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Un visiteur
5,0
Publiée le 28 avril 2020
Que dire ?? A part que ce film est un pur chef d'oeuvre, un scénario solide basé sur les écrits de James Fenimore Cooper. Plaisir visuel de par les décors naturels qui sont magnifiques et auditifs de par la sublime bande son composé par Trevor Jones. Sans hésiter l'un des meilleurs rôles de la carrière de Daniel Day Lewis. Dommage que la fin ne soit pas à la hauteur de la splendeur du film. A voir, à revoir et à rerevoir sans modération aucune !
Michael Man nous surprend une fois de plus avec se film historique mémorable. Daniel Daw-Lewis interprète à merveille un indien courageux. Music magnifique, et réalisation incroyable !! Les personnages sont tous intéressant, la culture des Mohicans et aussi très intéressante, leur façon de chasser... Il sont très respectueux des animaux et de la nature. La différence entre les anglais et les clans indiens... L'amitié, le courage, l'amour et l'honneur donne de film magnifique.
Quelle musique ! La bande-originale est un petit bijou à savourer tout au long du film Le Dernier des Mohicans, un drame épique porté par la mise en scène musclée de Michael Mann et le beau minois de Daniel Day Lewis. A ceux qui jugent le film sans l'avoir vu en s'exclamant "Cette façon d'américaniser tous les premiers rôles ! Daniel Day Lewis n'a pas du tout l'air d'un indien !", on leur répondra (si l'exaspération n'a pas emporté toute notre énergie) que le dernier des Mohicans, ce n'est pas lui. Il interprète un Anglais recueilli par ledit dernier Mohican, chargé de survivre dans la guerre sanguinaire que s'oppose Anglais et Français pour le territoire colonisé. Secourable, les héros se chargent au passage de deux damoiselles en difficulté entre les Français et les tribus locales...et l'on suit l'aventure les yeux (et oreilles) grands ouverts. On regrette seulement les effets spéciaux brouillons : les cailloux en mousse qui tremblent quand un acteur s'y cogne, les bruitages qui semblent sortir d'un placard à balais ou d'un atelier de bricolage... On se demande aussi ce qui a bien pu passer par la tête de la soeur "blonde" à la fin du film (son choix n'est pas très malin), on mettra cela sur le compte d'un instinct de survie peu développé. A part ces quelques détails qui amusent un peu, Le Dernier des Mohicans reste un très bon film oscillant entre drame humain et guerre, et dont la musique épate.
La retranscription de ce lyrisme de BO splendide, un air harmonieux culte, plongée dans cette intrigue sur le fondement du paysage de l'Amérique, dans un état de New-York qui fut une colonie du Royaume-Uni de Grande Bretagne. Sa position défavorable face à ces colons libertaires, honneur aux vrais américains, des autochtones armés, le royaume de France voulu s'immiscer parce que leur ennemi héréditaire est l'anglais, il n'y aura pas que des saints, ni d'anges.
Le soutien est de taille avec beaucoup de romantisme pré-révolutionnaire marquant pour les deux nations, une amitié qui ne date d'aujourd'hui mais d'hier et pour les générations futures qui peupleront l'histoire des travailleurs sur le continent du dur labeur.
En 1992, Michael Mann se lance dans l'adaptation au cinéma du célèbre roman de James Fenimore Cooper, « Le dernier des Mohicans ». Dès les premières images, ce réalisateur talentueux parvient à donner à son film un souffle épique qui prend le spectateur aux tripes et qui ne le lâche plus jusqu'à la toute dernière seconde. La reconstitution des Amériques du 18ème siècle est parfaite et les affrontements entre armées françaises, anglaises et amérindiennes totalement réalistes et immersives. Les images sont souvent d'une beauté à couper le souffle et la musique est un must du genre qui reste à l'esprit longtemps après le rideau de fin. Côté acteurs, c'est également un « sans faute » et il faut saluer la prestation de tous les rôles principaux qui rivalisent de talent pour nous donner le meilleurs spectacle possible. Le moins qu'on puisse dire c'est que c'est réussi et la scène finale est, à ce titre, l'une des plus belle et dramatique de l'histoire du 7ème Art. Un pur chef-d’œuvre que je range sans hésiter sur l'étagère la moins poussiéreuse de ma vidéothèque... sublime !
Malgré une orientation un peu trop idéaliste, l'interprétation du roman de James Fenimore Cooper est excellente. Les superbes panoramas, la reconstitution historique et cette musique entrainante contribuent à la réussite du film.
