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    Mélodie en sous-sol
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    155 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 7 avril 2015
    Film de deux monstres. Il aurait pu donner des étincelles. Mais gabin est fatigué, sans vie. Les dialogues d'Audiard sont plats, rarement pétillants. Le scénario pas spécialement intéressant. Le tout est long, long. Aucune force vitale. C'est plutôt bien râté
    boies
    boies

    10 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 août 2013
    C'est pour moi un excellent film,le duo gabin delon et tres tres bien.
    Redzing
    Redzing

    1 108 abonnés 4 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2024
    A peine sorti de prison, Charles, criminel expérimenté, décide de monter un nouveau coup. Un casse dans un casino à Cannes, avec à la clé un gros pactole. Mais son complice habituel n'a plus la force de braquer. Charles doit donc se tourner vers son ancien compagnon de cellule, un jeune loup nommé Francis...
    Après un début mélancolique où notre protagoniste découvre sa banlieue défigurée par les constructions modernes pendant son emprisonnement, le film démarre doucement. Puis montera crescendo jusqu'au dernier acte, de plus en plus tendu !
    Evidemment, si vous y cherchez le rythme d'un film policier moderne, vous serez déçus. Néanmoins, "Mélodie en sous-sol" reste un film de casse bien découpé et très efficace. Avec pas mal de bonnes idées : je soupçonne d'ailleurs Steven Soderbergh de s'en être inspiré pour sa version de "Ocean's Eleven" (la relation entre le jeunot et l'expérimenté, la cage d'ascenseur, le casino...).
    Henri Verneuil maîtrise son récit de bout en bout. Qu'il s'agisse de la caractérisation des personnages, du développement de l'intrigue, ou de l'exécution du casse. Le tout dans un noir & blanc qui sied à merveille au récit. Il existe apparemment une version colorisée, je n'ose imaginer le désastre...
    Si je devais pinailler, je pointerai du doigt quelques longueurs, notamment dans les séduction du jeune Francis. Mais cela est compensé par un dernier acte assez haletant... et par les répliques de Michel Audiard, souvent savoureuses.
    Il est par ailleurs très appréciable d'y voir de nombreuses têtes connues du cinéma français. En premier lieu, le duo Gabin / Delon qui fonctionne très bien. Les deux acteurs devinrent d'ailleurs amis à la ville. Si le rôle d'Alain Delon en jeune insolent parait une évidence aujourd'hui, l'acteur avait du à l'époque s'imposer pour jouer avec Jean Gabin. Il parviendra à négocier de tourner sans cachet (!), mais en récupérant les droits de diffusion du film en URSS et au Japon (!!). Et Delon parviendra à en tirer un bon prix, en diffusant le film au pays du soleil levant !
    A côté, on y voit beaucoup de deuxièmes ou troisièmes couteaux bien connus, dont certains auront une belle carrière. Notamment Jean Carmet dans un court rôle de barman.
    Un beau film de casse.
    this is my movies
    this is my movies

    697 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mai 2019
    Dernier film du deal concernant Gabin, Verneuil et Audiard, ce polar sur fond de braquage nous offre l'occasion d'associer le mythique pacha du cinéma français populaire à l'étoile montante A. Delon, pour un résultat parfois explosif, avec les dialogues ciselés par Audiard, même s'il a essentiellement repris le texte original. Verneuil habille cela avec son efficacité coutumière, sans jamais être génial, mais toujours juste et sobre, tout en étant lisible dans l'action, et sachant changer de ton avec fluidité. Dialogues savoureux, péripéties haletantes, acteurs au cordeau (génial M. Biraud), efficacité visuelle, rythme soutenu, il n'y a guère que la petite histoire d'amour entre Delon et la danseuse de cabaret que j'ai trouvé superflue et pas forcément bien exploitée, mais pour le reste, c'est du petit lait, du cinoche populaire d'antan qui manque beaucoup de nos jours. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    cinono1
    cinono1

    299 abonnés 2 054 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 avril 2020
    L'appat du gain pour deux irréductibles. Alain Delon a la beauté du diable, ni portes, ni femmes ne lui résistent, et Jean Gabin dirige les opérations bien servis par ls dialogues truculents de Michel Adiard, pour une escroquerie sur la Cote d'Azur qui n'a rien perdu de son charme. Henri Verneuil emballe un polar au suspense bien mené, pleins de rebondissements et de malice.
    dougray
    dougray

