligente et elle ne laisse aucune place à l’ennui. Découvrir ce film sur le tard permet de se laissé prendre par un final hors du commun et original. Seul point qui fait tâche, la bande sonore qui se trouve très yéyé, qui surligne l’époque dans laquelle l’action se passe et qui porte parfois sur les nerfs.
On aura peut-être du mal à rentrer dans ce long film de 118 minutes où les relations initiales entre les personnages sont parfois marquées de changements d'avis un peu étranges. Mais la lenteur devient ensuite l'outil qui révèle ce que l'oeuvre est vraiment : un précurseur de ces films d'aujourd'hui, généralement américains, mettant en scène avec force budget un processus criminel compliqué. Avec moins de prétention, un fascinant Ocean's Eleven bien avant l'heure.
Ce film est proche de la quintessence du film policier français des années 60. C'est un petit chef d'oeuvre. Notamment du à la réalisation simple mais soignée de Verneuil et à l'interprétation du couple Gabin-Delon. Le film se déroule en trois parties environ. J'ai préféré la première, celle où l'histoire débute et Verneuil prend son temps pour nous présenter le personnage de Gabin, un vieil escroc qui veut faire un dernier coup. La seconde partie est un peu moins rythmée, néanmoins la voix off de Gain ajoute quelque chose. Le braquage et la fin du film sont l'apothéose, la tension monte et c'est maîtrisé de bout en bout. Sans beaucoup de paroles.
Mélodie en sous sol c'est la rencontre de deux acteurs de légende du cinéma Français, Jean Gabin et Alain Delon, le tout sous la direction d'un grand réalisateur, Henri Verneuil, et ça parle d'un braquage de casino . A partir de là ce film pouvait il être mauvais ? Il y avait très peu de chance .
On suit donc la planification d'un braquage de casino a Cannes, un plan minutieux qui nous mènera sous haute tension ( dans la séquence finale j'ai transpiré tellement c'était éprouvant ) . Le duo Gabin / Delon fonctionne a merveille et est probablement l'un des meilleurs duo du cinéma Français, on retrouve un rythme soutenu sans faiblesse et aucun temps mort . Verneuil s'inspire de "L'Inconnu de Las Vegas" ( version original de Ocean Eleven
Malheureusement j'ai vu le film dans sa version colorisé, j'ai su seulement une fois fini qu'il était en noir et blanc dans sa version originale, de plus la version couleur est coupé de 15 minutes . Donc a revoir mais globalement un excellent film aussi bien grâce aux acteurs, au scénario bien écrit et à la scène final juste parfaite . Un classique du cinéma Français qui prouve que l'on ne doit rien a Hollywood .