Le souffle épique s'incarne dans la sublime musique ainsi que dans la magnifique photographie qui insufflent de la puissance à un récit assez stéréotypé ancré dans un contexte historique exploité à des fins dramatiques et moralisantes. Le coup de force vient non des personnages peu attachants ou psychologiquement travaillés mais du magnétique charisme intact de Daniel Day Lewis au sein de cette dispensable bluette.
Première grosse production pour son réalisateur, quittant pour l'occasion une solide intrusion dans le milieu du crime. Visiblement peu enclin à l'historique, il s'agit surtout ici d'une audacieuse et virvoltante troisième adaptation du roman, lancée derrière le succès de Dances With Wolves (1990) aux débuts des années 90. La musique étant ici beaucoup plus présente qu'elle ne le devrait et les espaces plus réduits qu'ils n'y paraissent, c'est avant tout la qualité graphique de Michael Mann qui rend le projet boulversant et compose une épopée picturale comme on en trouve finalement dans certains livres d'histoire et qui trouvent toujours spectateurs. On peut encore retrouver cette part du travail d'élégance dans des films tels que The Patriot (2000), qui ne serait davantage marquer l'histoire mais imprègne la pupille avec éclat.
Le dernier des Mohicans est incroyable!! La réalisation de Michael Mann est grandiose, les plans sont fou: celui qui m'a laissé le plus sous le choc est le combat final entre "Chingachgook" ( Russell Means ) et "Magua" ( Wes Studi ) qui est merveilleusement mise en scène sur le bord d'une falaise. Sans parler de la musique jusque splendide de Randy Edelman, la musique rend chaque encore plus épique, plus incroyable. Un grand moment de l'histoire américaine est montrer dans ce film, la guerre entre Français et Britannique. Mais le plus incroyable est le personnage de Daniel Day-Lewis "Nathaniel" qui est inspirer du grand explorateur américain, Daniel Boone ( 1734-1820). La principale inspiration est la libération légendaire de ses deux filles dans un camp indien en marchandant avec le chef, ce qui est bien représenté dans le film. Juste Dingue!!
Un grand film d'aventure doublé d'un film historique, sur fond de conflits franco-anglais aux Amériques avant la Révolution. Le roman de Fenimore Cooper est porté à la perfection par des acteurs qui donnent corps à leur personnage (le colon Daniel Day Lewiss bien sûr, le major anglais Steven Waddington, le huron Wes Studi...), certains sans avoir plus de deux lignes de dialogues à débiter (comme Uncas, "l'avant-dernier mohican"). La musique entrainante colle parfaitement aux belles images et contribue à faire des dix dernières minutes une des scènes les plus poignantes du cinéma, sans qu'aucun mot ne soit prononcé.
Film intéressant aux décors magnifiques,The Last of the Mohicans n'est cependant pas dépourvu de défauts.Des temps morts et une romance "trop facile" viennent ternir le film.D'autres détails comme les dialogues inégaux ou encore une bâche en plastique en guise de rocher (comme si personne ne l'aurait vu) sont inacceptables pour un film de ce genre,à la fois historique et dans lequel la photographie est excellente.Et que dire de cette bande originale magnifique,peut être un peu trop exploitée,mais qui ajoute le coté épique au film. Le potentiel était énorme et au final un peu gâché à mon sens,cela dit le film reste de qualité et on passe un bon moment.
Entre "Danse avec les loups" et "The patriot", cette aventure en pleine occupation ou invasion n'à pas franchement retenue mon attention tellement les longueurs avec le script et la performance parfois molasse du casting ont été les éléments perturbateurs de ce film. Visuellement très bon comme tous les films historique, le point cardinal reste toujours le même. Les quelques passages de guerre sont bons mais pas magiques pour autant. Trop de l'un pour pas assez de l'autre, notre héros lui livre un jeu trop gentillet qui ne vaut pas celle donnée dans la version de "Tarzan" ou il fut bien meilleur. Une aventure en grande partie loupé.
Avec Le Dernier des Mohicans, Michael Mann quitte l’univers urbain pour se plongé dans les paysages naturels de l’Amérique en construction et en guerre de 1757. Malgré ce changement radical, le cinéaste signe une magnifique adaptation du roman de James Fenimore Cooper (la neuvième au cinéma tout de même), même si celle-ci aurait visiblement pris beaucoup de liberté avec le matériel d’origine, en mettant en valeur ses sublimes décors et en étant servi à la fois par une distribution splendide (il suffit de citer le nom de Daniel Day-Lewis pour savoir que nous nous trouvons dans du haut niveau) et une magnifique musique de Trevor Jones et Randy Edelman (le sublime Main title est d’ailleurs à juste titre presque plus connu que le film). Une très belle version qui a connu un succès mérité lors de sa sortie.