    237 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2012
    Grand classique du 7e art, "Mélodie en sous-sol" n’a pas aussi bien résisté aux ravages du temps que d’autres petites merveilles comme "Les Tontons flingueurs" ou "Un singe en hiver". La faute en incombe essentiellement à la mise en scène qui, en plus d’être particulièrement datée (voir l’inévitable scène en voiture avec le décor roulant), ne brille pas par son sens du rythme (beaucoup de longueurs sont à déplorer à commencer par le casse qui aurait pu être bien plus efficace). Quant aux dialogues, ils ont beau porter la patte inimitable du génie Michel Audiard et nous réserver quelques pépites ("Tu lui claques pas le beignet ? – Elle aimerait pas", "un jour, c’est ton père et moi que tu tueras ! De chagrin ! – Et ben comme ça, on retrouvera pas l’arme du crime"…), on a l’impression qu’ils ont été rajoutés à la dernière minute pour relever le niveau. Dommage car ce rythme lancinant vient plomber le film. Sinon, on ne peut que se délecter du casting avec un Jean Gabin comme à son habitude impérial en cador du braquage (rôle qu’aucun acteur actuel ne pourrait d’ailleurs tenir avec autant de classe d’ailleurs), Alain Delon fait des merveilles dans ce rôle de jeune loup séducteur (mais pourquoi s’est-il laissé aller par la suite au cabotinage le plus outrageux ?) et on retrouve avec plaisir les 2nds rôles habituels de l’époque (Maurice Biraud, Dominique Davray, Jean Carmet, Dora Doll…). Et puis la nostalgie de cette France d’après-Guerre où on parle de la guillotine, des bienfaits des congés payés, du cousin fusillé à la Libération fait toujours plaisir… A noter : l’inoubliable scène finale de la piscine !
    Akamaru
    Akamaru

    3 085 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 décembre 2010
    Fructueuse année 1962 pour Henri Verneuil,qui tourna coup sur coup l'éthilique "Un singe en hiver" et ce film de genre intégralement maîtrisé qu'est "Mélodie en sous-sol".Dans les 2 cas,Jean Gabin tient la tête d'affiche,au côté d'un jeune acteur populaire en pleine ascension,ici Alain Delon.Dans un noir et blanc limpide,Verneuil nous convit à la préparation minutieuse d'un casse à l'hôtel palm beach de Cannes,alors que le braquage proprement dit,retranscrit en temps réel,avec un minimum de mots et d'effets est un modèle de suspense.Dans la bouche d'un Jean Gabin plus patriarche et revenu de tout que jamais,les répliques de Michel Audiard claquent,délicieusement et savoureusement.De son côté,Alain Delon peut faire étalage de toute sa séduction ténébreuse,sa fougue juvénile et son potentiel athlétique.2 stars charismatiques,l'une en devenir,l'autre expérimentées,se trouvent parfaitement.Et c'est beau à voir.Ce policier solide,quoique très classique dans la progression,prend le temps de développer les relations,et fait de ces gangsters des idéalistes incorrigibles.La fin,déconcertante et inattendue,inscrit instantanément cette image des billets flottants dans l'esprit de chacun.Exemplaire.
    selenie
    selenie

    6 213 abonnés 6 178 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 juillet 2015
    Entouré d'un casting prestigieux de gueules bien connues du cinéma hexagonal Henri Verneuil signe là un petit chef d'oeuvre du polar à la française sur un idée de Michel Audiard. Outre le beau noir et blanc qui sied idéalement à l'atmosphère un peu détachée d'un film noir sous le soleil de la côte d'azur on est aussi royalement servi par les dialogues d' Audiard dont on savoure une énième fois ses répliques cultes. En prime quelques scènes mythiques dont une des plus belles fins du cinéma policier français.
    ygor parizel
    ygor parizel

    239 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 septembre 2012
    Un chef-d'oeuvre du genre. Le film de gangster français par excellence, un scénario béton et un duo mythique Gabin en vieux briscard et Delon en jeune loup. Les dialogues de Audiard sont bizarrement soft aucune grandes joutes verbales et peu de bon mot. La mise en scène de Verneuil est académique mais précise dans les scènes mémorables comme celle du braquage et le final au bord de la piscine.
    rayonvert
    rayonvert

    21 abonnés 253 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 avril 2010
    Un homme sortant de prison n'a qu'une seule idée en tête. Faire un nouveau casse qui le mettra à l'abris du besoin jusqu'à la fin de séjour. Sur cette trame simple, Verneuil nous livre un film vraiment intéressant grâce à une mise en scène inspirée, des acteurs en grande forme et des dialogues savoureux. Un vrai bon moment.
    Cécile HARISTOY
    Cécile HARISTOY

    21 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 juillet 2014
    Dans ce polar sorti en 1963, l'action, lente, prend son temps. On y retrouve un Gabin très proche du personnage de Ferdinand Maréchal qu'il interprétait 2 ans plus tôt sous la direction de Gilles Grangier dans "Le cave se rebiffe", soit un truand qui a de la bouteille et participe à un dernier "coup" de haute volée avant de se ranger définitivement du milieu. Sauf que dans "Mélodie sous-sol", le héros ne se la coule pas douce au soleil mais sort de prison. Après 5 ans passés derrière les barreaux, Monsieur Charles rentre chez lui, à Sarcelles. Sa rue Théophile Gautier est devenue le boulevard Bergson et son petit pavillon de banlieue est désormais cerné par les barres d'immeubles. A l'intérieur, Ginette, sa femme (Viviane Romance), le retrouve comme s'ils s'étaient quittés la veille. Elle ne pense qu'à tourner la page et partir dans le Midi ouvrir un restaurant. Lui est obsédé par les millions du casino Palm Beach de Cannes : "J'ai mis un an pour tout préparer au quart de poil, c'coup-là, ça peut pas louper". Ne pouvant réaliser l'affaire en solo, il s'adjoint les services de Francis Verlot (Alain Delon), jeune truand dont-il a partagé la cellule pendant un an. Le beau-frère de Francis, Louis Naudin (Maurice Biraud), mécanicien "d'une honnêteté monstrueuse", servira de chauffeur... et aura des états d'âme. Direction la Croisette. "Le pognon est là, y'a plus qu'à l'engourdir. Laisser traîner un pareil paquet d'oseille, c'est pas moral". Chacun son rôle. Monsieur Charles, tête pensante du trio, a minutieusement préparé le scénario des opérations. Trop âgé pour effectuer lui-même le travail, il envoie Francis Verlot en éclaireur sur la côte une semaine avant. Celui-ci doit reconnaître les lieux -résidence Marly, théâtre, piscine (bar et cabines), casino, et user de son charme. Les consignes de Maréchal sont claires : "Surtout, pas d'étonnements intempestifs. T'extasie pas sur la mer, elle a toujours été là". "Tu balances des pourliches fastueux, il faut que l'petit personnel t'ait à la bonne". Point d'orgue du film, la scène du braquage lors du gala de clôture, est un modèle du genre. Solitaire, silencieux, concentré, on observe Alain Delon monter dans les cintres du théâtre, ouvrir la trappe de toit, entrer dans l'aérateur, suivre la gaine jusqu'au-dessus de la cabine d'ascenseur, descendre le long des câbles puis faire irruption dans la salle des coffres au moment où le directeur et ses employés recomptent les liasses. Les forçant à ouvrir la porte blindée, il les tient en respect avec sa mitrailleuse tandis que Gabin/Maréchal le retrouve et remplit les sacs de billets. Dans ce classique des films de truands, où la part belle est réservée à 2 monstres sacrés du cinéma (formidables Gabin et Delon), les seconds rôles nous enchantent : Henri Virlogeux (Mario, le propriétaire des Bains Douches), Jean Carmet (barman à la piscine de l'hôtel), Dora Doll (la fausse comtesse Doublianoff, à laquelle Delon envoie un "Te fatigue pas, Totoche, on est du même monde"). La verve des dialogues d'Audiard, un scénario écrit avec talent par Albert Simonin (l'histoire n'est pas adaptée de l'un de ses romans), la beauté de la photographie noir et blanc, sans oublier la sublime musique de Michel Magne qui rythme le film tout au long de ses 2 H (raccourci d'une 15aine de mn en version colorisée) : cette "Mélodie en sous-sol" est un grand cru de Verneuil et un régal pour cinéphiles. Et la scène finale autour de la piscine du Palm Beach, d'une progression dramatique superbement maîtrisée, une vraie leçon de cinéma !
    Max Rss
    Max Rss

    197 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 janvier 2014
    La première rencontre à l’écran entre Jean Gabin, illustre vedette du cinéma français d’avant guerre et redevenu l’acteur le plus populaire dans les années 50-60 et Alain Delon, le débutant farouche et ténébreux ne fait pas pschitt ! Bien au contraire ! Deux monstres sacrés côte à côté, Henri Verneuil à la réalisation et Michel Audiard au scénario et aux dialogues, voila une affiche alléchante sur le papier. Et qui l’est tout autant à l’écran. Pour moi, il n’y a pas en douter, cette « Mélodie en Sous-Sol » est une référence du film de casse, une référence du polar tout simplement. Verneuil s’appuie sur une mécanique simple, solide et bien huilée. Tout fonctionne comme prévu. Certes, le déroulement est assez simple, mais il est maitrisé de bout en bout et Verneuil n’a aucun mal à entretenir le suspense. Et n’oublions pas de mentionner la séquence finale qui en surprendra sans doute plus d’un. Jean Gabin ne joue plus, il fait du Gabin: la gueule renfrognée et le caractère bien trempé. Il fait valoir son charisme (d’ailleurs je n’ai rarement vu un acteur aussi charismatique) et se montre absolument impérial. Quant à Alain Delon, vif et fougueux, il tient parfaitement la dragée haute même si son ainé n’a aucun mal à prendre le dessus sur lui. Et pour terminer, les dialogues de Michel Audiard sont au poil, avec encore une fois quelques répliques bien senties et devenues cultes (dans une situation comme celle-là, calibre en pogne, personne ne conteste, y a même des statistiques là-dessus). Voila un film comme on en fait plus, révélateur du cinéma français polyvalent de l'époque.
    Kincaid
    Kincaid

    2 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 août 2024
    Tout ça pour ça ! Un gros coup… qui se termine en pétard mouillé, pour sauver la morale et les « héros ». Décevant. Mais bon, c’est juste un vieux film français, il ne faut pas s’étonner.
    loeil38
    loeil38

    19 abonnés 487 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 décembre 2010
    magnifique se film policer sur le braquage d'un casino avec 2 monstre sacré du cinema français certain film de nos jour devrait en prendre exemple de se film
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 février 2007
    des acteurs au top de leur forme,une musique a vous couper le souffle
    j'ai adoré,un de mes films préféré de cette epoque
    a voir et a revoir ne serait ce que pour la musique
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